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AZURCOM - Page 241

  • LA CONNERITUDE SEMAINE 10

     Les champions de la semaine 10

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    Les champions de la semaine: 

    Médaille d'or:Raymond Barre qui reconnait en Papon Bousquet  Gollmisch de grandes qualités humaines:80 points

    Médaille d'argent:Simone Veil pour son ralliement contre nature à Sarko:55 points

    Médaille de bronze:Bayrou pour l'ambiguité de son programme un coup au centre un coup à droite:35 points

  • SARKO PRESIDENT !

    ...QUAND JE SERAI PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE...

    AVANT

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    APRES...

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    NOUS...

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  • SONDAGES

    Au regarde les sondages on doit admettre que l’on trouve un écho à ce que l’on observe autours de nous au niveau extrêmement bas des votes de gauche qui y sont pronostiqués.Que vaut ces sondages puisqu’il s’agit toujours des mêmes « échantillons » de 800 personnes ? Mais ils placent à moins de quarante pour cent au premier tour toute la gauche. C’est sans précédent depuis plusieurs décennies dans cette sorte de sondage et dans ce que nous avons constaté dans les urnes. Notre étiage, vraiment bas était 42 ou 43 points.

     Il n'y a pas d'automatisme entre haut niveau de révolte contre la situation  que nous constatons tous autour de nous et conscience de gauche

     La candidate socialiste recueille la grande majorité des suffrages de gauche en tous cas plus de la moitié. Ce qui la rend majoritaire à gauche et devrait faire réfléchir ceux qui s’obstinent à bâtir leur campagne alternative sur la dénonciation des socialistes l’autre gauche est explosée en miettes et le moteur de la conscience de gauche est plus que poussif dans la société. Il ne s’agit pas ici des qualités individuelles des personnes concernées Il s’agit de leur vision de l’action politique à gauche et de leur façon de s’adresser au pays. Tous gèrent des patrimoines électoraux et se disputent les mêmes votes acquis ou supposés tels.
  • BAVURES

    Violences, abus, menottage : la police nationale encore épinglée

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    La police nationale a été une nouvelle fois en 2006 l'objet de la grande majorité des plaintes déposées à la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS), selon le rapport annuel publié hier.

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    La commission nationale de déontologie de la sécurité,chargée de veiller au respect de la déontologie par les personnes d'une mission de sécurité  publie hier un rapport qui accable la police nationale. Dans son rapport, la commission indique qu'il y a eu au total 140 plaintes enregistrées en 2006 soit 30 % de plus qu'en 2005. Une hausse qu'elle explique par sa « notoriété croissante », six ans après sa création par une loi de 2000.
    Du côté des dossiers traités, la progression sur un an est plus forte encore (+50%). Si en moyenne un quart des plaintes se révèlent injustifiées, elles continuent de mettre en cause majoritairement la police nationale. L'autorité administrative indépendante déplore lors des interpellations ou dans les commissariats une « fouille à corps trop souvent banalisée », un « menottage systématique » qui ne s'imposait pas forcément, ainsi que « huit cas de violences illégitimes graves », d'après le rapport.
    « Traînée sur la chaussée »
    « Personne ne doute que les forces de l'ordre doivent utiliser la force et la contrainte, mais les utiliser à bon escient, de manière proportionnelle », a déclaré lors d'une conférence de presse Philippe Léger, le magistrat qui préside la CNDS depuis fin 2006.
    Cela n'a visiblement pas été le cas lors d'une manifestation à Lyon en 2005, où une femme avait été « traînée sur la chaussée » par des fonctionnaires de la BAC (Brigade anti-criminalité) et s'était vu administrer des coups de pieds et des décharges de pistolet Taser.
    Selon l'avis de la CNDS, « l'interpellation fut empreinte de brutalité, sans respect des règles élémentaires de la déontologie policière et de la dignité humaine ». La Commission relève aussi « des fautes de commandement » ayant permis à ces policiers d'intervenir sans signe distinctif.
    Concernant les fouilles, elle évoque le cas d'un réfugié politique algérien (Habib Souaïdia, auteur du livre « La sale guerre »), « violemment interpellé » par des policiers du poste de police des Halles à Paris, « fouillé, totalement déshabillé dans un couloir ».
    Même si elle s'était déjà exprimée sur le sujet cet été, la Commission revient sur le drame de Clichy-sous-Bois qui avait déclenché les émeutes en banlieue à l'automne 2005. Elle « réprouve les conditions de l'interrogatoire du jeune rescapé (..) entendu dans un cadre juridique flou » alors qu'il était encore alité après avoir été grièvement brûlé.
    « Meilleure formation »
    La CNDS peut être saisie par tout citoyen s'il passe par l'intermédiaire d'un parlementaire ou de la Défenseure des enfants s'il s'agit d'un mineur. Depuis six ans, elle a enregistré un nombre de saisines sans cesse croissant (19 en 2001, 70 en 2003, 108 en 2005).
    Pour le député PS Bruno Le Roux, un des quatre parlementaires y siégeant (sur 14 membres au total), ces plaintes en hausse constante s'expliquent par une « meilleure information » sur la CNDS plutôt que par des bavures en plus grand nombre. Toutefois les saisines sont la confirmation que des dérives existent, a fait valoir le Syndicat de la magistrature (SM, gauche), se disant « content de voir que la CNDS joue son rôle ».
    Pour Emmanuelle Perreux, présidente du SM, la « vraie question » est la suivante : « Quand l'institution dysfonctionne, que fait-elle pour éviter que ça recommence ? ».
    Les syndicats de police se sont montrés à nouveau très critiques sur la CNDS, que Synergie (officiers de police) a accusé d'être « un cercle de déontologues autoproclamés et issus de milieux préservé

  • AIRBUS

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  • LES 2134 SIGNATAIRES

    Nous les avons aidé à mourir...

    1. Les 2134 signataires du Manifeste : texte intégral et liste complète

    « Nous, soignants, avons, en conscience, aidé médicalement des patients à mourir... » Médecins, infirmières, aides-soignantes, ils sont 2 134, en France, à avoir signé le manifeste lancé par le docteur Denis Labayle dans la revue « Pratiques, les Cahiers de la médecine utopique ». Un texte qui fera date, sciemment publié à quelques jours de l'ouverture du procès de Chantal Chanel et Laurence Tramois. Lundi prochain, l'infirmière et le médecin de Saint-Astier comparaîtront devant la cour d'assises de la Dordogne pour empoisonnement et complicité d'empoisonnement
    Depuis des années, les questions de fin de vie ne cessent de provoquer dans l'opinion des prises de position parfois violentes, mais aussi d'incessantes interrogations dans le milieu médical. Lorsque le docteur Frédéric Chaussoy avait été mis en examen pour empoisonnement avec préméditation après la mort de Vincent Humbert, un jeune paraplégique qui ne cessait de réclamer d'en finir, 3 000 médecins avaient signé une pétition de soutien.


    Enfreindre la loi. Le mouvement lancé par Denis Labayle, chef du service hépato-gastro-entérologie de l'Hôpital sud-francilien d'Evry, va plus loin encore. Si les mots sont soigneusement pesés, le texte est clair. Ses signataires reconnaissent implicitement avoir, au moins une fois, choisi d'enfreindre la loi face à une fin de vie difficile.
    C'est en tout cas le message qu'a voulu délivrer un médecin qui aurait pu attendre tranquillement sa retraite prochaine, après presque quarante ans de pratique hospitalière. Mais l'homme, auteur de nombreux livres, dont plusieurs romans, n'est pas du genre à se taire. L'annonce du renvoi de l'infirmière et du médecin de Saint-Astier devant les assises a servi de déclencheur « la goutte d'eau qui fait déborder le vase », comme le dit lui-même le docteur Labayle pour expliquer une démarche sans précédent en France.


    Sujet tabou. Car l'euthanasie, si elle touche beaucoup de monde dans une société où les progrès de la médecine ne cessent de repousser les limites du vieillissement, demeure un sujet tabou dans le milieu médical. Les témoignages de familles dans la douleur sont nombreux pour raconter l'implication d'un soignant dans un geste pouvant s'y apparenter. En revanche, les témoignages de ces mêmes soignants sont beaucoup plus rares. Aucun n'ignore, en effet, qu'il peut encourir les foudres de ses pairs et celles de la justice.
    Se souvient-on, par exemple, que le bouillant et emblématique cancérologue Léon Schwartzenberg fut suspendu d'exercice pendant un an, en 1991, après avoir avoué publiquement qu'il avait aidé un patient à mourir ? Finalement, la sanction du Conseil de l'ordre fut annulée en 1993 par le Conseil d'Etat, mais pour un simple vice de forme...


    Réticences. On comprend dès lors les réticences de certains médecins à évoquer publiquement le sujet. D'autres invoquent, d'abord et avant tout, leur conscience et le serment qu'ils ont prêté.
    Face à eux, les signataires du manifeste estiment que la loi reste insuffisante en France. Une loi pourtant modifiée en avril 2005, qui insiste désormais sur la nécessité de respecter la volonté du patient, lequel peut refuser les soins. Le même texte autorise aussi les équipes médicales, en concertation, à ne pas poursuivre certains actes médicaux qui pourraient s'apparenter à un acharnement thérapeutique. Le législateur admet aussi que l'administration de certaines substances, destinées à soulager un patient, peuvent le cas échéant conduire à la mort...
    Une sorte de dépénalisation de l'euthanasie dite passive, qui ne satisfait pourtant pas tout le monde. Il y a quelques mois, le rapporteur de la loi, Jean Leonetti(maire d'Antibes), estimait dans ces colonnes que son texte réglait 90 % des cas les plus douloureux de fin de vie. Les tenants de la dépénalisation de l'euthanasie mettent en avant les 10 % restants comme autant de situations dramatiques qui peuvent conduire médecins ou infirmières devant la justice.
    Laquelle justice traite au cas par cas les très rares affaires portées à sa connaissance, criminalisant parfois des gestes que ces soignants ont, à un moment donné, estimés nécessaires pour leurs patients

  • RESF

    Sortie du film "Laissez les grandir ici"

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    Professionnels du cinéma et de l’audiovisuel en soutien au Réseau Education Sans Frontières et à tous les « sans-papiers » de France


    Pour réaliser ce film,

    le Collectif des cinéastes pour les « sans-papiers »

    s'est adressé au Réseau Éducation Sans Frontière (RESF) et à des enseignants,

    qui ont présenté certains de leurs élèves, des enfants de ceux qu’on appelle « sans-papiers ».

    Les enfants ont raconté leurs situations, confronté leurs expériences. De ces échanges est né un texte (voir pétition à signer), de ce texte est né un film. LEUR film. Une forme simple qui porte leur parole et leur histoire. Une histoire de peur et de souffrance.

    Les enfants ont participé à ce travail avec leur passion et leurs espoirs. Espoir de voir cesser l’arbitraire, qui fait toujours d’eux des enfants de « sans-papiers », des enfants de déboutés. Espoir de vivre sans la peur quotidienne d’être expulsés. Passion d’apprendre et de grandir dans un pays qui est le leur comme il est le nôtre.

     
    Ce film sera projeté dans les salles de cinéma à partir de mercredi 7 mars 2007 (salles d’Art et Essais, réseau MK2...) et 400 copies sont d’ores et déjà disponibles pour une diffusion nationale. De plus, des DVD seront bientôt disponibles.
  • LA JOURNEE DE LA FEMME

    La Journée de la Femme!

  • QUEL AVENIR POUR LE SPORT SCOLAIRE

    medium_1165241955.jpg    1. PROBLEMATIQUE GENERALE. L’Union Nationale du Sport Scolaire (UNSS) et l’Union Sportive de l’Enseignement du Premier Degré (USEP) comptent aujourd’hui à elles deux plus de 1 733 000 licenciés dans les associations sportives de leurs établissements. C’est pour beaucoup d’entre eux, notamment en zones difficiles et en milieu rural, l’unique possibilité de pratiquer une activité physique ou une activité sportive en bénéficiant d’un encadrement pédagogique de qualité.

    Aujourd’hui quatrième fédération sportive française si l’on considère le nombre de ses licenciés (826 422), l’USEP développe une mission de service public située à l’articulation du domaine pédagogique et de ses prolongements culturels et sportifs. L’ensemble constitue un élément important du projet de chaque d’école.

    Troisième fédération sportive nationale, l’UNSS regroupe pour sa part 907 320 élèves du second degré. Ce sont les professeurs d’éducation physique et sportive (EPS) qui assurent l’encadrement de ces activités dans le cadre de leur service d’enseignement. L’UNSS correspond donc à un prolongement des cours d’EPS obligatoire qui permet souvent une ouverture pédagogique vers des formes d’activités innovantes et un engagement citoyen . Ce « service public sportif » au collège et au lycée repose sur l’engagement des enseignants d’EPS qui y consacrent trois heures forfaitaires incluses dans leur service hebdomadaire.

    Celles-ci devraient donc être logiquement confortées pour permettre de développer encore mieux une réponse pédagogique appropriée à un réel besoin social. A l’inverse, une remise en cause de ces trois heures forfaitaires d’engagement associatif fragiliserait l’UNSS et, au-delà, le service public du sport scolaire.

    . 2. LE CONSTAT : L’EPS ET LE SPORT SCOLAIRE EN MAL DE RECONNAISSANCE POLITIQUE ET INSTITUTIONNELLE.

    Alors que depuis 25 ans l’EPS a été confortée au plan institutionnel  avec son intégration dans le cadre de l’Education nationale, avec la création de l’agrégation, celle des STAPS au plan universitaire, la re-création de l’Ecole Normale Supérieure, la suppression du corps des professeurs adjoints, les participants au débat constatent qu’elle n’est pourtant pas intégrée ès-qualité, c’est-à-dire en tant que discipline d’enseignement fondamentale, dans le socle commun des connaissances définit par le Ministère de l’Education nationale. Elle n’a qu’une place dite « contributive ». Cela pose la question de la légitimité de cette discipline en milieu scolaire.

    L’EPS peine à construire son identité scolaire car il existe une confusion dans l’esprit des femmes et des hommes politiques entre la pratique du sport, notamment la pratique en club, et la discipline éducative qu’est l’EPS. Les enseignants d’EPS s’attachent pourtant constamment à promouvoir une véritable culture scolaire des activités physiques et sportives dans le cadre défini par les programmes institutionnels. Ce qui devrait permettre de supprimer la confusion couramment admise entre « prof de gym », « prof de sport » et professeur d’EPS. Or, ce n’est toujours pas le cas aujourd’hui.

    Pourtant, l’EPS est une discipline scolaire depuis 1959 ; date de son introduction dans le programme du baccalauréat. Un demi siècle plus tard et alors même qu’elle est structurée par des programmes nationaux, elle ne bénéficie toujours pas du même statut que les autres disciplines d’enseignement. En tant qu’il se présente comme un prolongement pédagogique de l’EPS, le sport scolaire pâtit bien évidemment de cette situation.

     

    3. LA QUESTION DES MOYENS.

    Même s’il ne s’agit pas de focaliser éternellement la réflexion sur le manque de moyens, il faut constater une baisse significative du nombre d’emplois offerts aux étudiants en STAPS qui se destinent au professorat d’EPS. Dans l’avenir, il s’agira de gérer de manière républicaine les ressources mises à disposition de l’EPS par l’Etat.

     Aujourd’hui, au plan des moyens qui lui sont attribués, la question se pose de savoir si l’absence de reconnaissance institutionnelle ne contribuerait pas à sous doter l’EPS, notamment au plan des postes mis au concours aux CAPEPS et à l’agrégation. A terme, si cette tendance devait se confirmer, nous nous orienterons alors vers un appauvrissement significatif de cet authentique service public doublement identifiée : d’une part, à partir d’un « outil»  pédagogique très exceptionnel qu’est le sport scolaire et, d’autre part, d’une éducation physique porteuse de valeurs républicaines.

     

    Au final, la question se pose de savoir si cela n’entraînera pas un appauvrissement des connaissances transmises par l’école.

     4. DES ENSEIGNANTS ET NON DES ENTRAÎNEURS.

     Lauréats d’un concours portant sur l’attribution d’un « certificat d’aptitude à l’enseignement de l’EPS » ou d’une agrégation d’EPS, les « prof d’EPS » se distinguent des entraîneurs titulaires d’un brevet d’Etat d’éducateur sportif. Les uns et les autres ne font donc pas le même métier : le premier est « polyvalent » et inscrit son action dans le domaine de la formation du citoyen ; le second est « monovalent » et inscrit son action dans le domaine de la formation de l’athlète.

     Pourvu d’une « utilité sociale » qui contribue à construire un autre rapport au sport que celui reposant sur la seule performance, l’action du professeur d’EPS se distingue donc de celle de l’éducateur sportif spécialisé. Si les deux sont indispensables au développement d’une activité sportive d’intérêt général – donc considérée comme un service public, l’activité sportive scolaire, organisée dans le cadre de l’association sportive des établissement d’enseignement, se distingue donc clairement de celle développée par les clubs sportifs affiliés aux fédérations olympiques. Cette spécificité du sport scolaire n’est pas seulement à préserver, elle est à développer.

      5. POUR UNE DYNAMIQUE DE DEVELOPPEMENT ET DE PROMOTION DU SPORT SCOLAIRE. Il est vital de conserver un sport scolaire considéré comme un prolongement des cours d’EPS dans le cadre d’une ouverture pédagogique - aujourd’hui indispensable - vers des formes d’activités physiques innovantes. Ils considèrent que l’incontestable vitalité que l’on constate dans les collèges et les lycées repose sur des élèves très motivés, des professeurs d’EPS très volontaires et des chefs d’établissement qui sont majoritairement très engagés. 

    Il faut amplifier cette dynamique. Elle s’inscrit en effet dans un véritable choix de société : celui d’un sport considéré comme une pratique sociale et culturelle reposant sur des valeurs républicaines. Or, celles-ci ne sont absolument plus portées par un sport spectacle promu par les télévisions comme un simple produit d’appel et qui, de ce fait, se trouve affublé d’une connotation de plus en plus négative : dopage, affairisme, corruption.

    Le rôle de l’école est aussi de permettre aux élèves de percevoir, et donc de concevoir, le sport autrement que par le biais des seules dérives du sport business. L’association sportive scolaire est donc, et doit demeurer dans l’avenir, cet « espace de citoyenneté sportive » qui fait d’elle un outil pédagogique indispensable à la formation d’un « sportif éclairé ».

    En conclusion il faut considérer que l’Education nationale ne saurait se priver de l’existence et du développement de l'EPS et du sport scolaire associatif au sein de l’école, du collège et du lycée.

  • LE FLMBA#

    Les moules prennent le maquis

    Suite aux tortures et éxécutions perpétrées sur nos amies moules, le bouchot libre s'organise. Comme De Gaule lança son appel du 18 juin, le FLMBA lance un appel vibrant pour constituer une force d'opposition à la barbarie qui envahie nos villages et nos bassins mytilicoles.

    Jeunes moules unissez vous rejoignez les forces de la France libre, celle qui travail tôt le matin, la France du mérite, où il est normal de favoriser ceux qui triment pour la nation que les gauchos chomistes anarchistes qui préfèrent jouer au flipper et fumer des pétards.

    Alors oui un grand mouvement de résistance est en train de naitre. Nous avons des hordes de moules qui prennent le maquis.

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    Photo d'une colone de moule se dirigeant vers la forêt pour organiser la résistance.

    FORZA MOULAS !!!!

    A suivre.......

    #Front de Libération de la Moule de Bouchot de l'Atlantique