Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • AUTONOMIE DES UNIVERSITES

      

    A ceux qui ont encore des doutes sur le fait de savoir si Sarkozy est de droite ou non je les invite à se pencher sur la loi de démantèlement des universités que le gouvernement s’apprête à faire voter. Sous couvert de donner de  « l’autonomie » aux universités, le gouvernement envisage ni plus ni moins que d’organiser la privatisation rampante des facs ! Ainsi la droite va enfin assouvir un de ses vieux phantasmes, la mise au pas des universités. Même si les syndicats étudiants ont eu raison de batailler pour repousser la hausse des droits d’inscription et la sélection en Master I, ils ne doivent pas s’illusionner il y a plusieurs chemins pour arriver au mêmes résultats. La droite n’est pas stupide, elle sait que la sélection directe et la hausse des droits d’inscription est un chiffon rouge en direction des jeunes alors elle choisit la voie détournée de l’ « autonomie ». Le but recherché est simple : obliger les universités à rechercher des financements privés en organisant la « rareté » des financements d’Etat. Pour ce faire il faut casser la démocratie dans la « gouvernance » des facs et faire du Président d’Université le « patron » de son université appuyé par des personnalités extérieures toutes dévouées. L’introduction de la logique marchande sur les campus sera facilitée par deux mécanismes distincts : accorder aux facs la gestion de leur patrimoine immobilier avec faculté de l’aliéner et leur donner la possibilité de créer des fondations pour faciliter la collecte des fonds privés. C’est donc bien la logique libérale qui est à l’œuvre. Chaque fac devra se débrouiller toute seule. On souhaite bien du courage à des facs comme Villetaneuse pour s’en sortir individuellement. Les universités seront sous la « dépendance » de leurs nouveaux mécènes privés qui, n’en doutons pas un instant, poursuivront des objectifs conformes à leurs intérêts privés. Il leur suffira ensuite de conditionner leurs apports de fonds à la modification de certains programmes de recherche, voire même d’exiger la création de diplômes locaux sur mesure. Ainsi on introduit le vers de la marchandisation dans le fruit de l’enseignement supérieur. Les étudiants, les enseignants et les personnels universitaires doivent se mobiliser pour faire échec à cette loi scélérate. L’enseignement n’est pas une marchandise. L’université comme lieu d’apprentissage d’une conscience critique doit être défendue. Il en va d’une certaine conception de la démocratie. La gauche doit ferrailler sans répit à l’Assemblée Nationale pour permettre enfin une prise de conscience à la mesure de l’enjeu. Il s’agit de la pire loi de régression sociale concernant les universités qui ait jamais été introduite en France depuis la Libération.

  • IL Y A 65 ANS :LE VEL D'HIV

    Il y a 65 ans, la rafle du Vel d'hiv

    NOUVELOBS.COM | 16.07.2007 | 15:25

    12.884 juifs français ont été arrêtés au matin du 16 juillet 1942 pour être ensuite envoyés vers les camps de la mort.

     

    Les autobus utilisés à Paris lors de la rafle du 16 et 17 juillet 1942. (BN)

    Les autobus utilisés à Paris lors de la rafle du 16 et 17 juillet 1942. (BN)

    Il y a soixante-cinq ans avait lieu la rafle du Vélodrome d'hiver. Le 16 juillet 1942, à quatre heures du matin, 12.884 juifs sont arrêtés. Parmi eux figurent 4.051 enfants et 5.802 femmes. Une grande partie d'entre eux est envoyée au Vélodrome d'hiver, situé dans le XVème arrondissement de Paris. Les autres sont directement emmenés en autobus vers le camp de Drancy. La police française du régime de Vichy joue le premier rôle dans les arrestations.

    Le Vel d'hiv sert alors de prison provisoire. Pendant cinq jours, 7.000 personnes vont tenter de survivre sans nourriture et avec un seul point d'eau. Ceux qui tentent de s'enfuir sont immédiatement abattus. Une centaine de prisonniers se suicidra.

    Responsabilité française

    La rafle du Vel d'hiv représente à elle seule plus du quart des 42.000 Français juifs envoyés à Auschwitz en 1942. Seules 811 personnes en reviendront. Le 16 juillet 1995, le président de la République Jacques Chirac a reconnu la responsabilité de la France dans la rafle et dans la Shoah. Il a notamment déclaré : "Ces heures noires souillent à jamais notre histoire, et sont une injure à notre passé et à nos traditions. Oui, la folie criminelle de l'occupant a été secondée par des Français, par l'Etat français. Il y a cinquante-trois ans, le 16 juillet 1942, 450 policiers et gendarmes français, sous l'autorité de leurs chefs, répondaient aux exigences des nazis. (…) La France, patrie des Lumières et des Droits de l'Homme, terre d'accueil et d'asile, la France, ce jour-là, accomplissait l'irréparable. Manquant à sa parole, elle livrait ses protégés à leurs bourreaux.

  • LA CONNERITUDE SEMAINE 28

     Les champions de la semaine 28

     medium_top3_hebdo.gif                                               

    Les champions de la semaine: 

    Médaille d'or:Jack Lang pour trop écouter les sirènes sarkoziennes: 50 points 

    Médaille d'argent:Cécilia Sarkozy qui se prend pour un ministre des affaires étrangères :40 points

    Médaille de bronze:Les défilés du 14 juillet,moi je reste dans mon lit douillet 10 points

  • L'HUMILITE N'EST PAS LEGION

    Le couturier Yves Saint-Laurent, le basketteur Tony Parker et la journaliste Christine Ockrent figurent notamment dans la promotion du 14 juillet de l'Ordre national de la Légion d'honneur qui sera publiée au Journal Officiel.
     La journaliste, j’en suis certain, ne peut oublier qu’elle a écrit dans " la mémoire du cœur " en 1997 : " Les grimaces et les hochets du pouvoir, occupent plus volontiers les hommes, qui vont moins vite à l'essentiel ". Il est certain qu’elle placera cette pensée sentencieuse quand le Président de la République lui remettra sa décoration car pour elle c’est certain, il fera un effort pour la décorer en présence de son mari Bernard Kouchner adversaire résolu de... la légion d'Honneur

  • FETE NATIONALE

       Un journaliste et une caméra, dans la rue, le 14 juillet dernier. Question : "Le 14 juillet, c'est quoi ?" Réponse : "La fête nationale" - "Mais encore ?" - "Ça doit fêter la fin d'une guerre mais je ne sais plus laquelle…" La fin d'une guerre, non. Fête nationale, oui… et encore ! Pas depuis longtemps !

       Une fête nationale qui date de 1880
       C'est la IIIème République qui décide d'instaurer une fête nationale ou, plus précisément : "une fête de la République", ce qui n'est pas la même chose. Aussi les députés cherchent-ils non pas une date marquante pour le pays, tous siècles confondus, mais un jour important dans le seul calendrier de la Révolution française. De nombreuses dates sont proposées par les députés comme par les sénateurs : 4 août, 5 mai, 9 thermidor… C'est finalement le 14 juillet, jour de la prise de la Bastille par le peuple, qui l'emporte. Un 14 juillet que Victor Hugo a contribué à élever au rang de mythe en 1850 par son poème "Célébration du 14 juillet" dans le recueil Chansons des rues et des bois : "C'est le quatorze juillet. […] Et l'infini s'éclairait du côté de l'espérance."

    Le 6 juillet 1880, le 14 juillet devient officiellement fête nationale, comme le confirme une loi votée par la Chambre et par le Sénat. Pour que cette fête devienne à la fois populaire et marquée par les réjouissances les plus grandes, le 14 juillet est déclaré chômé : on ne travaille pas, c'est bien rare à l'époque. La IIIème République conseille un emploi du temps que vont respecter mairies et préfectures : défilés militaires et réceptions officielles le matin, banquets républicains le midi, fêtes foraines, bals et feux d'artifice (pour les communes qui peuvent s'en offrir un) le soir.

    Après la Première Guerre mondiale, des défilés de la victoire sont organisés pour le 14 juillet, qui devient une vraie fête nationale plutôt qu'une fête de la République.


       Et avant 1880 ?
       Sous l'Ancien Régime, le jour que l'on pourrait qualifier de national était le 15 août. Ce jour consacré à la Vierge Marie, toujours férié aujourd'hui, était à la fois une fête religieuse importante et une fête dynastique. Rappelons que temporel et spirituel se confondaient alors, que le roi l'était "de droit divin" et qu'associer le religieux et le politique semblait non seulement naturel mais souhaitable.

    C'est Louis XIII qui fait du 15 août la fête de la France. Rappel des faits : Louis XIII et Anne d'Autriche se sont mariés en 1615, mais leur premier enfant (le futur Louis XIV) ne naît qu'en 1638. Lorsque, en février 1638, Louis XIII apprend que la reine est enfin enceinte (près de 23 ans après leur mariage !), il signe à Saint-Germain-en-Laye des lettres patentes plaçant le royaume "sous la protection spéciale de Marie, mère de Jésus". Le 15 août 1638, l'ensemble du royaume célèbre la consécration faite par Louis XIII à la Vierge, en lui remettant "sa Personne, son État, sa Couronne et ses Sujets". Des processions en l'honneur de la Vierge et de la France ont désormais lieu dans tout le pays, tous les ans, le 15 août. Des pèlerinages sont organisés, des enfants consacrés à Marie. Une fête qui reste très importante, dans un pays massivement catholique, jusque dans l'Entre-Deux-Guerres.

    Texte : Marie-Odile Mergnac

  • UN BEBE NAIT TOTALEMENT IVRE EN.......POLOGNE

     

    Les médecins pronostiquent des lésions irréversibles sur le cerveau du nourrisson, né avec 1,2 gramme d'alcool dans le sang. Sa mère était ivre au moment de l'accouchement.

     

    (Reuters)

    (Reuters)

     

    La police de Zabrze, une ville située au Sud de la Pologne, a annoncé la nouvelle vendredi 13 juillet : un nouveau-né est venu au monde, dans l'hôpital de la ville, totalement ivre. Sa mère était sous l'emprise de l'alcool au moment de l'accouchement.
    Un examen effectué 12 heures après sa naissance a révélé que l'enfant avait 1,2 gramme d'alcool dans le sang, ce qui correspond, pour un adulte, à la consommation d'une bouteille de vin ou de deux litres de bière.

    La mère s'est enfuie de l'hôpital

    L'enfant a immédiatement été placé en soins intensifs. Il était, vendredi, dans un état stationnaire, mais les médecins craignaient toutefois des lésions irréversibles au cerveau.
    Agée de 34 ans, la mère s'est enfuie de l'hôpital aussitôt après l'accouchement. La police l'a interpellée. Les examens n'ont pas décelé de traces d'alcool dans son sang.
    "La femme est déjà mère de cinq enfants. Leur garde est confiée aux grands-parents, puisque la mère est privée de ses droits parentaux", a indiqué Marek Wypych, porte-parole de la police locale
  • 1757 JOURS A TENIR

    4f2303ddf829eba78bd42004edffee1e.png

  • LES SECTES:FILLES DES RELIGIONS

    "Toute secte, en quelque genre que se puisse être, est le ralliement du doute et de l’erreur.”

    Voltaire.

    DEFINITION

     Secte.

             Ce mot désigne un groupement religieux dissident par rapport aux religions dites dominantes. Les sectes sont exclusives et ou mystiques. Les mouvements  du premier type sont composés en majorité de pauvres gens, relèvent surtout de l’aspiration d’individu en quête de fraternité immédiate, avec une pensée d’allure apocalyptique.(Témoins de Jéhovah). Les seconds sont composés de personnes d’une classe sociale plus élevée ayant renoncé volontairement ou non aux biens terrestres et qui sont à la recherche d’un mysticisme apaisant. La forme typique étant celle de l’OTS

     

    LE TERRAIN

             Tout d'abord, il faut constater que l'Eglise Catholique entre autres, tiens à garder son pré carré, à savoir, la mainmise au moins en Occident, sur le spirituel. N'oublions pas que le christianisme des catacombes, avec ses martyrs, ses lions et ses gladiateurs, n'est qu'une secte qui a réussi. Si des récentes mais néanmoins concurrentes prolifèrent, c'est tout simplement parce que la masse des croyants ne se reconnaît plus dans cette Eglise vieillotte qui pourtant tente de faire face à son déclin. Si la religion ne remplit plus son rôle social malgré les contorsions des rites de l'Eglise Apostolique et Romaine, elle est destinée à disparaître et à laisser la place à d'autres recettes ou aux vieilles pratiques.

             Malgré Marx et son opium du peuple, le socialisme scientifique n’effaça pas la foi et le rite orthodoxe de la chrétienté en Union Soviétique. Dès la restauration du libéralisme économique et social, resurgit comme caché sous la cendre, le culte. Et en Chine d'aujourd'hui, les autorités reconnaissent les pratiques bouddhistes jusqu'alors interdites. La foi ancestrale est bien une échappatoire au malheur, à la misère au manque d’espoir, de bonheur immédiat. Pour certains le confort intellectuel “apparent” du monde occidental, les jette dans la sphère du sectarisme. Le tout enclenche l’essor des sectes et annonce l'effondrement d'une civilisation.

             Il nous faut pour se pencher sur le phénomène sectaire le plus clairement possible, opérer une sélection puis un classement. Nous écarterons d'abord les " Adorateurs du Poireau Divin et du Bec de Gaz Réunis", pour nous consacrer aux principaux mouvements, qui se divisent en groupes. Remarquons que, à part et sous réserves, chez les sectes mystiques ou para-religions, qui émanent du protestantisme, nous trouvons un  lien commun  entre toutes les autres : l'argent

  • 1758 JOURS A TENIR

    4001fa944b901c12b67586d7ac72719f.png

    SAINT HENRI, SAINT JOEL

    Quoi que fasse saint-Henri, le paysan en rit !

  • RECIDIVE

    Un frère de Rachida Dati jugé pour trafic de drogue le 17 juillet 2007

     Jamal Dati, un des frères de Rachida Dati, garde des Sceaux, sera prochainement jugé par la cour d’appel de Nancy (Meurthe-et-Moselle), pour trafic de stupéfiants, révèle Le Parisien, dans son édition du vendredi 13 juillet. L’audience a été fixée au 17 juillet prochain à 13h30, selon les déclarations au quotidien du greffe de la chambre correctionnelle.

    L’affaire concerne trois trafiquants, dont le frère de la ministre, relate Le Parisien. En avril dernier, Jamal Dati est condamné à six mois de prison avec sursis pour trafic de drogue, par le tribunal de grande instance de Verdun (Meuse), mais le procureur général a fait appel du verdict, pour obtenir une aggravation de la peine.

    .

    Le magistrat estime la sanction insuffisante, considérant le fait que Jamal Dati est récidiviste, explique Le Parisien. Six ans auparavant, Jamal Dati avait été déjà condamné à trois ans dont dix-huit mois fermes pour trafic d’héroïne. Courant 2006, il est de nouveau interpellé pour trafic de drogue dans la Meuse, où il s’était installé.

    Placé sur écoute téléphonique par un juge d’instruction, Le Parisien explique qu’il a tenté de joindre sa sœur au ministère de l’Intérieur lorsqu’elle y travaillait avec Nicolas Sarkozy.

    Interrogé par le quotidien, l’entourage de la Garde des Sceaux aurait affirmé que “l’affaire n’a en aucun cas été signalée” et que ‘la ministre n’a pas de contact particulier avec son frère, ni d’information particulière sur son dossier”.

    http://tempsreel.nouvelobs.com/actu...