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Charles, vieil homme malade est mis à la porte du jour au lendemain par Jeanne la bourgeoise veuve qui l’hébergeait. Jeanne que Charles a jadis aimée se remarie et Chalres se retrouve donc à la rue avec son chien.
J’aurais aimé pouvoir aimer ou simplement être indulgent avec ce film qui nous permet de retrouver une star… mais le film est tellement mauvais, grotesque, aberrant (les mots me manquent) et ce, dès les premières secondes qui ne trouvent rien à sauver de ce naufrage ennuyeux, ridicule, jamais crédible une seconde. Une vraie torture, un cauchemar de tous les instants qui met mal à l’aise plus qu’il n’émeut ! Car si l’on retrouve bien le visage et le sourire de Belmondo et que, malgré tout, il parvient à sauver sa dignité, le malheureux, assez diminué et manifestement incapable de prononcer plus de trois mots audibles à la suite, est contraint le plus souvent de rester immobile et de répéter « mon chien » à moult reprises.
Il doit y avoir pas loin de 80 acteurs français au générique sans doute venus là rendre les honneurs à la star qui. Hélas ici, cela ressemble plus à un enterrement troisième catégorie qu’à un véritable hommage. Les scènes stupides et invraisemblables se succèdent et mettent de plus en plus mal à l’aise. Le summum revenant sans doute à celle où l’on retrouve éructant en clodots abandonnés : Robert Hossein, Charles Gérard, Jean-Marc Thibaut, Micheline Presle, Pierre Mondy et j’en passe… Dans des scènes sans intérêt, sans queue ni tête viennent également faire une apparition Michèle Bernier, José Garcia, Françoise Fabian, Tchéky Karyo, Daniel Prévost, Jacques Spiesser, Nicole Calfan, Jean Dujardin et j’en oublie…
Je vous passe les détails sur les absurdités du style : la maîtresse de maison organise une grande fête guindée pour son anniversaire et joue les pucelles effarouchées quand on le lui souhaite, les scènes interminables à la SPA et les travellings sur le « visage » si expressif des chiens. Je ne vous parle pas des dialogues d’une platitude exemplaire et de la musique sirupeuse jusqu’à la nausée. Non, je ne vous en parle pas.
Un fiasco aussi absolu est une rareté. Le respect porté à Belmondo est intact mais ce film très bête est une torture.





Près de deux semaines après le début de l'offensive contre le Hamas, L’ONU a adopté dans la nuit du jeudi a vendredi 9 janvier 2009 par 14 des 15 membres du Conseil de sécurité de l’ONU -les Etats-Unis s'abstenant-, la résolution 1860 qui "appelle à un cessez-le-feu immédiat, durable et pleinement respecté, menant au retrait complet des forces israéliennes de Gaza".
habitants de la Bande de Gaza aient accès, quand ils en ont besoin, aux mêmes soins médicaux que les ressortissants de l'Etat d'Israël.

parquet qui ne l’est pas, provoquant ainsi un grave déséquilibre entre les parties. A une procédure inquisitoire qui n’est pas sans défauts, succèderait une procédure accusatoire qui privilégie, encore et toujours, ceux qui auront les moyens de payer une contre-enquête.