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Editori@l - Page 2

  • WEEK END SPORTIF

     

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    Mon ordinateur méritait une bonne révision ajouter à une absence de prés d'une semaine d'Antibes , voilà les causes de mon mutisme de la semaine passée.

    Le week-end dernier fut sportif , samedi ,mon dernier Congrés Fédéral du PS qui s'est déroulé dans la joie et la bonne humeur , les temps passsent  ,dimanche j'ai assisté au match de Basket entre Antibes et Nantes , victoire d'Antibes .Tout ceci aprés la journée de vendredi  passée à Roland Garros 

     

     

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  • SUPPORTERS

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    Le sommet de la vulgarité a été atteint par  les supporters de l'OGC NICE  .

     Le supporter, c’est une personne qui donne des sentiments à son club. Il l’aime et compte sur lui pour lui faire plaisir. Cette entité représente un groupe, ethnie, village, région, ou des valeurs auxquelles l’on peu se reconnaître. Ce sont en fait les valeurs des fondateurs, ou que lui colle les supporters ou, l’équipe représentant l’âge d’or de l’entité.

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  • A B ABSTENSION

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    Suite aux éléctions des motions  du PS j'ai eu un autre désagrément du vote de jeudi  soir, c'est le taux de participation : près d'un adhérent sur deux ne s'est pas déplacé. Ce n'est pas un phénomène nouveau, mais c'est toujours stupéfiant : quand on cotise à un parti, c'est qu'on a une conscience politique supérieure à la moyenne des citoyens. Quand on vous donne la parole, vous la prenez, vous vous exprimez. Sinon, à quoi bon appartenir à un parti politique ? Autant rester simple sympathisant. Comment les responsables politiques peuvent-ils se plaindre de l'abstention aux élections locales et nationales, appeler à lutter contre elle, lorsque leurs propres troupes, dans un scrutin interne, ne les suivent pas ? La moindre des choses quand on est membre volontaire et motivé d'une organisation politique, c'est d'aller voter. Si les militants ne donnent pas l'exemple, qui le fera ?

     Le  congrès socialiste n'est pas  terminé, même si son son futur patron est connu, sa ligne est fixée : il reste à se partager les postes et fonctions du haut en bas de l'appareil, des structures nationales au bureau des sections, en passant par les instances fédérales. Politiquement, ça ne changera rien. Mais les uns et les autres y trouveront une multitude de niches qui sont autant de petits pouvoirs qui pèseront le jour où il faudra décider des investitures personnelles aux prochaines élections.

    C'est la parabole des miettes lancées sous la table aux petits chiens, dans  selon saint Matthieu, ou Félix Potin

  • ET LA LAICITE BORDEL

    En adoptant  une loi qui interdit les signes religieux dans les crèches privées à financement public, l'Assemblée nationale contrevient à l'idée que je me fais de la laïcité, qui est un principe de liberté, et pas un principe d'exclusion (seul le Front de gauche s'est abstenu, avec lequel pour une fois je suis d'accord). Cette dérive dangereuse est le résultat de la funeste loi de 2004, appliquée à l'école publique, que j'ai souvent dénoncée sur ce blog, dont je souhaite l'abrogation. Mais le climat de xénophobie et d'anti-islamisme qui souffle en France ne se prête hélas guère à cette décision.

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  • MAI 68

     

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    P.............47 ans

     

  • HEIL LE PEN

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    Quel bonheur de voir aujourd'hui le défilé des fachos à Paris pourri par la pluie, les Femen et les divisions au sein de l'extrême droite ! Le Pen voulait en faire une démonstration de force après ses succès électoraux : c'est raté !

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  • SORTIR OU PAS DU CONTEXTE

     

    Paris Match -

    Abonné à la chaîne cryptée, je regarde parfois les Guignols, mais j'avoue que je ne connaissais pas l'émission Le Supplément, dont l'invité était dimanche François Hollande

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  • J ETAIS UN PEU SEUL

    Le 31 octobre dernier, sur ce blog, j'intitulais mon billet : "PAN SUR LE BEC". Le secrétaire général de la CGT était traîné dans la boue, un peu partout et par tous, à base de rumeurs, de règlements de compte internes, de démagogie ambiante et d'anti-syndicalisme traditionnel. C'était la curée, le lynchage, une polémique comme notre société désormais en raffole : un mélange de vie privée, de haut dirigeant, d'argent et d'appartement soi-disant somptueux. Des incertitudes, des approximations, la présomption d'innocence bafouée, le respect des personnes ignoré, l'étalage médiatique : c'est monnaie courante et c'est détestable.

    Dès le début, j'ai pris la défense de Thierry Lepaon, sans réserve. Non pas que je sois plus malin qu'un autre ou plus informé ; mais j'ai quelques idées simples qui guident ma réflexion : ce n'est pas à la CGT, ni à sa base, ni à son sommet, qu'on s'enrichit ; quand on est leader du premier syndicat de France, il est normal de bénéficier de la reconnaissance matérielle qui va avec. J'aurais aimé, il y a six mois, que toute la gauche soutienne, en bloc, Thierry Lepaon. Les communistes , les cégétistes  et ,  Manuel Valls, n'ont pas eu la réaction qu'il fallait : ils  ont  botté en touche en rappelant le devoir d'exemplarité, sous-entendant ainsi que le cégétiste avait quelque chose à se reprocher.

    Aujourd'hui, nous avons appris que ces accusations étaient infondées, que Lepaon ignorait le montant des travaux de son appartement, qu'il n'y a eu aucun abus personnel. Sauf que le mal est fait, que le secrétaire général a dû démissionner alors qu'il n'était pour rien dans cette affaire. C'est particulièrement scandaleux. Et tout ça au nom de quoi ? D'une prétendue morale, qui donne des leçons sur la vie qu'on doit mener et le logement qu'il faut habiter, sa taille, son prix, son quartier.

    Autrefois, la morale était le travail des curés. Mais depuis que ceux-ci ont disparu, qu'il faut aller les chercher en Afrique, tout un chacun se sent un peu curé et sermonne à qui mieux mieux. Ce n'est pas Robespierre, mais c'est quand même la dictature de la vertu, le mensonge en plus. Honte à tous ceux qui ont chargé Thierry Lepaon, honte à tous ceux qui ont commis une vraie injustice au nom d'une fausse justice.

  • NOUVEAU DRAME EN MEDITERRANEE

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    Dans la nuit du 14 au 15 avril 2014, 400 migrants seraient morts noyés en Méditerranée après avoir quitté les côtes libyennes. Une nouvelle illustration de la politique migratoire désastreuse de l’Europe.

    Des informations font état de près de 400 personnes portées disparues dont plusieurs enfants, noyés. Un nouvel épisode de la terrible inaction volontaire de l’Union européenne.

    Selon les 150 personnes qui ont survécu au naufrage, 400 personnes seraient portées disparues. Encore une fois, il s’agit d’une embarcation de fortune.

    Cette tragédie fait suite à de nombreuses catastrophes comme celle qui a eu lieu le 11 février au matin où 300 migrants avaient péri au large de Lampedusa.

    Après la fin de l’opération italienne de recherche et de sauvetage Mare Nostrum, ce type de catastrophes se succède. Ces catastrophes sont le résultat de l’absence de solution efficace pour sauver des vies de la part de l’UE.

    SOUS PRETEXTE D’ « APPEL D’AIR » : L’EUROPE MET FIN À "MARE NOSTRUM"

    Souvenez-vous : l’Union européenne avait lourdement insisté pour que l’Italie mette fin à l’opération Mare Nostrum.

    Cette opération de secours en mer avait permis de sauver en un an plus de 170.000 vies à la dérive en Méditerranée.

    La raison de cette exigence ? Cette opération ferait « appel d’air » et pousserait encore plus de personnes à traverser la mer.

    Conséquence : une nouvelle opération est mise en place, sous l’égide de l’agence Frontex, pour surveiller les traversées… mais sans l’objectif de porter secours.

    Ce nouveau naufrage montre bien à quel point le refus assumé des dirigeants européens de porter secours en Méditerranée se mesure en vies humaines.

    DE PLUS EN PLUS DE PERSONNES FUIENT LA GUERRE

    Depuis le début de l’année, le nombre de traversées augmentent. Pourtant il n’y a plus d’opération de secours. C’est tout simplement la conséquence de la situation en Libye, qui sombre dans le chaos, et bien sûr du conflit en Syrie.