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Sport - Page 2

  • REIMS 1 - PARIS 0

    stade de reimsLe PSG, qui restait sur deux victoires contre l’OM en championnat puis en Coupe de France, s’est fait surprendre à Reims (0-1), samedi après-midi, lors de la 27e journée de Ligue 1. Un but de l'international Polonais Grzegorz Krychowiak (tout un symbole) a suffi au promu champenois pour faire la différence.

     Livrer une telle prestation à Reims est  une source d’inquiétude, tant les Parisiens montrent tout et son contraire cette saison, indépendamment de l’adversaire, de la compétition ou du prestige du match. Moins de deux semaines après la défaite à Sochaux (2-3), le Paris-Saint-Germain s’est incliné en Champagne (0-1) en encaissant un but à 10 contre 11. Une supériorité numérique qui a duré plus d’une demi-heure…

     Il est  primordial d’admettre que le PSG n’a pas  l’étoffe d'une grande équipe pour se sortir sans dommage de ces pièges. Les Rémois ont tout fait parfaitement, à tel point qu’ils auraient pu mener 2-0 à la pause sans qu’il n’y ait scandale. Revenus avec des intentions de jeu après la pause, les stars adversaires n’ont jamais fait les efforts ensemble. David Beckham a eu beau jeu de balancer des longs ballons à tout-va à partir de la 65e minute, il a remplacé un Marco Verratti qui était le seul, jusqu’alors, à insuffler un semblant de liant dans le jeu.

    Une minute plus tôt, le but à bout portant de Grzegorz Krychowiak - lâché dans les grandes largeurs par Alex sur corner - marquait le point d’orgue de l’exploit du Stade de Reims, qui aurait pu doubler la mise suite à un incroyable rush de Fortès (80e). Dans le froid et sous les encouragements permanents de supporters qui n’ont pas manqué leur rendez-vous, le traquenard était presque trop gros pour être vrai. Mais Zlatan Ibrahimovic et ses amis sont tombés le nez dedans. "Ibra", Ezequiel Lavezzi, Jérémy Ménez , et Kevin Gameiro n'ont même jamais joué  ensemble . Dans une véritable ambiance de Coupe de France, sur un terrain morcelé, les locaux ont décroché leur deuxième victoire sur les… 19 derniers matches.

    stade de reims

     

    Reims restait sur huit rencontres sans succès à domicile, n’avait jamais gardé sa cage inviolée sur leurs dix dernières sorties.  Bref, c’est sans aucun doute le sommet très négatif de la saison du PSG . A l’inverse, c’est une montagne de bonheur inégalée pour les Rémois. L’euphorie générale ,  a emporté dans un état second les journalistes de Canal + dans des commentaires odieux et vulgaires ainsi que le directeur sportif de l'équipe humiliée , David Beckham ayant même récolté son carton jaune à l’entame du temps additionnel.

     Ce PSG-là a toujours été capable du meilleur comme du pire et le Stade de Reims doit rester en Ligue 1

     
  • 33 ANS D'ATTENTE EN LIGUE 1

    969-15.jpeg1 ère victoire en ligue 1 du Stade depuis 33 ans

    Stade de Reims : Agassa (Cap.) – Glombard, Fofana, Krychowiak, Souaré – Devaux (Ramare, 74e), Ca, Fortes, Ayite (Courtet 66e) – Ghilas (Toudic 62e), Fauvergue

     

    Sochaux : Cros – Corchia, Banana, Kanté (Cap.), Peybernes – Doubaï, Lopy, Boudebouz, Contout (Privat, 85e), Yartey (Carlao, 40e), Bakambu (Roudet, 69e).

     

    Avertissements Sochaux : Yartey (23e) Corchia (29e et35e) Carlao (90e)

    Expulsion Sochaux : Corchia (35e)

     

    Spectateurs : 12 997

    Arbitre : Olivier Thual

     

     

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    Elle est enfin arrivée cette première victoire ! Les Rouge et Blanc auront eu le mérite d’y croire jusqu’au bout…jusqu’à cette 94e minute, et ce but – dévié contre son camp par Privat - mais sous pression rémoise et de Grzegorz Krychowiak notamment, suite à un coup franc tiré par Johann Ramaré.

    Le début de première mi-temps est pourtant à l’avantage de sochaliens. Dès la 5e minute de jeu, ces derniers se procurent une première occasion, avec deux frappes successives de Bakambu et de Boudebouz, repoussées par Kossi Agassa, puis par la défense. A la 14e minute, c’est encore Bakambu qui s’illustre pour les sochaliens, mais sa frappe est trop croisée. Sur ce premier quart d’heure, les hommes d’Hubert Fournier perdent trop rapidement le ballon au profit de l’adversaire. Quinze minutes : c’est justement le temps qu’il faut aux Rouge et Blanc pour se procurer leur première grosse occasion : Sur un beau débordement de Christopher Glombard côté droit, ce dernier redonne dans l’axe à Kamel Ghilas dans la surface, mais l’attaquant rémois voit malheureusement sa frappe passer au-dessus.

    La suite de la rencontre est plus hachée. Les sochaliens sont avertis deux fois. Puis vient la 35e minute : Suite à un débordement de Floyd Ayite, Odaïr Fortes récupère la balle au deuxième poteau. La frappe du Rémois est contrée de la main par Corchia. L’arbitre Mr Thual siffle pénalty et expulse le défenseur sochalien, déjà averti quelques minutes plus tôt. Kamel Ghilas se charge du pénalty mais sa frappe est repoussée par Cros, le gardien sochalien (0-0). Juste avant la pause, nouvelle occasion pour le Stade de Reims : Fortès longe la ligne de but sur le côté droit, et centre en retrait pour Nicolas Fauvergue dont la frappe est contrée en catastrophe par un défenseur adverse.

    En deuxième mi-temps, malgré la supériorité numérique, le Stade de Reims a des difficultés à élever le rythme et à se procurer des occasions. A la 68e minute. Gaétan Courtet, tout juste entré, se met en évidence. Sur un ballon de Pape Souaré, il enchaîne une belle demi-volée qui passe juste à côté des buts de Cros. Les Sochaliens restent dangereux, et le match nul commence à se profiler. Jusqu’à cette délivrance, à la 94e minute, suite au coup franc dévié de Johann Ramaré (1-0). Delaune exulte, et le Stade de Reims empoche enfin les trois points tant attendus. La saison est lancée !

  • FRANCE ALLEMAGNE

    France-Allemagne 82 : avec le temps, tout ne s'en va pas...

    Le jeudi 8 juillet 1982 au soir, je me suis couché tard et je n'ai pas dormi de la nuit. Même pas une minute. Et depuis, je vis avec le souvenir vain, inutile et désespérant d'un match de football perdu aux tirs aux buts par l'équipe de France face à la RFA de l'époque (3-3, 5-4 tab). Au fil du temps, à mesure que les années ont passé, ce match est plus qu'un souvenir de football. C'est aujourd'hui un marqueur de l'existence. Ce France-RFA, demi-finale de Coupe du monde, est devenu la mesure du temps qui passe.

    frarfa82.jpgIl n'y a là rien qui soit très original, mais que peut-on dire désormais qui soit original au sujet d'un match de football au sujet duquel tout a été dit, écrit et montré ? "Comme le temps passe" disait l'autre. France-RFA 82, Séville 82, Schumacher-Battiston, le tir sur la barre d'Amoros, la reprise de Trésor, le "En retrait pour Giresse !" de Larqué, le tir au but raté de Six que l'on ne vit jamais en direct, celui de Bossis, le poing levé de Schumacher, Briegel hébété sur le banc de touche quand la France mène 3-1, Littbarski, le retourné de Fischer, Hidalgo, son polo rayé bleu et blanc et son petit short... Jamais match de football n'a imprimé dans la mémoire autant d'images qui y sont restées. France-RFA 82 est le match dont on se souvient le mieux. Et le temps a beau s'écouler, tout demeure, intact. Il est plus facile d'évoquer les actions de Séville 1982 que celle de Donetsk 2012, logique.

    Non, tout ne s'en va pas avec le temps, et certains souvenirs, même si ce ne sont pas les plus chouettes, même s'ils ont une de ces gueules à la galerie "j'farfouille", dans les rayons de la mort, peuvent, certains samedis soir, inciter à la tendresse, quand bien même la tristesse, elle, est toujours vive.

    frarfa82-1.jpg Pour ceux qui sont nés avant 1982 ils n'ont  pas connu Séville 82, ni Guadalajara 86, ni Arconada 84, seulement les grandes heures de la Coupe du monde 98 et de l'Euro 2000. Je me suis demandé ce qu'elle pouvait bien penser de ces souvenirs d'ancien combattant. Quel rapport peut-on entretenir avec une légende que l'on pas vécu ? Que pense-t-on des vieux cons qui, des siècles plus tard, continuent de pleurer sur Battiston, Tigana, Platini, Janvion et les autres ? Trente ans après, je me suis rendu compte qu'un simple match de football pouvait aussi relever de l'indicible...

    Séville est une affaire de génération. Il n'est pas donné à tout le monde de posséder un tel souvenir, qui, à lui tout seul, vous expédie dans un autre temps, un autre football, une autre France. Aux yeux de ceux qui avaient trente ans au début des années 80, Séville est la représentation mémorielle de ce que la France aurait pu être et qu'elle n'est pas devenue, une incarnation de l'occasion manquée qui ne représentera jamais plus, de l'échec dans ce qu'il est de plus irrémédiable, irréparable et incommensurable. La défaite de la belle équipe de France de Platini écrivait l'avenir national, nous ne le savions pas encore, et quand on y pense, en 2012, on est encore plus affligé qu'en 1982.

    France-Allemagne 82 est une tristesse qui en cachait une autre.

  • STADE DE REIMS : ACTUALITE

     

     

    L'ACTU TRANSFERT DU STADE DE REIMS

    Après 33 ans d'absence, le Stade de Reims retrouve l'élite du football français. Un retour qui se construit dès maintenant avec le mercato... « Avec 24 millions d'euros de budget, on va surtout chercher à obtenir des prêts et à recruter des joueurs libres ou pouvant le devenir », explique le président Jean-Pierre Caillot. Les clubs relégués en Ligue 2 (Caen, Dijon, Auxerre) sont des cibles par excellence.
    Avec les fins de contrat (Matthieu Fontaine ; Joachim Ichane ; Lucas Deaux ; Cédric Fauré ; Jonathan Kodjia) et les prêts éventuels ou retour de prêt - Kamel Ghilas (r.p Hull City, Ang - l'entraîneur rémois Hubert Fournier a fixé ses besoins « à six ou sept joueurs, pour un effectif de vingt-cinq ou vingt-six éléments. ». Le point sur la situation du marché des transfert.

     

    - Arrivées...

     

     

    GHILAS pour 2 ans au STADE

    6 juillet 2012. Elu meilleur Lavallois de la saison, Franck Signorino sort d'une saison pleine (30 matches) durant laquelle il s'est montré efficace et régulier sur son flanc gauche. Il signe un contrat de deux ans.
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    SIGNORINO pour 2 ans au STADE

    Elu meilleur Lavallois de la saison, Franck Signorino sort d'une saison pleine (30 matches) durant laquelle il s'est montré efficace et régulier sur son flanc gauche. Il signe un contrat de deux ans.
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    FAUVERGUE du CSSA au STADE

    Reims vient de coiffer au poteau l'AC Ajaccio sur le dossier Nicolas Fauvergue. L'attaquant de Sedan a en effet paraphé un contrat de trois ans avec le nouveau promu en L1.
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    KRYCHOWIAK de retour au STADE DE REIMS

    12 juin 2012. Le transfert de Grzegorz Krychowiak est officiel au Stade de Reims. Il vient de signer un contrat de 3 ans. Le milieu de terrain polonais de 22 ans quitte Bordeaux pour retrouve le Stade... en L1.




     

    FOFANA du TEFECE au Stade Reims

    4 juin 2012. Le Stade de Reims tient sa première recrue. En fin de contrat avec le Téfécé, le défenseur central Mohamed Fofana a signé pour trois ans. Une recrue d'expérience qui compte 116 matches en L1.
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    KODJIA prolongé et prêté

    Auteur d'un très bon passage par Cherbourg (N) Jonathan Kodjia a prolongé de deux ans son contrat avec le Stade. Les deux parties sont donc liées jusqu'en 2015. En contrepartie, l'attaquant sera à nouveau cédé cet été, mais en L2.
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    Un moment annoncé à Niort, c'est finalement à Amiens (National) qu'il évoluera cette saison.Lire l'article

     

     

    Stade de Reims / Toudic, rouge de plaisir

    REIMS (Marne) Julien « Lucky Luke » Toudic revient à Reims, prêté pour une saison par Lens. Un choix motivé par son fort désir de renouer avec un environnement qui semble lui réussir.

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    [VIDEO] Antoine Devaux : « le Stade de Reims m'a séduit »

    Au même titre qu'un Krychowiak ou un Signorino, Antoine Devaux était une priorité dans le recrutement stadiste. En fin de contrat et très sollicité, le Dieppois a pris son temps avant de rayer de son carnet les noms de Brest et de Valenciennes et de donner une réponse positive aux dirigeants rémois.

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    - Départs...

    TAINMONT le Berrichon

    En fin de contrat avec le Stade, Clément Tainmont s’est engagé avec Châteauroux. Le milieu offensif gauche est lié à la Berrichonne jusqu’en 2015.
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    AMALFITANO rejoint NEWCASTLE-UNITED (Premier League)

    23 mai 2012 : En fin de contrat avec le Stade de Reims, le milieu de terrain Romain Amalfitano a rejoint Newcastle-United en Première League anglaise. Le club du nord est de l'Angleterre n'a pas dévoilé la durée de son contrat.
    [EN IMAGES] les premiers pas du joueur chez les "Magpies"

     



    Retour chez les "VERTS" (L1) pour SAADI

    C'est un retour de prêt à Saint-Etienne qui s'annonce pour le jeune attaquant Idriss Saadi (à l'arrière plan sur la photo). Arrivé à la trêve hivernale, le Stéphanois a été l'auteur de buts décisifs, notamment celui du 19 mars face au Mans. Un but qui offreles trois points au Stade et propulse le Stade sur de bons rails après une période de doute.

  • TOUT A FAIT

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    A tous ceux qui ont été surpris de mon émotion suite à la mort de Thierry Roland , je vais leur dire  que j'ai connu cet incontournable du foot au cours de matchs avec les anciens du Stade de Reims , club prestigieux qu'il adorait et dont il retrouvait avec plaisirs ,au cours de ces rencontres les anciennes gloires Robert Jonquet , Michel Leblond ou Georges Lech .  Je pense que la montée du Stade en première division l'avait ravi .

     A l’antenne depuis 1960, il a marqué des générations entières de supporters, commenté 1300 matches, couvert 13 Coupes du monde et 9 Euros.

    Je n'oublie pas qu'en 1997, il accorde cependant une interview au quotidien d'extrême droite Présent, ce qui contribue à brouiller un peu plus son image. "C'est vrai que Le Pen est un peu excessif, mais c'est vrai qu'il y a certains points sur lesquels je suis d'accord avec lui", explique-t-il en évoquant notamment la peine de mort. "

    Je n'oublie pas ses dérives gauloises ,  racistes ou sexistes dont la plus fameuse .

    Le 9 octobre 1976, la France joue en Bulgarie, l'arbitre britannique siffle un penalty contestable pour les Bulgares. Thierry Roland traite monsieur Foote de « salaud », ce qui ne se dit pas à la télé. Mais il prie aussi « Saint Marcel Aubour »  l 'ancien gardien du Stade de Reims et, de fait, le Bulgare rate. 2-2. 3-1 au match retour, la France ira à la Coupe du monde en Argentine. L'injure en direct – je ne sais pas s'il n'est pas privé de matches quelques semaines – fait un tollé

    Au fil d'une carrière de près de 50 ans – de la RTF à M6, via Antenne 2 et, bien sûr, TF1 – Thierry Roland fera de sa verve un fond de commerce.  « On est loin de se serrer les mains, et en plus Baggio a horreur des barbus » ou « Il a dû changer ses jambes, Waddle, il y a 20 minutes » ou «Là où il y a un clou à planter, Luis Fernandez n'est pas loin », ou le célèbre  : « Vu la chance de Bernard Lama, on se demande ce que Madame Lama fait en ce moment... »

    Et puis,peut être, parce qu'on a vielli, ce commentaire de comptoir devient insupportable, beauf, raciste, xénophobe. Il faut dire que les Coupes du Monde exotiques, la montée du football africain, l'émergence des petites nations, ça ne fait pas du bien au langage rolandien. « Il faudrait confier l'organisation de la Coupe du Monde à des pays adultes », « Ils sont marrants, ces petits Coréens », etc. – on en passe, et des pires. Plus tard, encore, parce que l'âme humaine est versatile, on écrira pire sur Twitter.

     

    Petit rappel tout de même des « sympathiques gauloiseries » que regroupe très bien le site Foothese.com :

      • Pendant un match Corée du Sud-France, avant la Coupe du Monde 2002 .« Il n’y a rien qui ne ressemble plus à un Coréen qu’un autre Coréen. D’autant plus qu’ils mesurent tous 1m70 ! »
      • Pendant un Maroc-France : « Pour les Marocains, le couscous est cuit ! »

      • Pendant un France-Roumanie : « Les Roumains sont des voleurs de poules ! ».

      • Dans une interview à l’Equipe : « Un Bulgare sera toujours plus con qu’un Israélien. »

      • En 1986, pendant le 1/4 de finale du Mondial entre l’Angleterre et l’Argentine. Il s’en prend à l’arbitre tunisien : « “Honnêtement, Jean-Michel, ne croyez-vous pas qu’il y a autre chose qu’un arbitre tunisien pour arbitrer un match de cette importance ?”

    C'est bien connu la mort renr meilleur et  efface tous les défauts.

     

  • ON A ENCORE GAGNE

    APRES UN DIMANCHE EN ROSE , UN LUNDI EN ROUGE ET BLANC

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    REIMS . Scène de liesse, ce lundi soir, au stade Delaune où une marée humaine est descendue sur la pelouse pour fêter la victoire des Rouge et Blanc contre Monaco 2 buts à 0 ! C'est quasiment fait pour le Stade de Reims qui jouera très certainement en Ligue 1 l'année prochaine ! Revivez le match.

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    Trente trois ans que le Stade de Reims attendait ce moment ! Les Rémois seront à 99% en Ligue 1 la saison prochaine.

  • ON VA GAGNER

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    Fauré à libéré les Rémois à la 94e minute, offrant les trois points de la victoire au Stade de Reims face à Troyes (1-0), d'une magnifique reprise de volée. Grâce à cette victoire de dernière minute, les Rémois confirment leur place de dauphin de Bastia et affichent 54 points au compteur. Les Rouge et blanc ont monté ce soir une grosse marche dans la course à l'accession en L1.

    Ca fait longtemps que j'avais pas hurlé de bonheur en voyant un but .Un presage peut-être quand on sait qui assistait au match ce vendredi en compagnie d'Adeline Hazan . En attendant dimanche soir 20 h..........

    http://www.dailymotion.com/video/xq9lhv_stade-de-reims-estac-troyes_sport?fbc=282

  • LES GRANDS BUTEURS DU STADE DE REIMS

    REIMS (Marne) Renard ou déménageur de surface, avaleur d’espaces ou fin dribbleur, longiligne ou râblé, tireur puissant ou en finesse, le buteur, dernier maillon scintillant de la chaîne collective,est un joueur à part, un personnage décalé.

    À l’heure où le Stade de Reims 2012 se trouve dans l’ascenseur si longtemps attendu en direction du paradis de la Ligue 1, nous vous présentons ces extraordinaires finisseurs qui ont écrit les plus belles pages de la glorieuse histoire des Rouge et Blanc. De Perpère à Fauré en passant par les « monstrueux » Kopa, Fontaine, Piantoni, Vincent et Bianchi, voici un condensé de plus de 80 ans d’histoire de ceux qui avaient pour seul plaisir de faire trembler les filets adverses.

    Années trente : Les premières vedettes

    Lucien PERPÈRE (1931-1943, DH Nord-Est, D2, championnat de guerre). Joueur-journaliste (il était correspondant à l’Éclaireur de l’Est, ancêtre de l’Union), Lucien Perpère est le premier grand buteur de l’histoire du Stade de Reims. Champion de France amateur en 1935, il le sera à nouveau en 1942. Même si aucun titre des championnats dits « de guerre » ne sera jamais officiellement décerné par la Fédération Française.… Et aussi : Fauchart (1931-1938, 45 buts), Garabedian (1933-1935, DH puis 1939-1940, championnat de guerre, 37 buts), Kalmar (1937-1938, 27 buts), Chloupek (1938-1939, 19 buts), Albert Batteux (1937-1939, D2, puis 1942-1952, championnat de guerre, D1, 52 buts).

    Années quarante et cinquante : Que de talents…

    Pierre SINIBALDI (1944-1953, D1). Premier Stadiste sélectionné en équipe de France A (contre l’Angleterre en 1947), cet attaquant de haute stature était un formidable joueur de tête. Alimenté par de vrais ailiers (Flamion, Meano, Bini…), le Corse inscrit plus de 20 buts en moyenne entre 1944 et 1950.
    Pierre FLAMION (1943-1950, D1). En compagnie de Roger Marche, il forme un côté gauche issu du club de Mohon. Seulement, si Marche mérite son surnom de « Sanglier des Ardennes » par sa détermination infaillible et son goût du duel, Flamion se singularise par des qualités techniques, une vivacité et une clairvoyance qui en feront assez rapidement un international.
    Abraham APPEL (1949-1954, D1). Après six mois d’adaptation, ce Hollandais au style fruste conquiert Delaune. La force du grand « Bram », c’est d’aller droit au but. Il connaîtra, en tant que buteur, ses années les plus prolifiques à partir de l’arrivée de Raymond Kopa.
    Francis MEANO (1949-1953, D1). Arrivé d’Aix-en-Provence, il explose dès son arrivée en Champagne. International trois mois seulement après ses débuts en D1, il mettra du temps à digérer cette gloire subite. Petit format, pur gaucher, il réalise sa saison la plus complète à l’occasion de la conquête du titre 1952-1953. Il est même le grand artisan de la victoire en Coupe Latine au Portugal (contre Valence et le Milan AC). Quelques jours avant de disparaître dans un accident de la route mortel entre Witry-lès-Reims et Isles-sur-Suippe…
    Raymond KOPA (1951-1967, D1, D2). Le plus illustre footballeur qu’ait connu le Stade de Reims était-il un pur attaquant ? Plutôt un chef d’orchestre, un préparateur de buts. Mais à l’occasion, il savait lui aussi se muer en réalisateur (13 buts en 1952-1953, 11 en 1953-1954). D’autant qu’Albert Batteux, conscient de ses qualités de dribbleur efficace pour le collectif, l’utilise peu à peu à la pointe de son attaque au lieu de limiter son influence sur un côté. « Bébert » le menace même de le retirer de l’équipe s’il s’abstient d’utiliser cette arme. Il faut dire que ses crochets courts et ses changements de direction produisent un effet dévastateur en brisant les reins de l’équipe adverse. Cela lui vaudra malheureusement de devenir la cible privilégiée de quelques matraqueurs. Car neutraliser Kopa, c’est neutraliser Reims…
    Léon GLOVACKI (1952-1957, 1960-1962, D1). Transféré de Troyes à Reims durant l’été 1952, Léon Glovacki va se trouver d’entrée de grandes affinités techniques avec Kopa. Donnant l’impression de ne jamais forcer grâce à une grande souplesse de geste et une technique accomplie, le sympathique Léon sera le premier à souffrir du départ de son alter ego vers l’Espagne en 1956. Mais Kopa, qui n’aura jamais oublié la subtilité technique et la qualité de passe en profondeur de son ami « Ch’ti », sera à l’origine de son retour en Champagne durant l’intersaison 1960-1961.
    René BLIARD (1954-1959, D1). Né à Dizy, il fut l’un des rares Marnais à réaliser une grande carrière au Stade. Il succéda à Appel dans un style tout à fait différent. Sans rechercher le contact mais avec une grande adresse et beaucoup de lucidité dans la zone de vérité. Pressenti pour occuper le poste d’avant-centre pour la Coupe du monde 1958, une blessure le priva du voyage en Suède. C’est son coéquipier Just Fontaine qui en fut le grand bénéficiaire.
    Just FONTAINE (1957-1962, D1). Jusqu’où serait allé Justo si un tacle sauvage du Sochalien Sekou n’avait pas brisé sa carrière (fracture tibia-péroné) en mars 1960 ? Arrivé en 1956, en provenance de Nice, il inscrit 30 buts lors de sa première saison en rouge et blanc. Il fera encore mieux la suivante (34, meilleur total d’un buteur rémois en championnat de D1 ; performance égalée par Bianchi en 1975-1976). Sa campagne de Suède et son titre de meilleur buteur sur un tournoi mondial (13 buts) lui octroient une reconnaissance internationale.
    Jean VINCENT (1956-1964, D1). Les dirigeants rémois profitent de la chute de Lille en D2 à l’issue de la saison 1955-1956 ainsi que de la manne financière rapportée par le transfert de Kopa au Real Madrid pour engager un international déjà consacré : Jean Vincent. Perdant de sa vitesse de course au fil des ans, Vincent abandonnera son poste d’ailier gauche pour terminer en milieu de terrain. Son intelligence, ses dribbles et un tir sec lui valant d’être retenu à 46 reprises en équipe de France.
    Roger PIANTONI (1957-1964, D1). Roger Piantoni, c’est un surnom « bout d’chou » et un talent, l’un des plus purs qu’ait connu la France. Le meilleur pied gauche de l’histoire du foot hexagonal, sans l’ombre d’un doute. Vif, bien planté au sol, rapide, il prend la succession de Kopa dans l’expression d’un style de jeu « à la rémoise ».… Et aussi : Petitfils (1940-1951, championnat de guerre, D1, 66 buts), Szego (1941-1945, championnat de guerre, 20 buts), Vastag (1943-1944, championnat de guerre, 20 buts), Bini (1947-1950, D1), Templin (1950-1956, D1, 32 buts).

    [DIAPORAMA]

     

    Années soixante et soixante-dix : Des scoreurs venus d’ailleurs

    Hassan AKESBI (1961-1963 puis 1964-1965, D1 et D2). Né au Maroc, Akesbi aura réalisé l’essentiel de sa carrière du côté de Nîmes où ses qualités de vitesse en font un redoutable finisseur. Il prend la succession de Fontaine au sein d’un groupe vieillissant pour gagner enfin le titre manquant à son palmarès (championnat 1961-1962).
    Jean-Claude BLANCHARD (1965-1968, D2, D1, puis 1970 1972, D1). Vitesse de course et puissante frappe de balle sont ses atouts. Il inscrit 31 buts durant la saison 1967-1968 (meilleur total stadiste en D2). Après un passage à Bastia, il revient au moment où le club retrouve la D1 mais sans parvenir à s’imposer.
    Louis BOURGEOIS (1964-1969, D2, D1). Encore un Nordiste à la pointe de l’attaque rémoise. Grand et puissant, Bourgeois arriva en 1964. En 1966, il participa activement à la montée en D1 mais ce fut un passage éclair. Sa quinzaine de buts par saison ne suffirent pas à ramener le Stade au plus haut niveau national.
    Alain RICHARD (1967-1976, D2, D1). Ailier droit de formation, Richard a été un brillant inconstant, il fut le dernier Stadiste (après Jodar) convoqué en équipe de France au début de l’ère Hidalgo mais sans jamais décrocher une cape.
    Delio ONNIS (1971-1973, D1). Arrivé au Stade en septembre 1971, il marqua lors de son premier match, à Nantes. Onnis se singularisa d’entrée par cet opportunisme et ce sens du but qui en firent le meilleur « renard de surface » de l’histoire du championnat de France (299 buts). Pas très rapide, pas réputé pour posséder une technique largement au-dessus de la moyenne, il pouvait passer inaperçu pendant 89 minutes. À la 90e, il surgissait pour marquer. Les supporters rémois se montrèrent tout de même inquiets quand les dirigeants exprimèrent leur volonté de libérer l’Italo-Argentin qui venait d’inscrire 39 buts en une saison et demie…
    Carlos BIANCHI (1973-1977, D1). Le successeur d’Onnis fut Bianchi. Cet international argentin qui avait affronté l’équipe de France en 1971 était l’icône de son club, Velez Sarsfield. Convoité, entre autres, par l’Atletico Madrid, c’est pourtant au Stade qu’El Goleador atterrit grâce au sens de la négociation de Robert Marion. Reims n’allait jamais regretter la venue de cet immense buteur, capable de réaliser un sextuplé contre le PSG en août 1974 (victoire 6-1) et de cumuler 107 buts en 4 ans, en dépit d’une grave blessure à la jambe occasionnée par le Barcelonais Gallego lors d’un match amical à Paris en octobre 1974. Rusé comme un renard, ses réalisations du… poing sont restés en travers de la gorge de quelques défenseurs adverses. Son incroyable « come-back » dans la Cité des Sacres durant l’été 1984 fera long feu : si Delaune ne retrouva pas le buteur, il découvrit un entraîneur hors normes.
    Santiago SANTAMARIA (1974-1979, D1). Reims, en pleine « argentinisation » depuis l’arrivée de César Laraignée en 1972, continue d’exploiter ce filon doré en faisant venir Santiago Santamaria en fin d’été 1974. Son surnom, « El Cucurucho » (le pain de glace) annonce en fait qu’il demeurera tout aussi insaisissable pour ses partenaires que pour ses adversaires.
    … Et aussi : Gaidoz (1964-1967, D2, D1, 22 buts), Grochulski (1965-1966, D2, 17 buts), Kuzowski (1969-1971, D2, D1, 19 buts), Bernard Lech (1971-1975, D1, 24 buts), Galic (1970-1972, D1, 17 buts), Vergnes (1975-1976, D1, 11 buts), Costes (1977-1978, D1, 13 buts), Polaniok (1977-1980, D1, D2, 21 buts).


    Années quatre-vingt et quatre-vingt-dix : Des buteurs en échelon inférieur

    Jean-Pierre BERTOLINO (1978-1987, D1, D2, puis 1993-1995, DH, Nationale 3). Pas le plus rapide des ailiers droits, il compensait par sa puissance et son coup de rein. Son adresse face au but et sa facilité à prendre les espaces en firent un buteur redouté en D2. Pur Rémois, « Berto » revint en fin de carrière, en compagnie d’Abreu et des frères Giannetta (Tony et Rosario), donner un coup de main à son club, au plus bas en Division d’Honneur. Son dernier but, inscrit lors d’un match retour de barrage, fut insuffisant pour accrocher la montée en Nationale 2.
    François CALDERARO (1983-1990, D2). Autre Rémois pur jus, c’est finalement avec Metz puis le Paris SG qu’il vivra quelques beaux jours en D1. « Caldé » est un attaquant de surface. Il possède le flair du buteur. Carlos Bianchi, son entraîneur entre 1985 et 1988, n’est pas le dernier à lui enseigner les petits trucs qui font la différence.
    Ivo BASAY (1987-1990, D2). Basay, c’est l’eau et le feu. Capable de rendre fou ses adversaires par ses dribbles et sa technique sud-américaine, il peut aussi disjoncter sans prévenir. Devenu chouchou de Delaune qu’il enthousiasme par la fantaisie de sa palette technique, il ne connaîtra jamais la D1 alors que son talent le méritait. En contact avec le Marseille de Tapie en 1989, le petit Chilien (le second à porter les couleurs du Stade après Fernando Riera en… 1951) sera victime du « refus » d’un certain JPP.
    Joël GERMAIN (1996-1998, CFA2). Quand il s’engage en fin d’année 1996, Reims fait du surplace en Nationale 3 (qui devient CFA2) depuis deux longues années. Le retard accumulé depuis le début de saison 1996-1997 ne sera pas comblé mais Germain apporte ce qu’il manquait devant : un physique de déménageur et un jeu de tête dévastateur. Transfigurée, l’attaque stadiste inscrira 136 buts au cours de ses 43 participations en championnat (avec une seule défaite à la clé).
    … Et aussi : Tlemçani (1979-1982, D2, 30 buts), Charbonnier (1979-1984, 35 buts, D2), Kiefer (1982-1984, D2, 21 buts), François (1987-1991, D2, D3, puis 2000-2004, National, D2, 33 buts), Tholot (1990-1991, 14 buts), Varela-Martins (1996-1999, CFA2, 31 buts), Jacquesson (1999-2000, National, 18 buts).

     

    Années deux mille : Fauré, l’héritier…

    Cédric LIABEUF (2001-2003, National, D2, 20 buts). Petit ailier (gauche) de poche, Liabeuf est découvert à Romorantin où il forme un duo explosif avec Bertrand Tchami. Son adaptation à Reims est rapide et ses centres et ses services régalent vite ses partenaires. Le retour dans ce qui est désormais la Ligue 2 est au bout. Malheureusement, le club ne connaît pas la même réussite. Ce qui n’empêche pas Cédric de réaliser une saison pleine au plan personnel avec 12 buts.
    Amara DIANÉ (2003-2005, National, L2, 27 buts).
    Sébastien HEITZMANN (2001-2002, National, puis 2005-2006, L2, 18 buts).
    Cédric FAURÉ (2006-2009, L2, puis retour en 2010, National, L2).

    Et aussi : DOSSEVI (2003-2005, National, L2, 13 buts), FÉRET (2005-2008, 17 buts), KERMORGANT (2007-2009, 13 buts), TOUDIC (2010-2011, L2, 16 buts), GHILAS (2011-2012, L2).

     

     

    Gérard KANCEL (avec Hervé Musset)

  • PAS ENVI DE BLOGUER CE MATIN

     

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    Après plus d'un mois passé sans décrocher la moindre victoire, Reims a profité de son déplacement au Mans (1-0) ce lundi pour retrouver le chemin du succès. Les Champenois sont désormais dauphins de Bastia en Ligue 2. (Photo Presse-Sports)
    Après cinq matches sans succès (trois défaites et deux nuls), le Stade de Reims a enfin mis fin à la malédiction. Tombeur du Mans (1-0) à la MMArena, le candidat à la montée a en effet retrouvé le goût de la victoire après un mois de disette. Au cours d'une rencontre longtemps fermée et très pauvre en occasions, les protégés d'Hubert Fournier ont malgré tout assuré l'essentiel. Une réalisation signée Saadi (84e), d'un puissant coup de tête, a ainsi enfoncé des Sarthois toujours en position de premiers relégables.

    Entré en jeu quelques minutes auparavant, Pereira (19 ans), pour sa première avec le groupe professionnel, a quant à lui fêté dignement l'événement en délivrant la passe décisive. Grâce à cette quatrième victoire décrochée à l'extérieur cette saison, les Rouge et Blanc grimpent sur la deuxième marche du Championnat, et devancent ainsi Clermont d'une longueur. De bon augure à dix journées de la fin de saison.Source F.F

  • ENCORE 61 JOURS A TENIR

    75 % CELA NE TUERA PAS LA FOOT

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    Claude Onesta ne mâche pas ses mots. Le sélectionneur de l'équipe de France de handball estime que la proposition de François Hollande de taxer à 75% les revenus supérieurs à un million d'euros par an ne changera pas le visage du football français.                                  

     Christophe Jallet, le défenseur du PSG, ou Michel Seydoux, président de Lille, avaient exprimé leur désaccord.

    «Cela ne tuera pas le foot», leur répond Claude Onesta dans Libération de samedi, estimant que «cela fait des années que les clubs ne sont plus compétitifs en Ligue des Champions» et que «si le milieu de terrain du PSG Javier Pastore s'en va jouer ailleurs, on ne va pas en mourir non plus». L'entraîneur de l'équipe de France de handball s'interroge: «Les revenus baissent, le chômage grimpe, les gens galèrent pour se nourrir, se loger décemment, se soigner. Et on préserverait les plus riches ? Les joueurs de foot ne seraient pas touchés ?»

    «Qu'ils s'en aillent»

    Concernant l'exil des talents, un des arguments des opposants à cette proposition, il n'y croit pas. «La star gagnera la même chose quel que soit le taux d'imposition (...) On ne peut pas faire sans elle. Et une star négocie en net. Le salaire brut, cela regarde le club. Qui ajustera sa politique salariale au détriment des joueurs moyens: ce sont eux qui seraient impactés. Disons qu'un mec à 100 000 euros par mois n'en gagnerait plus que 80 000. Là aussi, j'ai du mal à voir où est le scandale.»

    Et ceux qui partent, comme les joueurs de tennis ? «On ne reste pas dans un pays parce qu'il vous permet de protéger le trésor mais parce qu'on y a des amis, qu'on partage des valeurs avec ceux qui y habitent. Donc, qu'ils s'en aillent», lance Claude Onesta.