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  • PLUS PERSONNE N'EST UMP

    Nouveau retour en arrière signé Nicolas Sarkozy. En contradiction avec ses déclarations précédentes, le président de la République annonce ne plus vouloir se mêler des… municipales. Il y a encore quelques jours, il assurait pourtant vouloir s’engager dans la bataille de mars, en faire un scrutin d'ordre national. " Je n'ai pas à me mêler de la campagne municipale, à Pau ou ailleurs (...). Je ne veux pas me mêler du détail des municipales dans chacune des villes de France, ce n'est pas mon travail (...). Je ne vais pas m'engager sur chacun des combats municipaux", a martelé le chef de l'Etat, aujourd’hui lors de son déplacement à Pau.
    Le 8 janvier dernier, pourtant, lors de sa conférence de presse, le chef de l'Etat avait lancé qu'il s'engagerait "parce que le concept même d'élection dépolitisée est absurde". "Je devrais rester comme le ravi de la crèche et attendre que mes adversaires se mobilisent!", s'était-il exclamé. "Je m'engagerai" pour "mobiliser notre électorat " avait-t-il aussi assuré. Quelques indiscrétions démontrent en effet que bien des candidats, dont Alain juppé  n’était pas particulièrement ravi que l’on fasse des municipales un " test national " et d’ailleurs il n’a jamais été question que son " ami " de quelques jours passe dans le centre ville de Bordeaux en sa compagnie. Vous ne verrez pas beaucoup d’images de leur rencontre comme si elles pouvaient être exploitées par des adversaires ravis de la présidence de fait de son comité de soutien.
    Mais depuis la donne politique a changé. Trois sondages successifs montrent une forte érosion de la cote de confiance de Nicolas Sarkozy (l'un d'eux le place même derrière son premier ministre François Fillon), et deux autres sondages ont montré qu'une grande majorité de Français considèrent que les municipales sont avant tout "locales." A la tête de l’Etat, le doute semble avoir pris place aux côtés des certitudes sarkozystes et on va donc faire profil bas pour se défausser sur les copains du gouvernement (MAM hier en a pris plein les dents sur le retour de la police de proximité !) ou plus sûrement sur l’UMP.

  • ATHEISME ET COMMUNAUTARISME

    Quand le communautarisme est fort:

     c'est que le monde va mal

     Un grand merci au petit Nicolas (petit dans tous les sens du terme) qui entretien volontairement la haine intercommunautaire.

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    Rappel : la deuxième "religion" de France, c'est l'athéisme !

    J'ai trouvé un site sympa sur l'athéisme, qui l'explique sans être offensant. 

     http://atheisme.free.fr/index.html

     ou encore, qui ne parle pas que de religion, mais qui n'a pas un cerveau disponible pour le coca-cola :

    http://jmgilbert.hautetfort.com/
  • LA REVOLTE DES VIGNERONS EN 1907

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    Pour en savoir plus.....

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  • LA CROISSANCE OUBLIEE

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    L'avant-dernier livre de Patrick Artus, un des économistes français les plus respectés, était intitulé : " Le capitalisme est en train de s'autodétruire ". Son dernier livre porte un titre prémonitoire : " les Incendiaires ". Les " incendiaires " en question sont les banquiers centraux. Il doit vraiment y avoir quelque chose de pourri dans notre système pour que Joseph Stiglitz, prix Nobel américain d'économie, ose, lui, titrer son dernier un ouvrage " Quand le capitalisme perd la tête ".

     Ces constats de Michel Rocard sont d’un autre niveau que les incantations du Chef de l’Etat français et plus encore les déclarations d’ajustements conjoncturelles sur la croissance de son Ministre de l’Economie et des Finances.

    Son analyse est encore plus pessimiste quand il évoque l’immensité de la dette fédérale américaine qu’il accuse d’être au cœur du problème. Ce passage d'un équilibre à un déséquilibre massif, généralisé, tient au changement de la répartition du produit national brut, entre les " salaires " (salaires et revenus de protection versés par la Sécurité sociale) et les " profits " (bénéfices industriels, honoraires des professions libérales, rémunérations "directes" sur le marché). Ce mouvement est très sensible en France mais on l'observe aussi aux Etats-Unis et dans l'ensemble des pays européens, y compris les pays de l'Est rejoints à toute allure par le capitalisme.
     En gros, les salaires sont passés de 71% du PIB en 1981, selon Michel Rocard, à seulement 60% en 2005. Près de 11 points de chute !
    Aujourd'hui, en France, si le produit intérieur brut avait conservé le même partage qu'en 1981, les ménages, selon Rocard, auraient dépensé en salaires et revenus de Sécurité sociale 130 milliards d'euros de plus. Affectés à la consommation, ces 130 milliards auraient donné au moins 1 point de plus de croissance chaque année. Et nous aurions eu en France un demi million de chômeurs de moins. Le capitalisme a perdu la tête en cherchant par n’importe quel moyen à accroître ses profits sans se soucier qu’il détruisait les salariés productifs et surtout consommateurs des biens et services qu’il faut vendre pour justement survivre. C’est le serpent qui se mord la queue ! A partir du moment où l’on ne prend en compte que la satisfaction de l’actionnaire on tue celles et ceux qui lui permettent de l’obtenir. Ainsi s’engage une course sans fin pour diminuer la part des " salaires " dans les charges des entreprises… en allant chercher ailleurs la même productivité dans un contexte social non contrôlé !
  • LA CONNERITUDE DE LA SEMAINE 3

    Le champion de la semaine 3 est une championne

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    Christine Boutin

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     Madame Christine BOUTIN, Ministre du logement qui était en visite dans les Alpes-Maritimes, lundi 14 janvier.

    Alors qu’il manque 18 000 logements sociaux dans le département et que le prix moyen des logements mis à la vente dépasse les 5000 € le m2, madame la Ministre a sorti un nouveau gadget : la maison à 15 € par jour !

    Après le gadget de la maison BORLOO à 100 000 € qui a été un échec retentissant (seulement 400 maisons réalisées ou en cours de réalisation sur l’ensemble du pays) Madame BOUTIN propose la même chose : 15€ par jour pendant 20 ans équivalent en effet à un prix de revient total de 105 000 €.

    La seule nouveauté réside dans la communication qui cette fois porte sur le coût journalier.

    La maison BORLOO-BOUTIN avec son nouvel emballage permettrait au vu du prix moyen du m2 dans les Alpes-Maritimes la construction d’une " maison " de 19 m2…

    Le logement, devenu un problème crucial pour nos concitoyens, mérite mieux qu’une cascade de gadgets.

  • PLANNING DE CAMPAGNE SEMAINE 4

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    Lundi 21

    12h/13h30

    Pizzaction Permanence Guillabert

     

    Lundi 21

    20h

    Réunion de travail

     

    Mardi 22

    18h

    Galette républiquaine Brasserie Le Soleau

     

    Mercredi 23

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Vendredi 25

    18h30

    Maison des jeunes Les Semboules

     

    Samedi 26

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • LA CROISSANCE EN BAISSE

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  • RESPECTER NOTRE MER

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    On devrait apprendre à tous les enfants à respecter la mer. L'infini leur joue des tours : ils finissent par la croire invulnérable, et ils ont tort. Elle est puissante, c'est vrai. Elle se venge, parfois. Il lui arrive d'être injuste, c'est entendu. Mais elle est fragile. Et quand ils sont devenus grands, les adultes oublient de la protéger.
     On devrait apprendre à tous les enfants à respecter la mer et un procès comme celui de l'Erika n'aurait pas lieu d'être : les crimes de l'inconscience écologique n'existeraient plus et l'humanité aurait un fardeau de moins à porter. Ce rêve, hélas, est comme l'écume. Il se dissipe dans la noire réalité des intérêts pétroliers qui, jusqu'au bout, ont tenté de défendre l'indéfendable, renonçant même à réparer les dégâts de l'inconséquence de leur management.
     Le verdict de l'Erika est profondément moral parce qu'il s'en prend à une impunité qui insulte les générations à venir. Il apporte aussi un rayon d'optimisme au moment où la planète bleue s'interroge sur son devenir. Sur sa survie.
     Les peines prononcées hier montrent à quel point les mentalités ont changé en l'espace de quelques mois.

     Il y a trente ans, les ravages de l'Amoco Cadiz sur les côtes bretonnes étaient pratiquement niés comme s'ils devaient passer en pertes et profits des péripéties de la Terre. Certaines communes attendent toujours les indemnisations arrachées pourtant au terme d'une longue lutte à Chicago. Quant au désastre provoqué par l'Exxon Valdez en Alaska en 1989, il n'a jamais été pris en compte à sa juste mesure...
     Aucune décision de justice ne pourra effacer les multiples blessures infligées année après année aux océans. Mais les condamnations  sonnent comme un avertissement universel. La négligence et le cynisme ne sont plus sûrs de l'emporter en jouant sur d'interminables arguties juridiques. Pour nombre de villages atlantiques, en particulier en Bretagne, c'est une revanche contre des décennies de mépris. Il faudrait une belle tempête pour fêter cet événement force 10.

  • LA POLICE DE QUOI?

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    Merci à Enzo

     Michèle Alliot-Marie a annoncé, la création « d'unités territoriales de quartiers » au sein de la police de Seine-Saint-Denis. Ce « dispositif expérimental » (sic) débutera « dès le mois de mars », a-t-elle précisé lors d'un déplacement dans ce département. Elle considère que ces nouvelles unités permettront « d'assurer une présence visible et dissuasive et d'identifier et d'interpeller les délinquants ». Jean Pierre Chevènement doit rechercher fébrilement ses discours… car il ne devrait pas y avoir grande différence entre cette déclaration et celles de MAM ! Alors vite un pas fictif en arrière : « il ne s'agit pas de refaire des postes de police de proximité » a vite précisé le Ministre actuel de l’Intérieur dont on murmure de plus en plus qu’elle irait au printemps faire du surf sur la Côte basque !
    Chacune des unités sera composée d'une dizaine de volontaires d'au moins deux ans d'ancienneté « seront sur le terrain pour faire respecter l'autorité de l'Etat et la loi, là où il le faut et à l'heure où il le faut » a-t-elle assuré. « L'effectif total atteindra en mai 30 volontaires sélectionnés », a précisé la ministre qui ne fait que dire le contraire de ce qu’avait déclaré son mentor actuel !
    Leur action portera sur trois périmètres géographiques : « plusieurs quartiers de Clichy/Montfermeil dont le Chêne pointu, le Bois du temple et les Bosquets, le Franc-Moisin, Bel-air, à Saint-Denis, et les 4000 à la Courneuve », a-t-elle dit. Bien entendu on ne remettra pas les mêmes policiers perdant ainsi plusieurs années de travail concret sur le terrain puisqu’ils ont été virés et renvoyés ailleurs !
    A la question de savoir s'il s'agit du retour de la police de proximité supprimée par le premier gouvernement Raffarin, alors que Nicolas Sarkozy était ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie répond que « ce qui compte, ce n'est pas le nom, c'est le contenu ». Pas question d’avouer que des prédécesseurs socialistes aient pu obtenir des résultats. Elle ne veut pas d’une police de proximité mais, subtilité terrible « d’une police qui soit prêt des gens ! »

  • INAUGURATION SUR NICE MATIN

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    Jean-Pierre Cochart et sa suppléante Paula Toledo avec leurs soutiens lors de l'inauguration de la permanence. : Frantz Bouton

     

    Antibes - J.-P. Cochart (PS) : « on ne prendra pas de gants »

    Le candidat du parti socialiste pour l'élection cantonale (9 et 16 mars) sur Antibes-Biot est peut-être novice en matière de campagne électorale (c'est sa première) mais il n'en est pas moins engagé à 200 % dans la bataille. « Je suis dans un canton de droite, on ne prendra pas de gants et nous serons agressifs dans le bon sens du mot comme disent les sportifs. Nous serons sur le terrain » a t-il déclaré samedi matin lors de l'inauguration de sa permanence au 13 avenue Guillabert. Pour ce rendez-vous, Jean-Pierre Cochart a pu compter sur la présence de sa suppléante, Paula Toledo, Bernard Dabène, candidat PS aux municipales d'Antibes, Constant Germerie, secrétaire du parti pour la section locale et Gérard Corboli, adjoint de François-Xavier Boucand à Biot.

    Conseiller général : un rôle capital Il martela l'enjeu du rôle de conseiller général « l'élection cantonale est importante car le conseil procède au vote de réalisations comme les routes, les collèges mais aussi des aides pour la construction de logements. Sur les 1,4 milliard d'euros de budget du conseil général, un tiers provient des droits de mutation mais cela n'est pas répercuté pour le logement. Si je suis élu je me battrai pour que cet argent soit dédié à l'amélioration des logements sociaux ». Et de citer d'autres exemples : le manque d'actes en faveur des personnes âgées, des handicapés, de la culture, des jeunes, des routes... « Eric Pauget comme Sarkozy, Estrosi et Leonetti fait des promesses mais où sont les actions ? ».

    Savoir + Permanence de Jean-Pierre Cochart (PS), 13 avenue Guillabert, le lundi de 14 à 19 heures et de 17h à 19 h les autres jours jusqu'au vendredi. Tél. : 06. 80. 84. 27. 91 et jean-pierre.cochart@wanadoo.fr

    S. R Nice Matin