Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • ESTROSI NE MANQUE PAS D'AIR

    Estrosi.jpgSi nous étions en place, PSA [Peugeot Citroën] ne fermerait pas le site d'Aulnay-sous-Bois", a-t-il déclaré. "Il aurait peut-être suffi, il y a deux mois, de regarder comment accompagner par des prêts PSA pour pouvoir répartir la production entre les sites de Sochaux, de Mulhouse, de Rennes et d'Aulnay, et ainsi sauver un site industriel".

    Voilà ce que ce triste sire de Christian Estrosi a osé déclarer ce lundi !!!!

    On reste pantois devant telle impudence !

    Au fait, ce M. Estrosi n'a-t-il pas été Ministre de l'Industrie de juin 2009 à novembre 2010 ??? Si il avait été si brillant à cette fonction, PSA ne serait donc pas dans la mouise aujourd'hui.

    Alors, avoir le culot de nous dire "si nous étions en place aujourd'hui" dépasse l'entendement.

    D'abord M. Estrosi nous démontre ainsi qu'il n'a pas encore digéré la défaite de son champion et de son camp.

    Ensuite et surtout M. Estrosi a l'air bien malin avec cette déclaration inepte !

    Pourquoi l'ancien Gouvernement ne s'est-il donc pas préoccupé de la situation de PSA alors que le plan de fermeture de l'usine d'Aulnay était connu depuis près d'un an ????!!!!

    Trop facile de s'en prendre maintenant à la nouvelle majorité.

    Et cerise sur le gâteau, malgré les dénégations outrées de M. Baroin,, sans même s'en rendre compte, M. Estrosi nous fait ainsi l'aveu aujourd'hui que l'ancien pouvoir s'est bel et bien arrangé avec la direction de PSA pour refiler la patate chaude à son successeur.

    Mais le jour où M. Estrosi réflechira avant de parler n'est pas encore arrivé.

  • VACANCES A LA BERNERIE

    bords de la mer 025.JPG

    On allait au bord de la mer
    Avec mon père, ma soeur, ma mère
    On regardait les autres gens
    Comme ils dépensaient leur argent

    Nous
    Il fallait faire attention
    Quand on avait payé le prix d'une location
    Il ne nous restait pas grand chose

    Alors on regardait les bateaux
    On suçait des glaces à l'eau
    Les palaces, les restaurants
    On n'faisait que passer d'vant
    Et on regardait les bateaux
    Le matin, on s'réveillait tôt
    Sur la plage, pendant des heures
    On prenait de belles couleurs

    On allait au bord de la mer
    Avec mon père, ma soeur, ma mère
    Et quand les vagues étaient tranquilles
    On passait la journée aux îles
    Sauf quand on pouvait déjà plus

    Alors on regardait les bateaux
    On suçait des glaces à l'eau
    On avait l'coeur un peu gros
    Mais c'était quand même beau

  • PHOTOS DE VACANCES

    chirachollande2.gif

  • SOUVENIRS D'AVIGNON

    avignon 003.JPG

  • IL Y A 70 ANS

    1730782_3_e710_sarah-montard-84-ans-l-une-des-survivantes-de_b2ca17303312d736121e9d5163fc2dfc.jpg

    Listes de juifs arrêtés, comptabilité de leurs biens saisis, notes des RG sur l'état d'esprit de la population : pour la première fois, la préfecture de police de Paris (PP) expose ses archives de la rafle du Vel d'Hiv en juillet 1942, des documents uniques sur cette tragédie. L'exposition intitulée "La rafle du Vel d'Hiv, les archives de la police" se tiendra du 16 juillet au 15 septembre à la mairie du IIIe arrondissement parisien.

    Il y a 70 ans, le 13 juillet 1942, la préfecture de police, sur ordre des nazis, mobilise des milliers de policiers dans Paris et en banlieue pour "l'arrestation et le rassemblement d'un certain nombre de juifs étrangers" au Vélodrome d'Hiver. Le 16, l'état-major de la PP signale que "l'opération contre les juifs", commencée à 4 heures du matin, est "ralentie par beaucoup de cas spéciaux : beaucoup d'hommes ont quitté leur domicile hier ; des femmes restent avec un tout jeune enfant ou avec plusieurs ; d'autres refusent d'ouvrir, il faut faire appel à un serrurier (...) l'opération est lente".

    Le 17 à 22 h 15, un cri d'alarme transparaît à travers la froideur administrative d'une note policière : "Mme Gautier, infirmière de service au Vélodrome d'Hiver, téléphone sur le conseil du secrétariat du préfet de la Seine pour demander à la PP de mettre à sa disposition des couvertures, bassines et cuvettes dont les internés ont le plus grand besoin". Selon les historiens, les conditions de vie étaient épouvantables au Vel d'Hiv.

    13 152 JUIFS

    Le 21, encore une note qui détaille le bilan des "opérations de ramassage des juifs" : "Hommes 3 118, femmes 5 919, enfants 4 115, soit au total 13 152 arrestations". Enfin, le 22 au matin, un sec télégramme signé "Lambeau" informe : "8 h 40 – Opérations terminées définitivement au Vel d'Hiv à 8 h 30 – Vel d'Hiv évacué en totalité". "Les Allemands espéraient arrêter 27 427 juifs à Paris et en petite couronne, mais finalement il n'y en a eu 'que' 13 152. Ca fait déjà beaucoup!", explique le commissaire de l'exposition, Olivier Accarie Pierson.

    Moins d'une centaine de ces raflés reviendront d'Auschwitz – aucun enfant. La famille du commissaire adjoint de l'exposition, Charles Trémil, 77 ans, figure parmi les victimes – à part un frère qui a pris la fuite, perdant ses papiers retrouvés dans les archives de la PP.

    "Les notes des Renseignements généraux (RG) de l'époque montrent que la rafle a été très mal perçue par la population", souligne-t-il. "C'était la première fois que tout le monde était arrêté, femmes, enfants et vieillards inclus. Du coup de nombreux policiers avaient fait fuiter l'information la veille de la rafle. Les Allemands étaient furieux", selon Olivier Accarie Pierson.

    "LES GENS ONT FAIM ET FROID"

    Quant à M. Trémil, il a vécu dans la clandestinité de 7 à 10 ans, caché sous un faux nom. "Le souvenir le plus marquant de cette époque, c'est la peur." Outre les rafles, les archives qu'il a longuement parcourues – celles du IIIe arrondissement uniquement, les autres étant passées au pilon à la Libération – racontent la vie sous l'Occupation : "On voit que les gens volent des couvertures, de la nourriture, des tickets de rationnement, du charbon...", détaille M. Trémil.

    "La France était exsangue, pillée par les Allemands (...) A Paris, les gens crevaient de faim. C'était l'obsession permanente : trouver à manger", narre le commissaire Françoise Gicquel, responsable du département patrimonial à la PP.

    Les notes des RG sont les plus précises, selon M. Trémil : "Ils écrivent que les gens ont faim et froid, qu'ils veulent le retour des prisonniers de guerre, qu'ils souhaitent la victoire des Anglais." "Je pensais que les RG allaient caresser le pouvoir dans le sens du poil, mais pas du tout !", s'étonne-t-il. "La hiérarchie collaborait, mais la base tiquait", résume le commissaire Gicquel

  • NON A LA FERMETURE D'AULNAY

    1732777_3_029d_des-salaries-de-l-usine-psa-de-paimpont-pres_b66fae0c72fd7c7d22e8f8f6fe7824a6.jpg

    Des salariés de l'usine PSA , le 12 juillet. | AFP/ALAIN JOCARD

    L’annonce, faite par la direction du groupe PSA Peugeot-Citroën, de la suppression de 8000 postes en France et de la fermeture de l’usine d’Aulnay-sous-Bois en 2014 est une tragédie nationale.

    La fermeture du site d’Aulnay est un drame pour les salariés, pour les familles, pour la ville, pour la Seine-Saint-Denis et pour la région.Nous devons apporter notre soutien dans la dignité aux 3300 salariés qui travaillent sur ce site, aux centaines de familles qui habitent à Aulnay mais aussi aux sous-traitants qui font vivre le territoire et offrent de nombreux emplois dans une ville et un département où le chômage, et notamment le chômage des jeunes, est très élevé.

    Il y a un avenir pour l’industrie automobile en France et pour le site d’Aulnay. La Direction de Peugeot doit donner des garanties et accepter de travailler avec les représentants des salariés, l’Etat et les collectivités locales pour définir une stratégie industrielle pour l’automobile en France et pour permettre le maintien d’une activité industrielle sur le site d’Aulnay.

    Il serait inadmissible que PSA, qui a perçu 4 milliards d’euros d’aides de l’Etat, ne prenne pas ses responsabilités quant à l’avenir des territoires que ses décisions meurtrissent. Le groupe doit apporter des garanties aux salariés mais aussi à la reconversion des sites fermés.

    Il est nécessaire de rappeler qu'il y a deux ans, PSA a battu des records de ventes de véhicules et , pour satisfaire les actionnaires, ce sont les salariés qui vont payer. La distribution des dividendes représente 50 % des résultats en moyenne sur cinq ans du groupe. L'entreprise aurait pu  garder une provision pour ne pas se trouver dans une situation financière trés  compliquée aujourd'hui 

    Le gouvernement est mobilisé, avec les députés socialistes, face à l’avalanche de plans sociaux et de fermetures d’usines depuis les élections présidentielle et législative.

    Il y a de l’espoir pour notre industrie automobile : d’autres véhicules peuvent être conçus, des investissements réalisés dans les nouveaux matériaux et dans les nouvelles formes de mobilité de demain, des partenariats durables renforcés entre les constructeurs, les équipementiers et les sous-traitants. C’est tout l’enjeu du plan de soutien à l’industrie automobile qui sera présenté par le Ministre au redressement productif Arnaud Montebourg le 25 juillet.

  • VERS UN CONGRES CALME

    4024095.jpg

    Pour les non initiés, l'annonce hier d'une contribution commune Martine Aubry-Jean-Marc Ayrault en vue du prochain congrès du PS, en octobre, n'a sûrement pas une importance politique très grande. A tort : c'est une décision majeure et une excellente nouvelle. D'abord parce que la réconciliation entre les deux socialistes, qui convoitaient légitimement Matignon, est désormais scellée. Martine aurait pu, c'était une possibilité et le pire scénario, jouer sa propre partition, ressasser son amertume, cultiver sa différence, à l'extrême opposer le parti au gouvernement. Dans la situation où se trouve la France, qui exige l'unité et la responsabilité de tous les socialistes, ce comportement aurait été catastrophique. Ayrault et Aubry ensemble, c'est le rassemblement qui prévaut et c'est très bien.

    De plus, il y a dans cette démarche une notion totalement nouvelle, jamais vue dans le cadre d'un congrès socialiste, qui aura sans doute échappé à l'attention de beaucoup : c'est "l'exclusivité" imposée par Martine Aubry. En clair, ça signifie que les signataires du texte qu'elle propose avec Jean-Marc Ayrault ne pourront pas soutenir d'autres textes (ce que les statuts du PS rendent possible dans ce premier temps des contributions). Ministres et dirigeants du parti devront donc faire un choix, afficher clairement leur solidarité avec la politique gouvernementale, tout en restant libres bien sûr de rejoindre d'autres contributions, mais en assumant les conséquences.

    Mine de rien, c'est une petite révolution dans la culture politique du PS. Le moment des contributions, c'est celui des rapports de forces internes, des positionnements artificiels dissimulés derrière le débat d'idées, de la retape militante, de la signaturite aigüe (jamais un adhérent ne voit son soutien nominatif autant sollicité que dans cette période-là !), de dizaines de textes souvent illisibles, parfois folkloriques, de toute façon inutiles et la plupart du temps jamais lus, y compris par leurs signataires. La phase des contributions est à la réflexion politique ce que la gonflette est à la musculation. Elle favorise les marchandages sur le dos des militants en laissant croire qu'on les implique.

    Dans l'idéal, il faudrait que le parti supprime le système des contributions et en reste aux motions, qui sont de grands textes généraux sur lesquels il faut trancher sans possibilité de se partager. En attendant cette nouvelle avancée dans la rénovation du parti, Martine Aubry, en imposant une clause d'exclusivité, porte un sérieux et salutaire coup au salmigondis des contributions.

    Ce congrès d'octobre, je le vois essentiellement comme le congrès de l'unité, orienté dans deux directions : le soutien au gouvernement et la poursuite de la rénovation du parti, inaugurée par Martine Aubry. Les camarades qui voudront se compter le pourront toujours, on est libre au parti socialiste ! Mais ce serait une erreur politique. Quand on est aux responsabilités, quand on devient parti de gouvernement, on ne privilégie pas la cuisine interne, qui généralement n'a pas bon goût. Dans l'opposition, il est normal que toutes les sensibilités se fassent entendre, dans l'objectif de construire un projet commun, alternatif. Mais quand on dirige le pays, ce temps-là est fini, les choix ont été faits par les Français, il faut appliquer ce qui a été promis, pas chercher à se distinguer ou, pire, à critiquer.

    Ce congrès de l'unité et de la rénovation, il faudra le porter à tous les niveaux, section, fédération, instances nationales, en poursuivant le travail qui a commencé avec l'instauration de la parité, qui s'est prolongé avec l'organisation des primaires, qui attend sa prochaine étape, la loi sur le non cumul des mandats. Ce sont les trois mesures phares qui auront bouleversé la culture militante du parti socialiste, et dont les effets ne sont pas encore complètement mesurés.

  • PLAN ANTI-CUMUL

    Cumul-info-service, pour sevrer les élus accros

    par Erwan Cario

    tag : politique

    « Arrêter de cumuler en 90 jours, c’est possible », clame le site web Cumul-info-service lancé par le collectif citoyen Participe Futur. Sur le modèle de Tabac-info-service, il part en croisade contre le cumul des mandats, mais sur un ton décalé particulièrement pertinent, en comparant les élus cumulards à des fumeurs invétérés.

    On y découvre donc de nombreux témoignages, comme celui de Jean-Claude G. (23 ans de cumul) : « Si j’arrête, c’est pour mes électeurs. [...] Je leur avais promis avant les élections, et une fois que j’ai été élu, je me devais de passer à l’acte. Je pense aussi aux jeunes élus : je ne veux pas qu’ils commencent à cumuler et deviennent dépendants comme moi je l’ai été. » Cumul-info-service s’amuse aussi à démonter une à une les excuses les plus courantes sorties par les toxicos du mandat. Ainsi, à l’argument « si je démissionne aujourd’hui, nous risquons de perdre la prochaine élection ! », il répond : « Prenez du recul : il y a eu une vie sans vous, il y en aura une après. D’ailleurs la France n’a pas toujours connu le cumul des mandats. Sous la IVe République, seuls 40% des députés détenaient un mandat local, contre 90% aujourd’hui. »

    Mais on ne trouve pas que du second degré sur Cumul-info-service. Bastien François, directeur du département de science politique de la Sorbonne, et Marc-Olivier Padis, rédacteur en chef de la revue Esprit, analysent ainsi, dans de courtes vidéos d’entretiens, le phénomène du cumul des mandats.

  • FRANCE ALLEMAGNE

    France-Allemagne 82 : avec le temps, tout ne s'en va pas...

    Le jeudi 8 juillet 1982 au soir, je me suis couché tard et je n'ai pas dormi de la nuit. Même pas une minute. Et depuis, je vis avec le souvenir vain, inutile et désespérant d'un match de football perdu aux tirs aux buts par l'équipe de France face à la RFA de l'époque (3-3, 5-4 tab). Au fil du temps, à mesure que les années ont passé, ce match est plus qu'un souvenir de football. C'est aujourd'hui un marqueur de l'existence. Ce France-RFA, demi-finale de Coupe du monde, est devenu la mesure du temps qui passe.

    frarfa82.jpgIl n'y a là rien qui soit très original, mais que peut-on dire désormais qui soit original au sujet d'un match de football au sujet duquel tout a été dit, écrit et montré ? "Comme le temps passe" disait l'autre. France-RFA 82, Séville 82, Schumacher-Battiston, le tir sur la barre d'Amoros, la reprise de Trésor, le "En retrait pour Giresse !" de Larqué, le tir au but raté de Six que l'on ne vit jamais en direct, celui de Bossis, le poing levé de Schumacher, Briegel hébété sur le banc de touche quand la France mène 3-1, Littbarski, le retourné de Fischer, Hidalgo, son polo rayé bleu et blanc et son petit short... Jamais match de football n'a imprimé dans la mémoire autant d'images qui y sont restées. France-RFA 82 est le match dont on se souvient le mieux. Et le temps a beau s'écouler, tout demeure, intact. Il est plus facile d'évoquer les actions de Séville 1982 que celle de Donetsk 2012, logique.

    Non, tout ne s'en va pas avec le temps, et certains souvenirs, même si ce ne sont pas les plus chouettes, même s'ils ont une de ces gueules à la galerie "j'farfouille", dans les rayons de la mort, peuvent, certains samedis soir, inciter à la tendresse, quand bien même la tristesse, elle, est toujours vive.

    frarfa82-1.jpg Pour ceux qui sont nés avant 1982 ils n'ont  pas connu Séville 82, ni Guadalajara 86, ni Arconada 84, seulement les grandes heures de la Coupe du monde 98 et de l'Euro 2000. Je me suis demandé ce qu'elle pouvait bien penser de ces souvenirs d'ancien combattant. Quel rapport peut-on entretenir avec une légende que l'on pas vécu ? Que pense-t-on des vieux cons qui, des siècles plus tard, continuent de pleurer sur Battiston, Tigana, Platini, Janvion et les autres ? Trente ans après, je me suis rendu compte qu'un simple match de football pouvait aussi relever de l'indicible...

    Séville est une affaire de génération. Il n'est pas donné à tout le monde de posséder un tel souvenir, qui, à lui tout seul, vous expédie dans un autre temps, un autre football, une autre France. Aux yeux de ceux qui avaient trente ans au début des années 80, Séville est la représentation mémorielle de ce que la France aurait pu être et qu'elle n'est pas devenue, une incarnation de l'occasion manquée qui ne représentera jamais plus, de l'échec dans ce qu'il est de plus irrémédiable, irréparable et incommensurable. La défaite de la belle équipe de France de Platini écrivait l'avenir national, nous ne le savions pas encore, et quand on y pense, en 2012, on est encore plus affligé qu'en 1982.

    France-Allemagne 82 est une tristesse qui en cachait une autre.

  • STADE DE REIMS : ACTUALITE

     

     

    L'ACTU TRANSFERT DU STADE DE REIMS

    Après 33 ans d'absence, le Stade de Reims retrouve l'élite du football français. Un retour qui se construit dès maintenant avec le mercato... « Avec 24 millions d'euros de budget, on va surtout chercher à obtenir des prêts et à recruter des joueurs libres ou pouvant le devenir », explique le président Jean-Pierre Caillot. Les clubs relégués en Ligue 2 (Caen, Dijon, Auxerre) sont des cibles par excellence.
    Avec les fins de contrat (Matthieu Fontaine ; Joachim Ichane ; Lucas Deaux ; Cédric Fauré ; Jonathan Kodjia) et les prêts éventuels ou retour de prêt - Kamel Ghilas (r.p Hull City, Ang - l'entraîneur rémois Hubert Fournier a fixé ses besoins « à six ou sept joueurs, pour un effectif de vingt-cinq ou vingt-six éléments. ». Le point sur la situation du marché des transfert.

     

    - Arrivées...

     

     

    GHILAS pour 2 ans au STADE

    6 juillet 2012. Elu meilleur Lavallois de la saison, Franck Signorino sort d'une saison pleine (30 matches) durant laquelle il s'est montré efficace et régulier sur son flanc gauche. Il signe un contrat de deux ans.
    Lire l'article



     

     

    SIGNORINO pour 2 ans au STADE

    Elu meilleur Lavallois de la saison, Franck Signorino sort d'une saison pleine (30 matches) durant laquelle il s'est montré efficace et régulier sur son flanc gauche. Il signe un contrat de deux ans.
    Lire l'article





    FAUVERGUE du CSSA au STADE

    Reims vient de coiffer au poteau l'AC Ajaccio sur le dossier Nicolas Fauvergue. L'attaquant de Sedan a en effet paraphé un contrat de trois ans avec le nouveau promu en L1.
    En savoir plus

     

     

     

    KRYCHOWIAK de retour au STADE DE REIMS

    12 juin 2012. Le transfert de Grzegorz Krychowiak est officiel au Stade de Reims. Il vient de signer un contrat de 3 ans. Le milieu de terrain polonais de 22 ans quitte Bordeaux pour retrouve le Stade... en L1.




     

    FOFANA du TEFECE au Stade Reims

    4 juin 2012. Le Stade de Reims tient sa première recrue. En fin de contrat avec le Téfécé, le défenseur central Mohamed Fofana a signé pour trois ans. Une recrue d'expérience qui compte 116 matches en L1.
    Lire l'article

     

     

     

    KODJIA prolongé et prêté

    Auteur d'un très bon passage par Cherbourg (N) Jonathan Kodjia a prolongé de deux ans son contrat avec le Stade. Les deux parties sont donc liées jusqu'en 2015. En contrepartie, l'attaquant sera à nouveau cédé cet été, mais en L2.
    Lire l'article

    Un moment annoncé à Niort, c'est finalement à Amiens (National) qu'il évoluera cette saison.Lire l'article

     

     

    Stade de Reims / Toudic, rouge de plaisir

    REIMS (Marne) Julien « Lucky Luke » Toudic revient à Reims, prêté pour une saison par Lens. Un choix motivé par son fort désir de renouer avec un environnement qui semble lui réussir.

    Lire l'article

     

     

     

    [VIDEO] Antoine Devaux : « le Stade de Reims m'a séduit »

    Au même titre qu'un Krychowiak ou un Signorino, Antoine Devaux était une priorité dans le recrutement stadiste. En fin de contrat et très sollicité, le Dieppois a pris son temps avant de rayer de son carnet les noms de Brest et de Valenciennes et de donner une réponse positive aux dirigeants rémois.

    Lire l'article

     

     

     

    - Départs...

    TAINMONT le Berrichon

    En fin de contrat avec le Stade, Clément Tainmont s’est engagé avec Châteauroux. Le milieu offensif gauche est lié à la Berrichonne jusqu’en 2015.
    Lire l'article




    AMALFITANO rejoint NEWCASTLE-UNITED (Premier League)

    23 mai 2012 : En fin de contrat avec le Stade de Reims, le milieu de terrain Romain Amalfitano a rejoint Newcastle-United en Première League anglaise. Le club du nord est de l'Angleterre n'a pas dévoilé la durée de son contrat.
    [EN IMAGES] les premiers pas du joueur chez les "Magpies"

     



    Retour chez les "VERTS" (L1) pour SAADI

    C'est un retour de prêt à Saint-Etienne qui s'annonce pour le jeune attaquant Idriss Saadi (à l'arrière plan sur la photo). Arrivé à la trêve hivernale, le Stéphanois a été l'auteur de buts décisifs, notamment celui du 19 mars face au Mans. Un but qui offreles trois points au Stade et propulse le Stade sur de bons rails après une période de doute.