Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • FAISONS DES ECONOMIES

    lagarde 
    J'ai entendu jeudi matin sur France Inter un numéro exceptionnel, et je pèse mes mots, de la part il est vrai d'une multirécidiviste : Christine Lagarde.
     
    Elle était venue parler du prix des carburants, et notamment expliquer que le gouvernement refusait à la fois de baisser les taxes pour soulager momentanément la souffrance financière du gueux smicard qui passe à la pompe pour aller bosser, et de créer une espèce de "tarif social" comme le propose Yves Cochet .
    On se souvient forcément de sa réplique lorsqu'elle fut interrogée sur le même sujet; il y a deux ans, lorsque le prix du litre avoisinait déjà les 1,50 euro : "vous n'avez qu'à faire du vélo", qui avait à l'époque été appréciée à sa juste valeur. Mais cette fois-ci, pas question de faire la même boulette, elle s'était sans doute préparée au p'tit déj avec une armée de communiquants qui lui avaient appris son texte.
     
    Premier point, au lieu de rouspéter, les français feraient mieux d'aller sur le site que le gouvernement, qui est décidément trop bon, met à la disposition des manants ingrats : http://www.prix-carburants.gouv.fr/ Un super comparateur de prix ! Putain les économies qu'on va faire avec ça, merci Christine !
     
    Par curiosité, je suis allé voir ce que ça donne pour Les Alpes Maritimes: la station la moins chère est celle du Geant Casino Villeneuve-Loubet : 1.436 euro/litre. Fort bien. La plus chère, c'est la station Aggip de l'autoroute A6 : 1.59 euro/litre. 
     
    Bon, à moins d'être vraiment idiot, je ne vais pas aller exprès sur l'autoroute pour faire le plein. Mieux, sur toutes les  stations répertoriées, dans une bonne cinquantaine, que la plupart des gens "normaux" fréquentent, le prix se tient à 3 centimes près… Ben oui, Madame Lagarde, les gens ils vont déjà dans les stations les moins chères… Du coup, je vais continuer à faire comme d'hab, et comme le font une part croissante des azzuréeens : faire le plein en Italie voisine… Le gasoil y est à 1.20, et en remplissant le coffre d'alcool , le voyage est vite rentabilisé…
     
    Deuxième point : notre gouvernement ultra-compétent et qui décidément nous veut beaucoup de bien va surveiller les stations service et punir les tricheurs.  Quels tricheurs, je n'ai pas bien compris, je croyais que les prix étaient libres, mais bon… Enfin, qu'on se le dise, si le prix des carburants monte, c'est évidemment parce des salauds de pompistes tricheurs s'en mettent plein les fouilles…
     
    Troisième point : elle va convoquer les responsables des pétroliers, et leur expliquer qu'il ne faut pas trop monter les prix. C'est sûr, ils vont l'écouter, c'est tout de même Christine Lagarde, voyons… D'ailleurs ils tremblent déjà… Ou plus propablement, ils sont secoués de rire.
     
    Enfin, et c'est là que ça devient irrésistible, Christine Lagarde, Ministre des finances, nous récite le cours d'écoconduite qu'on lui a prodigué quelques minutes plus tôt : 
     
    "Il y a toute une série de mesures qu'on peut chacun individuellement prendre pour réduire jusqu'à 10% la consommation d'essence… heu… de super dans un véhicule…" Il s'en est fallu de peu pour qu'elle ajoute : "M'enfin, vous savez bien, ce liquide qui pue que le chauffeur met dans un trou noir qui ferme à clé à l'arrière gauche de la C2".
     
    Puis, bonne élève, elle anonne sa récitation. En gros, il faut bien gonfler ses pneus, rouler moins vite, ne pas accélérer et freiner comme un sauvage, et couper son moteur à l'arrêt. Sacré scoop, quand même !
     
    Voilà bien le problème : Christine Lagarde a vécu pendant très longtemps aux Etats-Unis, où elle gagnait des fortunes en tant que dirigeante d'un cabinet d'avocats d'affaires. Avant que Villepin ne fasse la connerie de lui demander de revenir en 2005. Depuis lors, je parie que pas une fois elle n'a fait elle-même le plein d'une voiture, sans même parler de le payer de sa poche. Du coup, elle se remémore les souvenirs de sa jeunesse : il y avait de l'essence, dite "ordinaire", et du "super". Sauf qu'aujourd'hui, les trois quarts des bagnoles roulent au gasoil, et le reste au sans-plomb.
     
    La leçon ridicule sur l'écoconduite, c'est exactement la même chose que lorsqu'un politicien apprend par cœur le prix de la baguette et du ticket de métro avant de venir à une émission : il fait semblant de connaître la "vraie vie" des électeurs, mais les prend en fait pour des imbéciles. Et avec Christine Lagarde, ça se voit…
     
    A l'en croire, donc, tout est sous contrôle : la hausse, c'est à cause de la Libye et de la spéculation. Mais une fois que le gouvernement (qui nous veut du bien, ne l'oublions jamais), aura tancé les pompistes et le PDG de Total, et une fois que nous, bandes d'incultes, aurons compris grâce au site gouvernemental qu'il ne faut pas acheter l'essence sur l'autoroute et qu'il ne faut pas faire vroum vroum avec les pneus à plat, le problème sera résolu !  

  • LES PRIMAIRES DOIVENT AVOIR LIEU

     

    c904ffea4590e1816e44c568891f91d5.jpgLes primaires socialistes, je n'y étais pas franchement pour au début. Je pensais que le gagnant serait   le mieux placé dans les sondages pour gagner les élections , et ,que les primaires ne pourront pas donner lieu à un débat de qualité, parce qu'elles seront parasytées par des phénomènes extérieurs liés aux médias ou aux sondages.

    Pour autant, maintenant qu'elles sont lancées, que le calendrier a été décidé, nous les socialistes doivont aller au bout de leur processus. L'interrompre maintenant serait catastrophique, non seulement pour le PS, mais pour toute la gauche.

    Il est choquant de voir que les mêmes qui hier plébiscitaient les primaires, les rejettent aujourd'hui parce  qu'il y a un sondage alarmant. Faut-il leur rappeler à ceux là que la constance en politique est une arme, non une faiblesse, que la présidentielle n'est que dans 14 mois, et donc que tout sondage effectué aujourd'hui est caduc et non-avenu ? Relancer le débat sur les primaires donne une image d'un parti nombriliste, occupé à ces petites affaires, complètement coupé des vraies préoccupations des Français.

     

     
    13-Déplacement Montbard Martine Aubry - le 02032011.jpg par Parti socialiste

    Martine Aubry  a raison. Le PS a tout a gagné à aller jusqu'au bout. Certes il faut passer les quelques mois qui restent jusqu'au dépôt final des candidatures. Mois qui seront longs et au cours desquels l'opposition apparaîtra comme à son habitude, apathique et impuissante. Mais, encore une fois, nous sommes loin de la présidentielle. A partir de juillet tout change, car les débats entre les challengers vont focaliser les médias, là où aujourd'hui ils n'ont d'yeux que pour  la fille  Le Pen, seule candidate déjà en campagne. Le PS a tout intérêt à ce qu'il s'agisse d'une vraie campagne, que les jeux ne soient pas faits à l'avance, qu'il y ait plusieurs candidats crédibles.

    En octobre auront lieu les fameuses primaires, lesquelles si tout se passe comme prévu, mobiliseront des milliers de Français. Je prends les paris qu'à ce moment-là, le vainqueur, quel qu'il soit, en sortira renforcé, et qu'il ne sera pas à 20 % dans les sondages, mais bien au-delà. A partir de ce moment là, la campagne électorale peut commencer, et elle sera différente, parce que le candidat socialiste sera obligé de s'appuyer sur notre projet , et la fille Le Pen, ne pourra plus être considérée comme la seule opposante.

  • ILS ABIMENT LA FRANCE

     
    Entendu mardi sur le Service Public de la Radiodiffusion.
     
    chiracsarko.jpg Un mafieux, "homme d'affaire franco-libanais", a été arreté au Bourget : il revenait de Libye où il avait rencontré Kadhafi, et dans son jet privé on a trouvé 1,5 million d'euros en liquide… Après avoir été mis en garde à vue, l'individu a été… relâché
    Il s'avère qu'il est aussi l'intermédiaire clé de l'affaire Karachi, celui qui pourrait sans doute expliquer pas mal de choses.
    Curieusement, ni Sarkoy ni Guéant n'ont vociféré après les magistrats laxistes…  
       
    Sarkozy a tout raté. Pire, il a abimé la France il a blessé et humilié les électeurs en se moquant d'eux . Le chômage, la justice à deux vitesses, la hausse des prix du gaz, de l'électricité, et maintenant de l'essence, l'insécurité, le vol du référendum de 2005, la bolkesteinisation du marché de l'emploi, le Fouquet's, le yacht de Boloré, la Rolex, Cécilia puis Carla, Dati, le pape, les "ministres d'ouverture", le "casse-toi pov'con", la suppression des instits, des flics et des infirmières, Gandrange, l'EPAD, la grippe A, les cadeaux aux banksters, Karachi, les retraites, Woerth-Bettencourt, MAM le procés Chirac… Et j'en oublie
     A chaque fois, un coin planté dans la mémoire d'un électeur… Qui comme la mule du pape, attend l'heure du coup de pied au Tistet Védène de la politique. 
     
     

  • INF'EAU N° 15

    Photo de Gilles Chiroleu, 2007, CC 

    La lettre « Inf'EAU » N°15 est à votre disposition en pièce jointe (PDF).


    Sommaire :

    - Les petits soldats du partenariat public-privé

    - Les Films du Soleil, et de l'eau

    - Les brèves



    EAU (Elus, Associations, Usagers) milite pour une gestion publique de
    l'eau potable et de l'assainissement.

    Elle soutient que :

    - L'eau est un bien commun de l'humanité, et non une marchandise ;

    - L'accès à l'eau pour tous est un droit.



    En vous abonnant, vous pourrez recevoir dans votre boîte mail des
    brèves, des articles, des reportages.
    Pour plus d'informations (notamment des vidéos, l'agenda, les archives
    de la newsletter...), vous pouvez consulter notre site,
    www.eaupublique.fr



  • I.S.F

    c904ffea4590e1816e44c568891f91d5.jpgD’atermoiements en renoncements, voilà donc que tombe le bouclier fiscal. Dénoncé depuis longtemps, ce cadeau aux plus fortunés aura donc coûté cher au pays et, plus encore, aux contribuables, du moins à ceux qui n’en bénéficiaient pas. Comme n’importe quelle mesure fiscale, sa création au lendemain de l’élection présidentielle se voulait d’abord un signe politique adressé à ceux qui n’auraient pas à travailler plus pour gagner plus.

    De 246 millions d'euros pour 15 066 bénéficiaires en 2007, l’an dernier le pavois sarkosien aura privé les finances publiques de 700 millions. Qui plus est, plus de 99% des sommes restituées à une minorité de privilégiés ont bénéficié à des contribuables déjà assujettis à l'Impôt de Solidarité sur la Fortune. Pour moins d’un millier de Français, il s’est, en effet, traduit par un chèque moyen de 376 000 euros.

    Corollaire de l’enterrement du bouclier, la suppression de l’ISF n’est cependant pas neutre. De fait, la seconde mesure ne sert qu’à compenser la première en exonérant le patrimoine immobilier. La France voudrait ainsi supprimer l’inégalité selon laquelle les propriétaires de l’Hexagone seraient plus taxés qu’ailleurs. C’est ignorer l’imposition britannique ou feindre d’oublier les pourcentages appliqués de l’autre côté de l’Atlantique.

    Le relèvement du seuil d’imposition à 1,3 million d'euros n’avantage pas que le malheureux pêcheur de l’île de Ré.

    En effet, selon une note confidentielle adressée à une vingtaine de parlementaires UMP triés sur le volet, en 2008, les cent Français les plus riches se sont partagés un revenu fiscal de 2,87 milliards d’euros, quasi exclusivement lié à leur capital et, plus précisément encore, obtenu grâce à des plus-values mobilières.

    Qui pourrait donc penser que la nouvelle réforme fiscale les désavantagera ? D’ores et déjà, avec cette nouvelle réforme, le manque à gagner pour les caisses de l’Etat est évalué à 1,5 milliard d'euros. Si un bouclier disparaît, d’autres protections demeurent et la main droite gouvernementale rendra à ces riches privilégiés ce que la main gauche leur aura (partiellement) enlevé.

  • LE JARDIN N'EST PLUS EXTRAORDINAIRE

    Voici des photos de l'ancienne villa de Charles Trenet prises ce dimanche à AntibesCharles Trenet 20110306 005.JPGCharles Trenet 20110306 006.JPGCharles Trenet 20110306 001.JPGCharles Trenet 20110306 003.JPG

  • HALTE A LA TORTURE EN IRAK

    Halte à la torture en Irak 

    logo.gif

     

     



    Le 8 février 2011, Amnesty International lance un rapport « Corps brisés, esprits torturés – Violence et indifférence, le sort des détenus irakiens ».
    Ce rapport dénonce les détentions prolongées sans inculpation ni jugement de milliers de personnes – détentions durant lesquelles des actes de tortures et des mauvais traitements sont très fréquents.
    Signez la pétition :

    Retour à la page "Irak : corps brisés, esprits torturés"

    Pétition Premier Ministre de irakien, Nouri al-Maliki


    Excellence,

    Je m'adresse à vous pour vous exprimer notre préoccupation concernant la détention prolongée sans inculpation ni procès de milliers de détenus, et l'utilisation généralisée de la torture dans les prisons irakiennes. Je vous demande de prendre des mesures immédiates pour mettre fin à ces pratiques et pour que la loi soit respectée.

    Amnesty International a relevé de nombreux cas de torture et autres mauvais traitements sur des prisonniers détenus dans des établissements irakiens, et ceci depuis longtemps. Entre autres méthodes, les victimes ont été soumises à des chocs électriques, ou ont été frappées avec des câbles en plastique. Les droits des prisonniers ont été systématiquement violés, au mépris des garanties figurant à la fois dans la législation irakienne et dans le droit international, notamment le droit de n'être pas torturé et le droit à être traduit sans retard devant un juge.

    Amnesty International reconnaît que l'Irak est confronté à de graves problèmes de sécurité, mais cela ne peut servir à justifier le fait que les autorités irakiennes ne fixent pas de garanties adéquates pour la protection des prisonniers détenus par leurs forces, contre la détention arbitraire, la torture ou autres mauvais traitements. Il est particulièrement inquiétant de noter que, malgré les signalements de torture et d'autres mauvais traitements par les autorités irakiennes, des milliers de détenus se voient encore refuser la possibilité de communiquer avec leurs familles et leurs avocats.

    Amnesty International appelle les autorités irakiennes à prendre d'urgence des mesures concrètes pour faire en sorte que les droits humains fondamentaux de toutes les personnes détenues en Iraq soient respectés. En particulier, nous pensons que les autorités irakiennes devraient instituer d'urgence des garanties adéquates pour protéger les détenus contre la torture et les autres mauvais traitements. Les autorités doivent également veiller à ce qu’aucun prisonnier ne soit détenu sans inculpation ni procès pour une durée indéfinie, et que tous les prisonniers aient la possibilité effective de contester leur détention devant un tribunal indépendant et impartial. Tous les prisonniers doivent être soit libérés, soit jugés pour des chefs d'inculpation clairement identifiés, avec toutes les garanties d'un procès équitable et sans recourir à la peine capitale.

    Je vous prie d’agréer, Votre Excellence, l'expression de ma très haute considération.












    Conformément à la loi Informatique et Libertés n°7817 du 06/01/1978, vous pouvez accéder aux informations vous concernant , communiquées par vous à Amnesty International France, demander leur rectification ou leur suppression. Pour exercer votre droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui vous concernent, adressez-vous au siège d'Amnesty International France : 72 - 76 Bd de la Villette 75940 Paris cedex 19.

    Votre adresse IP est 109.210.254.86
    Les adresses recueillies dans le cadre de cette campagne ne seront pas utilisées à d'autre fin.

    > Toutes les pétitions
  • ENCORE 427 JOURS A TENIR

      PENSONS A EUX

    1774564618Hervé GUESQUIERES et Stéphane TAPONIER:

    427 jours de séquestration par les talibans.

     

     

     

     

     

     

    casss-1223e.jpgQuant à nous, Peuple de France, il nous reste 427 jours a tenir contre celui qui séquestre notre liberté , nos services publics , notre justice , notre presse ,  nos retraites , nos salaires , nos 35 heures , notre médecine , notre diplomatie..... 

  • LE SABRE ET LE GOUPILLON

      Un homme politique doit toujours faire attention à ce qu'il dit. C'est un pédagogue qui s'adresse, au niveau national, à des millions de personnes. La métaphore est chez lui, pour se faire comprendre. Son choix est délicat, périlleux. L'actualité nous en donne deux exemples :

     

    Nicolas Sarkozy n'est pas professeur d'histoire mais président de la République, qu'il ne fait pas un cours mais lance un message, qu'il ne s'adresse pas à une classe mais à un peuple. L'image des "racines chrétiennes", je la récuse, elle est à l'évidence dangereuse, même si on la croit inoffensive. Pourquoi ? Parce que les "racines" renvoient au passé, alors que la République, normalement, se préoccupe de l'avenir.

    Surtout parce que "les" racines nous divisent, alors que la République souligne ce qui nous rassemble. Chrétiens ou musulmans, athées ou croyants, droite ou gauche, nous nous reconnaissons tous dans la formule républicaine "liberté-égalité-fraternité". C'est cela, et rien que cela, qu'un président de la République, parce qu'il est président de la République, doit célébrer. La démocratie est un cadre avec des principes et des lois, pas un arbre avec des branches et des racines.

    Seconde métaphore du jour, si malheureuse qu'elle s'est retournée contre elle-même : le "bouclier" fiscal, dont François Fillon a annoncé la fin, avouant ainsi un échec gouvernemental, puisque le fameux "bouclier" était une mesure-phare de la campagne électorale de 2 007 de Nicolas Sarkozy. L'image était pourtant juste, tellement juste qu'elle a provoqué de nombreuses réticences et protestations.

    De quoi s'agit-il ? De protéger les gros contribuables, en stoppant la progressivité de l'impôt sur le revenu quand la taxation est trop forte, "confiscatoire" disent ceux qui se posent en victimes. Le vocabulaire est riche de mots pour travestir la réalité ! Ce "bouclier" portait si bien son nom qu'il se condamnait à disparaître, tellement l'image était criante de vérité : défendre les plus riches, les soustraire à l'imposition fiscale à son plus haut niveau.

  • NICE A SABRE REIMS

    stade de reimsAu terme d’une partie magnifique, le Stade de Reims s’est incliné face à l’équipe de Nice en quarts de finale de la Coupe de France mardi soir.

    Cela faisait dix ans que le Stade de Reims n’avait pas atteint le dernier carré de la plus populaire des compétitions nationales.
    Malgré la déception, nous devons rendre hommage à cette équipe et à son entraîneur Hubert Fournier pour le parcours extraordinaire qu’ils ont accompli dans cette compétition, les joueurs, pugnaces et déterminés, ont été à la hauteur de l’événement et nous les félicitons .

    Près de 20 000 personnes étaient présentes au Stade Delaune hier soir, un stade entièrement rouge et blanc, vibrant et s’enthousiasmant pour son équipe.

    C’est à travers ce genre de match que l’on se rend mieux compte de la capacité du Stade de Reims à fédérer autour de lui le public rémois, un public souvent exigeant parce que connaisseur et passionné.

    C’est maintenant un autre défi que le Stade va devoir relever : celui de se maintenir en Ligue 2, tant il est impensable qu’une équipe capable de produire le jeu proposé mardi soir puisse être reléguée en National !

    stade de reimsL’identité même de cette ville s’est forgée autour du sport, et plus particulièrement du football. Mon club a contribué à écrire une page importante de l’Histoire du football français, comme le rappelait il y a quelques semaines encore Michel Platini lors de la remise du trophée du Président de l’UEFA à Raymond Kopa.

    Reims est une ville qui respire le football, et c’est la raison pour laquelle elle a besoin d’une équipe performante et compétitive, comptant parmi l’élite du football français.
     La Ville et sa Maire Adeline Hazan soutiennentt plus que jamais le Stade de Reims dans son projet sportif.

    A l’image des dizaines de milliers de supporters présents hier soir au Stade Delaune, nous attendons maintenant avec impatience le retour en Ligue 1, une ambition à laquelle Reims peut et doit légitiment aspirer