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  • MUSEE PICASSO A ANTIBES

     

    Depuis ce 20 juillet, la rénovation du musée Picasso est effective.  comme s’y était engagé notre Député-Maire d’Antibes , cette réouverture a bien lieu l’été mais un an plus tard que prévu !
    :

    17-11-2000 : premier vote en Conseil municipal pour désigner un programmiste
    20-12-2002 : vote pour le contrat de maîtrise d’œuvre avec architecte
    30-06-2003 : lancement des procédures
    03-12-2004 : restauration, mises aux normes
    13-09-2005 : relogement de l’administration
    16-12-2005 : réfection de la toiture
    20-01-2006 : signature des marchés
    21-12-2007 : marché complémentaire (assurances)

    20-07-2008 : ouverture au public du Musée

    Le 17 septembre 1946, le maître entra au château Grimadi. Son premier geste fut de dessiner trois figures concentriques, Les Clefs d'Antibes, sur le mur de la salle sous les combles qui lui servit d'atelier.

    Le 10 novembre, il en partit pour retourner à Paris, à l'approche des mauvais jours. L'aventure aura duré deux mois à peine mais, ô combien riche en œuvres : de La Nature morte à la bouteille, à la sole et à l'aiguière, au Nu assis sur fond vert, en passant par La Joie de vivre, gigantesque bacchanale au bord de la mer devenue l'œuvre emblématique du musée.

    C'est dans cette immense pièce baignée de lumière que Picasso a peint dans une fulgurance l'intégralité de la collection antiboise. La nuit, le jour, parfois assis à même le plancher, parfois à croupetons sur ces toutes petites chaises de bois sombres qu'on aperçoit sur les photos en noir et blanc prises par son ami Michel Sima. Pour restituer la pièce originelle, on a abattu la cloison que Dor de la Souchère avait fait monter pour créer une resserrre et on a posé un parquet de chêne massif au sol. Celle-çi a le même volume qu'avant pour accueillir le grand triptyque au Ripolin et fusain sur fibrociment du Satyre, faune et centaure au trident.  Là, « la chèvre», « Les clefs d'Antibes », retrouvent toute leur place. Suivent huit salles où l'on redécouvre avec bonheur la suite Antipolis, les faunes, « le pêcheur accablé» et la « marchande d'oursins » etc.

    Fin de la visite

       
  • GASPACHO DE TOMATES ET CONCOMBRES

      

    Comme convenu voiçi une deuxieme recette de gaspacho à base de cocombre et tomates

    Ingrédients pour 4 personnes

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              1 concombre
            10  tomates type roma
              1  poivron rouge
           1/2  pied de céleri branche
              1  oignon frais
              3  gousses d'ail doux
            25cl de jus de tomate en bouteille
                   huile d'olive
                   sel poivre ou piment d'Espelette

     Préparation

    028beceed54e3d9ac4abc144ccc62854.jpgLavez et coupez les tomates enquartier,et le concombre en dés.

    Lavez et éplucher le poivron retirez les pépins,coupez en dés également.

    Epluchez l'ail,coupez chaque gousse en deuxet otez le germe

    Lavez et épluchez le céléri à l'aide d'un épluche légume pour retirer les filaments

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    Rassemblez tous les légumes dans un saladier assaisonnez de sel et poivre,coivrir et laisser au réfrigérateur pendant 24 heures

    Mixer tous les ingrédients de la marinade ajouter 2 à 3 cuillières d'huile d'olive le jus de tomate et servez ce gacpacho bien frais dans des verres ou assiettes

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  • MAL LUI EN PRIS

    C'est trois petits gars qui sont sur la plage d'Antibes quand tout à coup ils voient un monsieur qui est en train de se noyer. Alors les trois petits gars nagent pour aller le sauver. C'est Nicolas Sarkozy, président de la république. Là le président dit aux petits gars:
    - Merci de m'avoir sauvé! Pour cela je vous accorde un voeux chacun.
    - Moi, je veux des rollers couleur argent, dit Pierre le premier petit gars.
    - Tu les auras mon petit gars, dit Nicolas Sarkozy.
    - Moi, je veux un lecteur MP4, dit Yohan le deuxième.
    - Tu l'auras mon petit gars, dit Nicolas Sarkozy.
    Alors Julien le troisième petit gars dit:
    - Moi, je veux une tombe en or!
    Nicolas Sarkozy dit:
    - Bin voyons donc mon petit gars ce n'est pas un cadeau ça???
    Le petit gars répondit:
    - Lorsque je vais arriver à la maison et que je vais dire à mon grand-père que j'ai sauvé le président de la république, il va me tuer!

     

  • FETE NATIONALE

       Un journaliste et une caméra, dans la rue, le 14 juillet dernier. Question : "Le 14 juillet, c'est quoi ?" Réponse : "La fête nationale" - "Mais encore ?" - "Ça doit fêter la fin d'une guerre mais je ne sais plus laquelle…" La fin d'une guerre, non. Fête nationale, oui… et encore ! Pas depuis longtemps !

       Une fête nationale qui date de 1880
       C'est la IIIème République qui décide d'instaurer une fête nationale ou, plus précisément : "une fête de la République", ce qui n'est pas la même chose. Aussi les députés cherchent-ils non pas une date marquante pour le pays, tous siècles confondus, mais un jour important dans le seul calendrier de la Révolution française. De nombreuses dates sont proposées par les députés comme par les sénateurs : 4 août, 5 mai, 9 thermidor… C'est finalement le 14 juillet, jour de la prise de la Bastille par le peuple, qui l'emporte. Un 14 juillet que Victor Hugo a contribué à élever au rang de mythe en 1850 par son poème "Célébration du 14 juillet" dans le recueil Chansons des rues et des bois : "C'est le quatorze juillet. […] Et l'infini s'éclairait du côté de l'espérance."

    Le 6 juillet 1880, le 14 juillet devient officiellement fête nationale, comme le confirme une loi votée par la Chambre et par le Sénat. Pour que cette fête devienne à la fois populaire et marquée par les réjouissances les plus grandes, le 14 juillet est déclaré chômé : on ne travaille pas, c'est bien rare à l'époque. La IIIème République conseille un emploi du temps que vont respecter mairies et préfectures : défilés militaires et réceptions officielles le matin, banquets républicains le midi, fêtes foraines, bals et feux d'artifice (pour les communes qui peuvent s'en offrir un) le soir.

    Après la Première Guerre mondiale, des défilés de la victoire sont organisés pour le 14 juillet, qui devient une vraie fête nationale plutôt qu'une fête de la République.


       Et avant 1880 ?
       Sous l'Ancien Régime, le jour que l'on pourrait qualifier de national était le 15 août. Ce jour consacré à la Vierge Marie, toujours férié aujourd'hui, était à la fois une fête religieuse importante et une fête dynastique. Rappelons que temporel et spirituel se confondaient alors, que le roi l'était "de droit divin" et qu'associer le religieux et le politique semblait non seulement naturel mais souhaitable.

    C'est Louis XIII qui fait du 15 août la fête de la France. Rappel des faits : Louis XIII et Anne d'Autriche se sont mariés en 1615, mais leur premier enfant (le futur Louis XIV) ne naît qu'en 1638. Lorsque, en février 1638, Louis XIII apprend que la reine est enfin enceinte (près de 23 ans après leur mariage !), il signe à Saint-Germain-en-Laye des lettres patentes plaçant le royaume "sous la protection spéciale de Marie, mère de Jésus". Le 15 août 1638, l'ensemble du royaume célèbre la consécration faite par Louis XIII à la Vierge, en lui remettant "sa Personne, son État, sa Couronne et ses Sujets". Des processions en l'honneur de la Vierge et de la France ont désormais lieu dans tout le pays, tous les ans, le 15 août. Des pèlerinages sont organisés, des enfants consacrés à Marie. Une fête qui reste très importante, dans un pays massivement catholique, jusque dans l'Entre-Deux-Guerres.

  • DECES DE GEREMECK

    Bronislaw Geremek (AP) 

    Victime d'un accident de voiture, le professeur Bronislaw Geremek, agé de 76 ans, est décédé ce jour dans la ville de Lubien située entre la ville de Poznan et la frontière allemande.

    On ne sait pas encore pour qu'elle raison, sa voiture à traversé la route et est venue percuter un véhicule de livraison qui arrivait en face.

     

    De 1950 à 1968, Bronislaw Geremek avait été membre du parti communiste polonais au pouvoir, le Parti ouvrier unifié polonais. Il avait pris ensuite ses distances avec le parti communiste et avait rejoint dans les années 80 le mouvement Solidarnosc.

    Après la chute du mur, il avait été ministre des Affaires étrangères de 1997 à 2000 et il était l'un des principaux artisans de l'entrée de la Pologne dans l'OTAN et dans l'Union Européenne.

    Fin connaisseur de la langue et de la culture française il était souvent l'invité des plateaux de télévisions dans l'hexagone où il n'hésitait pas à défendre ses propres idées, mais avant tout la Pologne, son histoire, sa culture.

    Après le décès de Jacek Kuron en 2004, la Pologne perd aujourd'hui un autre grand personnage de son histoire moderne.

  • L'EXEMPLE DE TRICASTIN

    (Idé)

     

    Au Tricastin, il aura fallu une bonne dizaine d'heures avant que l'entreprise privée effectue les démarches officielles d'alerte. De quoi s'interroger sur les dangers de la privatisation de la filière énergétique et surtout nucléaire. Les interventions doivent être conduites dans les meilleurs délais sur un site déjà inquiétant. En effet, plus le temps passe, plus le nombre de fûts corrodés et éventrés augmente, plus augmentent les risques de pollution du sol et des eaux souterraines, le nombre de personnes exposées aux rayonnements émis par le tumulus et les risques de contamination par inhalation. Il ne faut pas compter sur la diminution de la radioactivité avec le temps : l'uranium 238 a une période physique de 4,5 milliards d'années et l'uranium 235 de 700 millions d'années ! Cela fait plus de 30 ans que ces déchets toxiques, tant sur le plan radioactif que chimique, ont été enfouis dans le sol. Ce dysfonctionnement perdure en toute impunité, en violation des principes fondamentaux de gestion des déchets, principes censés garantir la préservation de l'environnement et la protection sanitaire des travailleurs et du public.
    Il est choquant de constater que ni l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN), ni les ministères concernés n'ont exigé de mise en conformité, et qu'ils continuent au contraire d'accorder aux exploitants de nouvelles autorisations pour augmenter les productions, les stockages et construire de nouvelles installations. Le traitement des pollutions passées et le confinement des déchets toxiques devraient constituer un préalable.
    Le statut d'installation secrète est là pour préserver des informations à caractère militaire, pas pour servir de couverture à des pratiques choquantes ou pour permettre à AREVA et au CEA de faire des économies sur la gestion de leurs déchets. Par ailleurs, plusieurs responsables sont intervenus dans le cadre de la CIGEET pour affirmer que le« transfèrement » des déchets avait été envisagé... puis écarté. On ne sait si le motif de l'abandon du projet était le souci de limiter les coûts, ou des problèmes liés à la dangerosité des déchets. Aucune de ces explications ne justifie l'inaction. La situation ne peut en effet qu'empirer, et si les exploitants ne financent pas le traitement du problème tant qu'ils sont solvables, dans 50 ou 100 ans, ce sera à la collectivité de le faire... ou d'en subir les conséquences environnementales et sanitaires. Remarquez, on trouvera bien d'ici là des sondages... sur les Français et l'environnement. En attendant, vous aurez un second EPR et surtout vous vous demanderez d'où viennent les cancers. La cause est pourtant claire : le profit. Rien que le profit. Toujours le profit !

  • LES OTAGES

  • SEGO CAMBRIOLEE

    Dessin Ségolène Royal cambriolage

  • ELLE EST LIBRE

    Tropicalboy

    Ingrid a été libérée par miracle. «Je rends grâce au président Sarkozy à Dieu et à l'armée», a déclaré hier soir Ingrid Betancourt. N'aurait-elle pas été mieux inspirée, à tout le moins, d'inverser la formule

  • C'EST PAS BEAU LA GUERRE

     Dessin Carcassonne armée 

     


    Démonstration. C’était une démonstration de guerre. Quelle idée d’y emmener des familles et des enfants, n’est-ce pas ? A Carcassonne, les balles réelles ont été substituées à des balles à blanc, et le militaire a tiré sur la foule. Comme à Kaboul. Mille hommes de plus ont été envoyés pour faire ce sale travail à Kaboul par Sarkozy. Là-bas ils ne peuvent tirer que sur la foule des afghans : parce qu’on se demande sur qui ils pourraient tirer d’autres là-bas. Vu que pas un afghan -sauf le fantoche Hamid karzaï, l’homme de main du pétrolier Dyck Chesney - n’est favorable à la présence de troupes étrangères sur le sol d’Afghanistan. Que faisons-nous là-bas ? Des choses horribles. La guerre d’invasion, de domination, d’occupation c’est pas beau : il n’y a que des bavures, des saletés, à balles réelles. Comment en faire un "spectacle" ici ? Comment rendre la si lointaine guerre si proche de nous dans une "démonstration" à Carcassonne ?