Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

AZURCOM - Page 197

  • RAPPORT ATTALI

    Dans la journée d'hier, je m'y suis attaqué, histoire de me faire un avis personnel. Aussi dense que volumineux (plus de 250 pages), ce rapport énumère plus de 300 propositions. La méthode retenue rend difficile tout jugement quant à son contenu, car les 316 propositions sont de nature fort différentes et souvent dénuées de liens entre elles. C'est une vaste auberge espagnole 
      
     Il n’est pas étonnant que Nicolas SARKOZY soit "d’accord avec l’essentiel", car il aurait pu écrire lui-même une part conséquente de ce rapport . C’est à se demander d’ailleurs si ce n’est pas ce qu’il a fait …
     

  • UMP STE GENERALE MEME COMBAT

    L'UMP fait perdre 5 milliards à la Société ...Générale

    soci_t__g_n_rale_embrouilleJérôme Kerviel, salarié de la banque Société Générale, était aussi sur une liste UMP aux élections municipales en 2001(Information de France Inter ce matin).

    Malgré un poste loin d'être au sommet de la pyramide de décision, Kerviel a réussi à faire perdre 4,9 milliards d'euros à sa banque (et sans doute à beaucoup d'actionnaires !).

    La SG veut nous faire croire qu'il a agi seul. Ainsi un "simple trader" (A 100 000 euros par an tout de même !) peut jouer avec 40 millliards d'euros (C'est la somme minimale estimée qu'il aurait positionnée pour arriver à une telle perte...) sans que personne ne s'en rende compte, et ceci pendant des années !!

    La SG est soit vraiment TRES TRES riche, soit vraiment TRES TRES mal gérée. L'un OU l'autre, ou, l'un ET l'autre !

    Quand on pense que le gouvernement Sarkozy / Fillon a du mal à trouver 1 milliard pour les banlieues, et recherche 1,5 milliards pour honorer l'ânerie de Sarkozy de supprimer la pub sur les chaînes publiques !

    5 milliards envolés ! Merci l'UMP !

    Kerviel candidat UMP :

    Finalement, après une minutieuse recherche, Jérôme Kerviel était bien sur la liste UMP de Thierry Mavic en 2001 à Pont-L'Abbé dans le Finistère ! ( La preuve ici : Pressez vous, elle peut disparaitre ! On ne sait jamais...)

    Après le numéro 1 : Sarkozy qui a fait perdre 15 milliards d'euros à la France grâce à son programme fiscal vite voté en 2007, le numéro 2 est Jérôme Kerviel avec seulement 4,9 milliards de perte.

    Quel sera le prochain UMP de cette liste ? Réponse au fil des événements économiques...

  • QUI VA BANQUER?

    Lorsqu’il y a eu le vif débat sur la privatisation par la gauche et la droite des banques publiques d’antan, on a eu droit aux cris perçants des adeptes de la loi du marché et du profit. « On vous le garantit, la gestion totalement privée de ces entités sera infiniment plus sérieuse, plus efficace, plus utile que celle de l4Etat dont ce n’est pas le rôle ! ». C’est une réalité, on constate en effet que la Caisse des Dépôts après le Crédit Lyonnais a effectué des placements hasardeux et des erreurs graves de gestion. Que ce soit pour la première dans l’affaire des actions EADS ou pour l’autre dans ses aventures américaines, les contribuables ont été obligés de mettre largement la main à la poche (directement ou indirectement) pour compenser des disparitions massives d’actifs.

    Le Crédit Lyonnais fut la banque la plus puissante d’Europe. Elle avait le pouvoir de dire oui. Le fleuron de tout le système bancaire français, elle faisait des envieux à n’en plus finir : l’opulence était son image de marque, sa générosité en faisait le dernier salon où trouver un financement, et surtout pour une affaire douteuse.
    Et quelques 100 milliards de francs de pertes plus tard, une nouvelle banque privatisée a fait son entrée à la bourse de Paris. Voilà l’histoire du Lyonnais vite résumée à un trou abyssal. Mais derrière, des milliers de salariés meurtris, des contribuables contraints de passer à la caisse par la faute de quelques dirigeants inconséquents, des millions de clients apeurés par la fuite en avant, voyant filer leur argent au grès de la découverte vertigineuse des scandales, jusqu’à l’incendie dévastateur du siège central.
    En 1994 le bilan de la banque doit passer après les cessions de 1 500 milliards à 1 000 milliards de francs. Qui trinque ? Le personnel puisqu’en quinze ans, le Crédit lyonnais perd 15 000 emplois. On verra qui paiera à la Société Générale dans quelques mois !

  • 1562 JOURS A TENIR

    097160ece160cd87601c919175d31322.jpeg

  • PLUS PERSONNE N'EST UMP

    Nouveau retour en arrière signé Nicolas Sarkozy. En contradiction avec ses déclarations précédentes, le président de la République annonce ne plus vouloir se mêler des… municipales. Il y a encore quelques jours, il assurait pourtant vouloir s’engager dans la bataille de mars, en faire un scrutin d'ordre national. " Je n'ai pas à me mêler de la campagne municipale, à Pau ou ailleurs (...). Je ne veux pas me mêler du détail des municipales dans chacune des villes de France, ce n'est pas mon travail (...). Je ne vais pas m'engager sur chacun des combats municipaux", a martelé le chef de l'Etat, aujourd’hui lors de son déplacement à Pau.
    Le 8 janvier dernier, pourtant, lors de sa conférence de presse, le chef de l'Etat avait lancé qu'il s'engagerait "parce que le concept même d'élection dépolitisée est absurde". "Je devrais rester comme le ravi de la crèche et attendre que mes adversaires se mobilisent!", s'était-il exclamé. "Je m'engagerai" pour "mobiliser notre électorat " avait-t-il aussi assuré. Quelques indiscrétions démontrent en effet que bien des candidats, dont Alain juppé  n’était pas particulièrement ravi que l’on fasse des municipales un " test national " et d’ailleurs il n’a jamais été question que son " ami " de quelques jours passe dans le centre ville de Bordeaux en sa compagnie. Vous ne verrez pas beaucoup d’images de leur rencontre comme si elles pouvaient être exploitées par des adversaires ravis de la présidence de fait de son comité de soutien.
    Mais depuis la donne politique a changé. Trois sondages successifs montrent une forte érosion de la cote de confiance de Nicolas Sarkozy (l'un d'eux le place même derrière son premier ministre François Fillon), et deux autres sondages ont montré qu'une grande majorité de Français considèrent que les municipales sont avant tout "locales." A la tête de l’Etat, le doute semble avoir pris place aux côtés des certitudes sarkozystes et on va donc faire profil bas pour se défausser sur les copains du gouvernement (MAM hier en a pris plein les dents sur le retour de la police de proximité !) ou plus sûrement sur l’UMP.

  • ATHEISME ET COMMUNAUTARISME

    Quand le communautarisme est fort:

     c'est que le monde va mal

     Un grand merci au petit Nicolas (petit dans tous les sens du terme) qui entretien volontairement la haine intercommunautaire.

    b6dd4d8bc216a1a0542176f672e0268e.jpg

    Rappel : la deuxième "religion" de France, c'est l'athéisme !

    J'ai trouvé un site sympa sur l'athéisme, qui l'explique sans être offensant. 

     http://atheisme.free.fr/index.html

     ou encore, qui ne parle pas que de religion, mais qui n'a pas un cerveau disponible pour le coca-cola :

    http://jmgilbert.hautetfort.com/
  • LA REVOLTE DES VIGNERONS EN 1907

    img540_revolte_1907

    Pour en savoir plus.....

    clique_ici_gif_018

  • LA CROISSANCE OUBLIEE

    410dba3b0bb65091d746c4bb0b794470.jpeg 

    L'avant-dernier livre de Patrick Artus, un des économistes français les plus respectés, était intitulé : " Le capitalisme est en train de s'autodétruire ". Son dernier livre porte un titre prémonitoire : " les Incendiaires ". Les " incendiaires " en question sont les banquiers centraux. Il doit vraiment y avoir quelque chose de pourri dans notre système pour que Joseph Stiglitz, prix Nobel américain d'économie, ose, lui, titrer son dernier un ouvrage " Quand le capitalisme perd la tête ".

     Ces constats de Michel Rocard sont d’un autre niveau que les incantations du Chef de l’Etat français et plus encore les déclarations d’ajustements conjoncturelles sur la croissance de son Ministre de l’Economie et des Finances.

    Son analyse est encore plus pessimiste quand il évoque l’immensité de la dette fédérale américaine qu’il accuse d’être au cœur du problème. Ce passage d'un équilibre à un déséquilibre massif, généralisé, tient au changement de la répartition du produit national brut, entre les " salaires " (salaires et revenus de protection versés par la Sécurité sociale) et les " profits " (bénéfices industriels, honoraires des professions libérales, rémunérations "directes" sur le marché). Ce mouvement est très sensible en France mais on l'observe aussi aux Etats-Unis et dans l'ensemble des pays européens, y compris les pays de l'Est rejoints à toute allure par le capitalisme.
     En gros, les salaires sont passés de 71% du PIB en 1981, selon Michel Rocard, à seulement 60% en 2005. Près de 11 points de chute !
    Aujourd'hui, en France, si le produit intérieur brut avait conservé le même partage qu'en 1981, les ménages, selon Rocard, auraient dépensé en salaires et revenus de Sécurité sociale 130 milliards d'euros de plus. Affectés à la consommation, ces 130 milliards auraient donné au moins 1 point de plus de croissance chaque année. Et nous aurions eu en France un demi million de chômeurs de moins. Le capitalisme a perdu la tête en cherchant par n’importe quel moyen à accroître ses profits sans se soucier qu’il détruisait les salariés productifs et surtout consommateurs des biens et services qu’il faut vendre pour justement survivre. C’est le serpent qui se mord la queue ! A partir du moment où l’on ne prend en compte que la satisfaction de l’actionnaire on tue celles et ceux qui lui permettent de l’obtenir. Ainsi s’engage une course sans fin pour diminuer la part des " salaires " dans les charges des entreprises… en allant chercher ailleurs la même productivité dans un contexte social non contrôlé !
  • LA CONNERITUDE DE LA SEMAINE 3

    Le champion de la semaine 3 est une championne

     medium_top3_hebdo.gif                                               


    Christine Boutin

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     Madame Christine BOUTIN, Ministre du logement qui était en visite dans les Alpes-Maritimes, lundi 14 janvier.

    Alors qu’il manque 18 000 logements sociaux dans le département et que le prix moyen des logements mis à la vente dépasse les 5000 € le m2, madame la Ministre a sorti un nouveau gadget : la maison à 15 € par jour !

    Après le gadget de la maison BORLOO à 100 000 € qui a été un échec retentissant (seulement 400 maisons réalisées ou en cours de réalisation sur l’ensemble du pays) Madame BOUTIN propose la même chose : 15€ par jour pendant 20 ans équivalent en effet à un prix de revient total de 105 000 €.

    La seule nouveauté réside dans la communication qui cette fois porte sur le coût journalier.

    La maison BORLOO-BOUTIN avec son nouvel emballage permettrait au vu du prix moyen du m2 dans les Alpes-Maritimes la construction d’une " maison " de 19 m2…

    Le logement, devenu un problème crucial pour nos concitoyens, mérite mieux qu’une cascade de gadgets.

  • PLANNING DE CAMPAGNE SEMAINE 4

    9c4c87f373f9b3525c15c13bd590a5d4.jpg

     

    Lundi 21

    12h/13h30

    Pizzaction Permanence Guillabert

     

    Lundi 21

    20h

    Réunion de travail

     

    Mardi 22

    18h

    Galette républiquaine Brasserie Le Soleau

     

    Mercredi 23

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Vendredi 25

    18h30

    Maison des jeunes Les Semboules

     

    Samedi 26