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  • VU DANS LA PRESSE

    Le Point a publié mardi les bonnes feuilles d'une enquête à charge sur le PS, et particulièrement sur sa nouvelle première secrétaire, Martine Aubry, qui risque d'agiter pendant plusieurs semaines le landerneau socialiste, pourtant en passe de se calmer depuis la dernière université d'été.

    Ils nous cassent les urnes

  • LE CHEWING-GUM DE SARKO



    (capture d'écran - dailymotion - rue89)
    (capture d'écran - dailymotion - rue89)

    L’actualité a concentré ses feux, sur tous les sites d’information avec une vidéo à la clé, sur ce qui à première vue pouvait apparaître secondaire : les modalités de la visite du président de la République à l’usine Faurecia de Caligny (Orne), où il était venu rencontrer les salariés de l’équipementier automobile. Cette focalisation est née d’un reportage de la télévision belge donnant la parole à une salariée affirmant avoir été présente seulement à cause de sa petite taille. Il laissait entendre que cette sélection de personnes en raison de leur taille avait été systématique et qu’elle relevait non pas de Faurecia mais de la présidence de la République. Celle-ci a jugé l’accusation absurde et grotesque, un syndicaliste l’a confirmée mais Frédéric Lefebvre, homme d’un grand courage intellectuel (il l’a démontré à Mots croisés en face d’un responsable CGT ) a, pour l’UMP, dénoncé cette polémique selon lui inepte.

    Benoît Hamon a affirmé que cet incident révélait la complaisance des chaînes d’information françaises qui n’avaient parlé de rien. A partir de quel moment la préparation nécessaire du déplacement du chef de l’Etat, sur le plan de la sécurité, devient-elle véritablement une information méritant d’être communiquée ? Il est évident que si les dispositifs mis en place ne sont fondés que sur le rituel républicain, plus ou moins alourdi au gré des présidents, il est inutile d’en faire état. Si en revanche ils font place, pour des raisons intimes et personnelles, à des configurations crées en quelque sorte « sur mesure » pour le président en exercice, il y a là une nouveauté qui peut être qualifiée d’information car susceptible de renseigner sur la personnalité de notre président.
    Toujours est-il qu’en l’occurrence seule la télévision belge ayant communiqué sur cette affaire, comme pour se rattraper on ne traite plus que de cela en France (avec quelques autres nouvelles !) d’une manière un tantinet obsessionnelle. On a l’impression de mauvais élèves qui veulent en faire trop ensuite pour se racheter. Je n’ose imaginer le président lui-même derrière ce « bidonnage », la volonté de « ses » communicants de prétendre éviter les effets d’une inégalité de taille entre d’autres et lui-même. La conséquence perverse en est qu’au lieu de rendre encore plus scandaleux les sarcasmes et les attaques sur l’apparence physique, cette réplique bêtement anticipée met l’accent sur ce qui ne devrait même pas être relevé dans un pays civilisé, car c’est clairement le degré zéro de la dérision politique.

    Pour ma part, j’ai été beaucoup plus frappé, en regardant cette vidéo, par le fait que durant un certain temps, le président de la République mâchait un chewing-gum lors de ses échanges avec la Direction de Faurecia. D’abord, je n’ai pas voulu le croire. Je vais m’abstenir des comparaisons à la longue fatigantes avec ses prédécesseurs mais si je n’ai pas rêvé, c’est tout de même une première dans la Ve République ! Ce comportement si quotidien, si innocent mais si peu approprié publiquement au maintien d’un chef d’Etat me semble infiniment plus étonnant que toutes les manipulations réelles ou prétendues pour la taille des assistants, car personne d’autre que le président n’en est responsable.
    Qui aujourd’hui serait prêt à s’émouvoir parce que son interlocuteur mastiquerait en s’adressant à lui, ne le regarderait pas dans les yeux ou grommellerait de manière inaudible en suçant le tuyau de sa pipe ? On a admis non seulement que cette politesse élémentaire ne pouvait plus, au fil du temps, être respectée mais que ce délitement était un bien. Offrir à autrui une parole, une attitude gangrenées par la négligence devient l’habitude d’un monde qui ne sait plus très bien ce qu’est le pur affrontement des regards et l’échange de paroles concentrées sur elles-mêmes.
     Mais le président de la République ? Je n’en suis pas encore remis, au point de me demander si je n’ai pas eu la berlue. Ce serait rassurant. Si j’ai bien vu, il est symptomatique que cet épisode, qui tient à la conception de soi en face de ceux qui sont honorés de vous recevoir, n’ait troublé personne. Cela signe un peu notre monde, non ?

    Une seconde j’ai tenté de faire de la démocratie-fiction. Qui, dans son entourage politique, aurait eu le courage de signifier au président que cela ne se faisait pas ? Personne. Personne n’aurait pris le risque de formuler cette évidence, ce conseil, cet avertissement. La seule qui se permettra tendrement de lui murmurer ce qui convient, ce sera peut-être son épouse. Je suis tout de même très inquiet devant une République où il y a un homme à qui on ne peut pas se permettre de tout dire, même si c’est pour son bien. Et notre respect. Les rois avaient leurs fous qui n’étaient là que pour faire passer, sous le caustique, l’audace de la vérité. Notre démocratie est plus peureuse. Elle feint de ne pas prendre au sérieux des détails qui en disent long sur notre communauté civique.

    Enfin, qu’on ne soit pas surpris par l’importance démesurée qui s’attache aujourd’hui à l’examen critique des personnalités publiques. Les contraintes européennes, la crise mondiale constituent un terrible goulot d’étranglement pour les politiques qui rêvent d’être autonomes. En dépit des moulinets, il n’y a plus mille choix possibles. Quand le volontarisme du Pouvoir et la contradiction de l’opposition s’affrontent moins qu’ils ne se rassemblent dans un même réalisme lucide et attristé,  quand le jusqu’au boutisme révolutionnaire s’excite seul dans son coin, inéluctablement le visage de la politique s’efface au profit d’une politique des visages.

    La pipolisation de la politique a pris sans gloire la relève d’un destin collectif difficile, douloureux, voire impossible à inventer.

  • A DIFFUSER SANS MODERATION

     

    Une petition à envoyer :A vos ordinateurs

     

     

     

     

     

     

    NOM, Prénom : ……………………………………………..

     

    Adresse : …………………………………………………….

     

    ………………………………………………………………...

     

    Son Excellence Monsieur Saw Hla Min

    Ambassadeur du Myanmar

    Ambassade de l’Union du Myanmar

    60 rue de Courcelles

     

    75008 PARIS

     

     

     

     

     

     

    Votre Excellence,

     

     

    Le maintien en détention de Daw Aung San Suu Kyi attire une fois de plus l’attention sur la situation des droits humains au Myanmar cette année. Le gouvernement du Myanmar doit reconnaître les droits humains, en tout premier lieu en ce qui concerne la détention d’Aung San Suu Kyi et de tous les autres prisonniers d’opinion.

     

    Je demande fermement aux autorités du Myanmar de libérer tous les prisonniers d’opinion de longue date, notamment Myo Min Zaw ainsi que tous les autres membres des groupes militants étudiants, les membres de la NLD, les représentants politiques des minorités ethniques, et enfin les moines et autres leaders religieux.

     

    Myo Min Zaw est un jeune homme arrêté il y a onze ans, le 12 septembre 1998, pour avoir organisé des manifestations dénonçant la mauvaise qualité de l’enseignement et réclamant une amélioration de la situation des droits humains au Myanmar. Il a également écrit et diffusé des lettres demandant le soutien de la population de Rangoon à ces manifestations. Membre dirigeant de la All Burma Federation of Student Unions (ABFSU), syndicat interdit par les autorités officielles, Myo Min Zaw a été condamné à une peine de 38 ans d’emprisonnement, ensuite portée à 52 ans, pour ses agissements pourtant pacifiques. Qui plus est, lors de son procès, il n’a pas été défendu par un avocat.

     

    Les autorités doivent aussi révéler l’identité de tous les détenus et l’endroit où ils se trouvent, garantir leur sécurité et permettre qu’ils reçoivent immédiatement des visites et les soins médicaux que leur état de santé peut rendre nécessaires.

     

    Je vous prie enfin de veiller à ce que toute personne au Myanmar puisse exercer pacifiquement ses droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion sans craindre d'être harcelée, intimidée ou arrêtée arbitrairement, conformément aux normes internationales relatives aux droits humains.

     

     

    Veuillez agréer, Votre Excellence, l’expression de ma haute considération.

     

     

    date :                                                                                      signature :

     

     

  • A VOS SOUHAITS

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    Il est seize heures lorsqu’au volant de ma voiture j’écoute le journal - je n’ose dire flash - d’une station de radio  d’obédience française. Comme partout en ce moment, il est question d’un nouveau cas de grippe A et la journaliste nous annonce qu’un personnel pénitentiaire est touché.

    Jusque là, tout va bien. Car tout de suite après, elle nous annonce qu’à l’occasion de cette révélation de premier cas au sein du ministère de la Justice, « les syndicats (1) dénoncent un manque d’information sur la grippe A ». C’est là que les bras peuvent vous en tomber, ce qui est relativement dangereux lorsqu’on conduit une automobile. Mais la sérénité et le recul aidant, deux questions viennent immédiatement à l’esprit, tout en maintenant une conduite adaptée et, donc, imprégnée de zénitude.

    D’abord, sont-ce bien des syndicats français qui ont osé ce communiqué sur le manque d’information ? N’ont ils ni télé, ni radio, ni journaux ? N’ont-ils pas eu accès à tous les reportages sur les « gestes-barrières » et tutti quanti ? De l’information sur cette satanée grippe, davantage dangereuse pour les oreilles que pour le reste, on en a indigestion.Il semble que le ministère de la Justice n’atteigne pas les mêmes sommets de celui de l'Education Nationale en termes d'information qui bat les records. Et il semble bien aussi que les syndicats représentant les personnels de ce ministère ressentent une pointe de jalousie. Disons-le comme on le pense, cette jalousie serait absolument hilarante si la deuxième question, annoncée plus haut, ne venait pas nous ramener à davantage de sérieux.

    Est-ce que des syndicats n’ont pas autre chose à fichtre que de déplorer le manque d’information sur la grippe A, de surcroît lorsqu’ils représentent des personnels du monde pénitentiaire autrement plus concernés par l’état déplorable de nos prisons et des conditions de travail qui y règnent ?Le manque d'information de la Ministre de la Justice à son personnel n'est-il pas prémédité? Un effet canicule sur les détenus ne réglerait-il pas le problème de surpopulation d'un coté et de sous-effectif de l'autre? Alors que les suicides dans les établissements pénitentiaires de notre pays se multiplient, que notre justice est dotée d’un budget ridicule par rapport à nos voisins allemands et britanniques, que les postes de gardiens sont soumis à la fameuse règle du non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux alors que la surpopulation, la promiscuité et le mauvais état de nos prisons devraient conduire à y renoncer, les syndicats préfèrent épingler le gouvernement sur le manque d’information concernant la grippe A. On croit rêver.

    Mais on ne rêve pas. Malheureusement.

    (1) Elle ne précise pas de quelles centrales syndicales il s’agit.

  • BIENVENUE EN DICTATURE

    Bagnolet : Hortefeux attaque des habitants en diffamation

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    Le ministre de l’Intérieur a décidé d’initier une procédure judiciaire contre des habitants de cette ville de Seine-Saint-Denis qui accusaient la police d’être responsable du décès d’un homme de 18 ans début août.

    La procédure est rare : Brice Hortefeux annonce mercredi qu’il avait porté plainte, au nom du ministère de l’Intérieur, contre plusieurs habitants de Bagnolet. Le ministère les accuse de «diffamation envers la police nationale ».

    Un article, publié sur le site de Libération le 10 août, mais aussi une dépêche de l’Agence France-Presse, relayaient les témoignages de plusieurs habitants de ce quartier où Yakou Sanogo un jeune homme de 18 ans était mort à moto après une course-poursuite avec la police, ce qui avait déclenché une nuit d’émeute.

    Les riverains cités estimaient que la police était responsable de la mort de cet homme. Sur le site de Libération, on pouvait ainsi lire : « Pour un habitant du quartier, cela ne fait aucun doute. Les policiers ont provoqué la chute. Agé de 32 ans, il affirme avoir assisté à la scène : «La voiture de police, à hauteur de la moto, s’est rabattue contre elle. Il y a eu un impact» entre les deux véhicules ».

    Les témoignages de Libération étaient nuancés, l’article racontant ainsi que certains des témoins étaient «attirés par les caméras de télévision, venues en nombre. «Ils l’ont tué», lance un homme à propos des policiers, surjouant la colère», ajoutait le rédacteur de l’article.

    Témoins anonymes

    Ces accusations ont agacé le ministère de l’Intérieur, qui a donc saisi la justice : «Considérant que ces propos portent atteinte à l’honneur et à la considération de la police nationale puisqu’ils imputent à des fonctionnaires de police une infraction d’homicide sur la personne de Yakou Sanogo, le ministre de l’Intérieur a porté plainte en diffamation».

    Le ministère précise que les journaux ayant publié les témoignages ne sont pas visés. Seules les personnes ayant tenu ces propos sont en accusation. Reste à savoir comment le ministère compte les identifier, les témoins ayant parlé anonymement.

    Jusqu’ici, l’enquête sur ce décès montre que Yakou Sanogo est mort après un «traumatisme thoracique profond qui correspond au choc du torse du chauffeur et du pilier de la barre métallique contre laquelle il s’est encastré». Le procureur adjoint Philibert Demory avait indiqué que «rien pour l’instant ne permet d’établir qu’il y a eu un contact entre la voiture de police et le jeune Sanogo».

    Le cas de plaintes en diffamation initiées par un ministre de l’Intérieur sont plutôt rares. L’avocat Karim Achoui avait été accusé par Michèle Alliot-Marie fin septembre 2008 de diffamer la police.

  • ILS VONT NOUS TUER

    Un lot d'Epoisse pasteurisé porteur de listeriose a été signalé... Et ce n'est pas la première fois. Pour les amateurs de fromage comme moi, c'est un signe indubitable: pour faire du bon fromage, il faut du bon lait cru, n'en déplaise à l'industrie de l'agro-alimentaire...


    photo: daskerst - Flickr - cc
    photo: daskerst - Flickr - cc
    Contrairement à ce que les margoulins de l’agro-alimentaire tentent de nous faire accroire, le lait pasteurisé est autrement plus dangereux que le lait cru que certains producteurs ont tenté de faire interdire, notamment ces dernières années pour les camemberts. Juste une raison de gros sous – le procès de fabrication est forcément plus onéreux en raison d’opérations plus contraignantes - et pas du tout par égard aux questions de santé publique. Avec force magouilles plus répugnantes les unes que les autres comme je l’ai écrit à plusieurs reprises.

    Il faut en effet savoir que le lait cru contient une enzyme capable de tuer les germes. Ce que j’ai appris il y a déjà bon nombre d’années en lisant sur Marianne un dossier de l’excellent Périco Légasse consacré à ce sujet. C’était en pleine période où la Commission européenne – sous l’influence notamment des Anglais – tentait précisément de faire interdire les fromages au lait cru. J’avais fait une photocopie de l’article – mais je ne dois plus l’avoir, m’étant débarrassée il y a deux ans d’une tonne d’archives qui encombraient vraiment trop mes rangements et je ne saurais dire s’il a échappé à cette opération, n’ayant ni le temps ni l’envie de plonger dans les quelques dossiers conservés.
    Or donc, en consultant ce matin la Une de 20 minutes, mon attention ne put qu’être attirée par ce titre : Un lot de fromage Epoisses rappelé pour un risque de Listeria, d’autant que j’avais le souvenir d’avoir lu dans les articles de Périco Légasse qu’un Epoisse avait déjà provoqué des cas de listériose – intoxication alimentaire qui peut avoir de très graves conséquences chez les sujets fragiles et notamment être mortelle.

    Or, il soulignait que le fromage qui en était responsable était fabriqué avec du lait pasteurisé – de même façon que cela c’était produit avec des camemberts Lepetit fabriqués, sans le dire, avec du lait « thermisé ». Le lot d’Epoisse qui vient d’être rappelé est précisément fabriqué avec du lait pasteurisé. CQFD…

    Je n’ai jamais mangé d’Epoisse pasteurisé et je n’en mangerai jamais, sauf à l’insu de mon plein gré. J’aime trop les bons fromages. Dans la même région – la Bourgogne – je vous conseille également le Soumaintrain, moins connu mais également un régal. J’y ajouterais le Langres qui réjouit de même le palais des amateurs de bons fromages.

    Comme les supermarchés n'ont plus de fromages en rayon  je préfère m’en passer que bouffer de la merde. D’abord, ce n’est pas bon et ensuite je ne veux pas prendre le risque d’être malade ni encore moins d’en crever. La malbouffe ne passera jamais par moi !

    Comme à mon habitude, je répercute les informations susceptibles d’intéresser les consommateurs qui auraient eu la malencontreuse idée d’acheter ce produit.

    « La fromagerie Germain procède au retrait de la vente d’un lot de fromage Epoisses au lait pasteurisé, après un contrôle en magasin ayant mis en évidence la présence d’une bactérie Listéria.

    Il s’agit du lot 174 identifié par le numéro d’estampille sanitaire FR 52 092 01 CE, dont les dates limites d’utilisation sont le 24, 26, 28, 29, et 31 août.

    Ces produits sont commercialisés sous plusieurs marques : Chalancey, Germain, Auchan, Lincet, Patrimoine, Gourmand et Nos régions ont du Talent. Ils sont susceptibles de se trouver dans toute la France et toutes les enseignes, fait savoir la société. Les consommateurs doivent bien entendu s’abstenir de les manger et les rapporter au point de vente.

    La listériose est non seulement une maladie qui peut être très grave, notamment chez les sujets fragiles - femmes enceintes, personnes immuno-déprimées et personnes âgées – mais la durée d’incubation peut aller jusqu’à 8 semaines ce qui ne peut que compliquer le diagnostic en cas d’apparition des symptômes tels que la fièvre éventuellement accompagnée de maux de tête.

    Un numéro spécial - le 0800.35.29.19.- a été mis en place par la fromagerie. »


    Pour les amateurs de bons fromages, je rappelle l’existence du blog Fromagium où Marie de Metz Noblat n’est jamais avare de conseils…

  • COMPTE EN SUIISSE

    Comptes bancaires en suisse : le 1er nom de la liste des 3000 est révélé

     

    Selon Johnny Hallyday, Nicolas Sarkozy approuve son exil fiscal

    Article publié le 24 Décembre 2006
    Source : LE MONDE.FR avec AFP

    Extrait :

    "Il m'a dit : 'Ecoute Coco, t'avais envie de le faire, tu l'as fait, t'as bien fait''". Pour Johnny Hallyday, pas de doute, le président de l'UMP soutient pleinement son exil fiscal.  Dans un entretien à l'hebdomadaire Le Matin Dimanche, le 24 décembre, le chanteur estime que la polémique provoquée par son départ pour la Suisse "ne fait pas de mal" à Nicolas Sarkozy.Installé depuis mercredi dans son chalet de Gstaad, une station de ski huppée de l'ouest du pays, Johnny Hallyday maintient son soutien au candidat à l'investiture UMP.

    evade_fiscal