A ECOUTER OU REECOUTER-
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A ECOUTER OU REECOUTER-
En ce début d'année, je suis heureux de présenter mes meilleurs voeux à tous les lecteurs de ce blog, anciens et nouveaux de plus en plus nombreux ou tous les records de visites ont été battu en 2013 . Que les désirs personnels de chacun puissent se réaliser. Mais sur un blog assez largement politique , ce sont des voeux politiques que je souhaiterai.
D'abord, en écho aux voeux du président de la République du 31 décembre , j'espère en la pleine réussite, dans la durée, de la politique menée par le gouvernement. Certes, des miltants socialistes traditionnels ont du mal à se reconnaître dans la ligne politique actuelle, réaffirmée dans les voeux présidentiels mais pourquoi ne pas essayer autre chose : aides aux entreprises contre engagement d'embauches, réduction des dépenses publiques et des impôts, clarification des compétences des collectivités locales. Mais ce qui importe quand on est à la tête de l'Etat, ce n'est pas l'avenir du socialisme traditionnel : c'est celui de la France et des Français.
Ensuite, pour Antibes, je renouvelle tous mes voeux de réussite à notre tête de liste Michèle Muratore , lors des prochaines élections municipales. Une lourde tâche, dans les semaines qui viennent, l'attend : faire progreser la gauche locale unie , après les échecs successifs pour ravir la Municipalité à une droite très bien implantée et menée par un chef influent et talentueux. Je souhaite à la tête de liste socialiste de savoir bien s'entourer (nous connaîtrons la liste complète prochainement) et de proposer aux Antibois trois ou quatre grandes mesures mobilisatrices. Je ne sais si je serai présent sur cette liste , mais je suis bien sûr à la disposition de Michèle, si je peux contribuer à mon niveau et à ma façon à faire progresser la gauche unie démocrate et écologique .
Les pompiers ont réussi à l'évacuer. Souffrant de multiples fractures, elle a été transportée d'urgence à l'hôpital, a indiqué Michal Kowalczyk, un porte-parole de la police locale cité par l'agence PAP.
Cette adolescente, âgée de 14 ans, avait escaladé la cheminée d'une centrale de chauffage du quartier en compagnie de deux de ses deux amis de 17 ans, tous les deux sous l'emprise de l'alcool.
"Les deux adolescents ont été interpellés. Quand ils auront dessoûlé nous allons les interroger sur les circonstances de cet accident", a déclaré le porte-parole de la police.
Pensée du jour !!!
Si tu choisis l'incinération, sache que ce sera ta dernière cuite,
Tandis qu'enterré, Tu auras toujours une chance d'avoir un petit ver dans le nez.
Le vin est innocent, seul l'ivrogne est coupable.Proverbe russe
Il y a davantage de philosophie et de sagesse dans une bouteillr de vin que dans tous les livres .Louis Pasteur
Une barrique de vin peut réaliser plus de miracles qu'une église pleine de saints.Proverbe italien
Qui n'aime ni les huîtres, ni les asperges, ni le bon vin, n'a pas d'âme et pas d'estomac.Hector Hugues Munro
A bon vin ne faut point d'enseigne.Proverbe français
Un bon ami est comme le vin. Le plus vieux, le meilleur .Proverbe français
Mieux vaut boire trop de bon vin qu'un peu de mauvais.Georges Courteline
Dieu n'a pas voulu que le noble vin se perde; C'est pourquoi il ne nous donne pas que la vigne,mais également la noble soif. Winzerspruch de Dorlisheim
Le vin console les tristes, rajeunit les vieux, inspire les jeunes, soulage les déprimés du poids de leurs soucis.Lord Byron
Celui qui sait déguster ne boit plus jamais de vin, mais il goûte ses suaves secrets...Salvator Dali
Le vin est ce qu'il y a de plus civilisé au monde.François Rabelais
Le vin est la partie intellectuelle d'un repas. Les viandes et les légumes n'en sont que la partie matérielle.Alexandre Dumas
Il existe cinq bonnes raisons de boire du vin : l’arrivée d'un hôte, la soif présente et à venir, le bon goût du vin et n'importe quelle autre raison.Proverbe italien
Je suis entrée dans le monde du vin sans autre formation professionnelle qu'une gourmandise certaine des bonnes bouteilles! Colette
Le ciel fit l'eau pour Jean-qui-pleure et il fit le vin pour Jean-qui-rit. Antoine Désaugiers
Quand le vin est tiré, il faut le boire! Et puis quand mon verre est vide je le plains et quand il est plein je le vide!A votre bonne santé messieurs, dames!
Il y a plus de vieux ivrognes que de vieux médecins.
L'alcool tue les microbes, la fumée les endort.
Le vin, c'est dégueulasse, les levures baisent dedans! BV
Le vin est la plus saine et la plus hygiénique des boissons . Louis Pasteur
Le vin, c'est le lait des vieillards.
Le vin ne se connaît pas à l'étiquette, ni l'homme à l'habit.
Dieu a créé l'alcool pour que les femmes moches baisent quand même. Coluche
Boire sans soif et faire l'amour en tout temps, il n'y a que ça qui nous distingue des autres bêtes.Beaumarchais
Poir savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu. Courteline
Le pastis, c'est comme les seins. Un c'est pas assez et trois c'est trop. Fernandel.
Je ne tolère qu'une seule arme, le tire-bouchon. Jean Carmet
Allez vieux fous! Allez apprendre à boire! On est savant quand on boit bien! Qui ne sait boire, ne sait rien! Boileau Despreaux 1636-1711
Si le vin disparaissait de la production humaine, il de ferait dans la santé et dans l'intelligence un vide, une absence plus affreuse que tous les excès dont on le rend coupable. Charles Beaudelaire
Quand je décoiffe un flacon, le liège qui pète me fait entendre un plus beau son que tambours et trompettes. Racine
Le jour où les vaches mangeront du raisin je boirai du lait.
Chargée depuis 2012, au sein d’Amnesty International Brésil, de suivre le dossier des expulsions forcées, Renata Neder, assure que la proximité avec les habitants des favelas et les mouvements sociaux est indispensable pour comprendre les réalités du terrain et accomplir efficacement sa mission. À condition, pour Amnesty International, de savoir conserver la bonne distance. Entretien
Après la vague d’expulsions forcées de 2010 et 2011, quelle est la situation pour les habitants des favelas de Rio de Janeiro ?
Il existe, aujourd’hui encore, de nombreuses favelas dans lesquelles les habitants sont menacés d’expulsion. Ces menaces sont de deux types : d’abord les grands travaux d’aménagements urbains liés aux méga-événements tels que la Coupe du monde 2014 et les jeux Olympiques 2016 ; ensuite les expulsions lorsque les autorités estiment que les favelas sont construites sur des zones dites à risques, notamment d’effondrements ou d’inondations. Aujourd’hui, les principales menaces d’expulsions sont liées à la construction, en cours ou à venir, de trois axes routiers qui traversent la ville : la TransOlimpica, la TransCarioca et la TransBrasil. Un autre axe routier, la TransOeste, a été achevé l’an dernier. Sa réalisation a donné lieu à de massifs et violents déplacements de populations et nous savons que ces trois autres chantiers ont déjà et vont encore en entraîner. La question est de savoir dans quelles conditions vont se réaliser ces déplacements.
Comment analysez-vous les expulsions forcées survenues à Rio de Janeiro depuis l’attribution de la Coupe du monde, puis des jeux Olympiques ?
Lorsque l’on regarde en arrière, on s’aperçoit que les expulsions forcées ont souvent été accompagnées d’une série récurrente de violations des droits. Parmi elles, le manque d’accès aux informations liées aux projets (planification des travaux, dates de déplacements prévus des populations). La plupart du temps, il n’existe aucun dialogue avec les communautés afin d’évoquer les alternatives à un déplacement, notamment en réalisant des travaux de contention. Lorsque des solutions sont évoquées, toute une série de problèmes se pose comme des propositions d’indemnisations très faibles, qui poussent les habitants à demeurer dans des logements informels et précaires. Ou alors, les relogements proposés se trouvent dans des lieux très distants.
Dans ce contexte, en quoi consiste le travail d’Amnesty Brésil ?
Amnesty International n’a ouvert son antenne au Brésil qu’en 2012. Jusque-là, le travail avait été réalisé à distance à partir d’informations récoltées auprès de partenaires locaux. Depuis, la nature du travail a évolué. D’abord, le fait que nous soyons plus près de la réalité change les relations que nous avons avec les habitants des favelas et avec les partenaires locaux. Ensuite, nous nous étions fixés comme objectif de produire rapidement davantage de contenu et d’avoir une incidence politique sur les autorités locales. Nous nous sommes donc impliqués dans deux collectifs importants : le « Comité populaire pour la coupe et les jeux Olympiques », regroupant des dizaines d’associations et de mouvements sociaux de l’ensemble du Brésil, et le « Forum communautaire du port », qui accompagne spécifiquement la favela de Morro da Providencia.
Cette proximité avec les habitants de ces communautés atteintes ou menacées d’expulsion a-t-elle des conséquences sur votre mission ?
Oui, car c’est nouveau pour nous et nous devons donc apprendre à gérer cette relation. D’abord parce que, face à de très nombreuses violations de droits, choisir est très difficile. En outre, beaucoup d’habitants des favelas, sachant le poids que représente Amnesty International, nous sollicitent directement. Nous recevons ainsi fréquemment des appels qui nous disent : « il est en train de se passer quelque chose ici et en ce moment, est-ce que vous pouvez venir ? » Ou alors : « il va y avoir un acte public à telle date et nous aimerions qu’Amnesty soit présente à nos côtés ». Il y a donc une demande plus importante par le simple fait que nous soyons présents dans ces espaces. Du coup, nous vivons parfois un dilemme face à ces sollicitations. Car la tendance est évidemment de réagir rapidement alors que parfois, il faudrait prendre un peu de recul pour agir à moyen terme et avoir une action plus stratégique. Alors à défaut d’aller sur place, nous actionnons nos réseaux pour que des réponses immédiates et efficaces soient données. Nous devons aussi expliquer de manière pédagogique le travail d’Amnesty International.
Comment travaillez-vous avec les autres organisations et mouvements ?
La relation se construit progressivement. Le Brésil est un pays où la société civile est très forte et organisée, où les mouvements sociaux sont puissants et où certains d’entre eux travaillent sur le droit au logement depuis des décennies. C’est un point très important, car on ne peut pas imaginer un seul instant travailler sur ce thème des expulsions forcées sans le faire de manière articulée avec les autres mouvements. Sauf que nous devons faire attention à certaines choses.
Nous sommes conscients qu’Amnesty International a un poids énorme et nous ne voulons offusquer aucune organisation locale sur le thème des expulsions. Donc notre philosophie est de construire des relations qui permettent de renforcer la visibilité de ces organisations et non le contraire. C’est vrai en particulier avec les médias. Résultat, nous incluons toujours dans nos interventions cette notion de partenariat et rappelons qu’il existe des acteurs locaux compétents. Ceci étant, nous avons besoin, nous aussi, de visibilité. Car nous sommes ici également pour construire une base de militantisme, pour capter des financements. Il nous faut donc trouver le bon dosage et ça change d’une situation à l’autre.
Extrait de La Chronique de décembre 2013
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Faites-vous également un travail ayant des incidences politiques ?
Oui, c’est une part importante de notre mission. Notamment auprès des autorités municipales car ce sont elles, pour l’essentiel, qui ont le pouvoir d’expulser ou pas. Et donc de ne pas violer les droits. Ce travail a existé très tôt. Avant même d’établir une stratégie, nous avons en effet enquêté sur la situation des expulsions à Rio et découvert de nombreuses irrégularités.
Nous avons donc sollicité la mairie pour vérifier un certain nombre de choses. Reçus après plusieurs mois d’attente, nous avons obtenu des réponses à nos questions. Certaines satisfaisantes, d’autres pas. Nous avons été très francs, en expliquant que nous avions découvert des irrégularités qui constituaient des violations, que nous allions les dénoncer et lancer une campagne contre les expulsions forcées.
Cette démarche a été payante, car nous avons désormais des contacts directs à la mairie, avec le maire lui-même et le Secrétaire municipal d’habitation. L’incidence politique est donc double : dans le cadre de réunions fermées, mais aussi publiquement, car nous savons que les autorités municipales sont très sensibles à la réaction de l’opinion publique.
Quels sont les défis et perspectives pour les années qui viennent ?
2014 est une année très importante. Il va y avoir la Coupe du monde et cet événement va occuper les agendas. Ça dépasse le problème des expulsions forcées, car Amnesty International sait par expérience que de tels événements s’accompagnent toujours de violations de divers droits.
Pour s’en convaincre, il n’y a qu’à jeter un œil sur la Loi générale de la Coupe récemment votée. Elle caractérise de nouveaux crimes, criminalise la protestation sociale durant les grands événements, crée pour la première fois au Brésil le crime de terrorisme et va empêcher de travailler des milliers de vendeurs de rue, dans un pays où le travail informel représente près de la moitié de l’emploi total. Mais notre travail contre les expulsions forcées reste au centre de nos préoccupations. D’autant qu’au nom de la mobilité urbaine, les expulsions forcées continueront bien après les jeux Olympiques de 2016.
Propos recueillis par Jean-Claude Gerez
Ingrédients
Ingrédients pour 6/8 personnes :
1 kg de filet de boeuf
500 g de pâte à brioche
2cuillères à soupe de mie de pain fraîche hachée
2 crêpes ou feuilles de brick
1 jaune d’oeuf
500 g de champignon de Paris moyens
3 échalotes
1/2 gousse d’ail
1 cuillère à soupe de persil plat concassé
1 morceau de sucre
80 g de beurre
1 filet d’huile d’arachide
2 dl de fond de veau froid
1 verre de porto
Sel et poivre du moulin
Préparation
1) Chauffer 1 filet d’huile d’arachide avec 20 g de beurre dans une poêle, ajouter et saisir 1 filet de boeuf d1kg, le faire légèrement colorer sur toutes les faces, ne surtout pas le piquer. Puis le débarrasser sur une grille et le laisser refroidir.
2) Préparer une duxelle de champignons : Couper le bout terreux de 500 g de champignons de Paris moyens. Puis laver les champignons plusieurs fois à l’eau froide mais rapidement, les égoutter, et les hacher de préférence au couteau.
Peler et ciseler finement 3 échalotes Peler et hacher finement 1/2 gousse d’ail.
Faire suer, dans un poêlon, les échalotes ciselées avec 20 g de beurre et 1 pincée de sel. Ajouter ensuite les champignons hachés, saler légèrement, poivrer, les cuire sur feu vif afin que l’eau de végétation s’évapore, remuer avec une spatule en bois. Ajouter la demie gousse d’ail, 2 cuillères à soupe de mie de pain fraîche hachée, 1 cuillère à soupe de persil plat concassé, bien mélanger, laisser refroidir. Recouvrir cette duxelles de champignons d’un film alimentaire et l’entreposer au réfrigérateur. Elle peut être réalisée la veille.
3) Saler et poivrer le filet de boeuf sur chaque face.
Etaler 2 crêpes sur le plan de travail en les chevauchant légèrement, les tapisser de duxelles de champignons bien froide. Disposer ensuite le filet de boeuf dessus, et bien l’envelopper. Le réserver au réfrigérateur.
4) Etaler 500 g de pâte à brioche , afin d’obtenir une abaisse rectangulaire d1 cm d’épaisseur, suffisamment grande pour pouvoir envelopper le filet de boeuf. Si la pâte est molle l’entreposée au congélateur 5 à 10 minutes afin qu’elle soit bien froide.
5) Préchauffer le four à 220C.
6) Disposer le filet de boeuf sur l’abaisse de brioche , le rouler délicatement en prenant soin de bien faire adhérer la pâte. Le disposer sur une plaque de cuisson, couper les deux extrémités de la pâte un peu au-delà de la viande et les souder.
Badigeonner délicatement, à l’aide d’un pinceau, tout le dessus du filet de boeuf de jaune d’oeuf. Puis l’entreposer au réfrigérateur 15 minutes.
7) Dorer le filet de boeuf une seconde fois, puis le glisser dans le four et compter 30 minutes de cuisson à 220C.
8) Préparer une sauce porto : Faire fondre 1 morceau de sucre dans une petite casserole, j’usquà ce qu’il devienne caramel , bien remuer avec une spatule en bois. Verser délicatement 1 verre de porto, et laisser réduire pratiquement à sec, il doit rester environ 2 cuillères à soupe de sauce. Ajouter 2 dl de fond de veau froid, porter à ébullition, incorporer délicatement, en remuant avec une spatule en bois, 40 g de beurre bien froid coupé en petits morceaux (ne pas fouetter cette sauce, elle risquerait de blanchir), poivrer.
9) Après 30 minutes de cuisson, le filet de boeuf en brioche est bien doré, le laisser reposer 1 à 2 heures à température ambiante. Juste avant de le servir, le passer au four 5 minutes pour le réchauffer.
Une astuce pour vérifier la cuisson du filet de boeuf en brioche : Le piquer avec une aiguille à brider ou à défaut avec une aiguille à tricoter en métal, la laisser enfoncer 30 secondes - 1 minute, puis la ressortir, la porter aux lèvres, elle doit être tiède, si elle est chaude, la viande est trop cuite, si elle est froide, elle ne lest pas assez.
10) Trancher le filet de boeuf avec un couteau électrique de préférence pour plus de facilité, lagrémenter de la sauce au porto, et déguster.
Déguster ce filet de boeuf en brioche avec un pomerol, le servir à 17C.
Certes, j'aurais préféré une baisse franche et massive du chômage . Michel Sapin semble englué dans ses explications : je vais voler à sa rescousse. Il y a six mois, il y avait 1000 chômeurs de plus par jour. Sur les deux derniers mois, ce nombre a vaguement baissé. Il y a bien eu une inversion de la courbe. Bah ! Ils peuvent se moquer des engagements de François Hollande : il les a tenus. Certes, ce n'est pas folichon mais leur éternelle idole, Nicolas Sarkozy, avait bien promis de ramener le chômage à 5% de la population active.
Pour 4 personnes
12 noix de saint jacques fraiches
2 pinçées de filament de safran
2 échalottes
3 cuillères à café de fumet de poisson en poudre
10 cl de vin blanc sec
20 cl de crème liquide
40g de beurre
ciboulette
piment d' Espelette
RINCEZ LES NOIX
Epongez les et réserver
Dans un bol faire tremper le safran dans 2 cuillerées à soupe d'eau tiède.
Pelez et émincer les échalottes
DANS UNE POELE FAIRE FONDRE LE BEURRE
Dès qu'il mousse , saisissez les noix 30 secondes sur chaque face et , réservez les .
Dans la même poêle faire revenir 5 minutes les échalottes doucement sans les faire colorer ajouter éventuellement du beurre .
Saupoudrez avec le fumet de poissons ,versez le vin le safran avec son eau de trempage .
Portez à frémissements et laissez réduire jusqu'à évaporation presque totale du liquide.
Ajoutez la crème et laissez épaissir 1minute
Remettez les noix dans la poêle , juste pour les réchauffer , vérifier et rectifier l'assaisonement .
Répartissez les noix dans les assiettes nappez de sauce , granissez de ciboulette ciselée et poudrez de piment , servez aussitot.