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  • LA PROVINCE S'ENFLAMME AUSSI....

    Retour au moyen âge

    Aprés la gare de Lyon  la Province s'enflamme aussi

    Aujourd'hui nous nous posons la question : est ce que le jeu en vaut la chandelle ? En effet ce matin 500 amies moules étaient arrétées par une milice proche du ministère de l'intérieur. Torturées, elles sont ensuite rassemblées sur la place publique. Nous revivons la les heures les plus sombres de l'humanité.

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    Puis elles furent recouvretes d'aiguilles de pin et sauvagement enflamées au nom de l'inquisition. Le boureau se serait écrié "Le bouchot, aimez le ou quittez le!"

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    Images insupportables, ne subsite alors qu'on vaste charnier. L'odeur des chaires calcinées donne des hauts-le-coeur à notre agent infiltré.

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    Alors faut-il encore perdre nombre de soeurs pour notre cause? Face à cette barbarie satanique peut-on se battre avec de simples idées? Le gouvernement est-il derrière tout ça ? Le diable en personne serait-il réincarné pour balayer notre mouvement? Nous avons beaucoup de questions mais certains n'hesitent plus à arborer des signes satanistes et en quelque sorte à revendiquer ces exactions insupportables pour l'humanité et la mytilienneté. Alors oui la piste du grand commandeur de la police est notre piste numéro 1.

  • LA RECHERCHE IMPOSSIBLE

    LA RECHERCHE IMPOSSIBLE
    Les joueurs d’échecs savent que quand on a perdu un match, il faut patiemment le refaire, le décomposer, l’analyser pour rechercher les causes de la défaite. Il y a forcément un moment où l’on a commis des erreurs, où l’on n’a pas vu venir les coups de l’adversaire par manque d’intuition ou d’esprit d’anticipation. Nicolas Sarkozy a du temps devant lui, les socialistes n’aiment pas se pencher sur leurs erreurs qu’ils imputent toujours… aux autres. Il sera forcément interdit d’être objectif car ce serait une atteinte à l’unité. En 30 ans après chaque défaite on examine les résultas en privé dans un petit cercle mais ensuite interdiction d’ébruiter les conclusions. Toute critique serait malvenue et surtout condamnée comme un crime de lèse majesté !
    Le prochain sondage fera état de la nécessité de bannir les fameux éléphants jugés de porcelaine. Le suivant dira que le P.S. baisse dans l’opinion publique. Le troisième vous persuadera qu’il n’y a point de salut en dehors de l’UMP avant que le quatrième ne vous assène que le salut passe par une chambre bleu horizon. On se fera un cocktail molotov party dans une banlieue. TF1 diffusera un reportage sur les fraudeurs aux ASSEDIC vivant du trafic de drogue en caméra caché. Sarkozy fera une déclaration solennelle depuis l’Elysée et l’affaire sera dans le sac.

  • LE SARKO PIS

     

    Comment ne vous ai-je pas encore parlé du plus célèbre naturiste franco-hongrois ?
    Le Sarko Pis, appelé aussi "Petit Nicolas", sculpté par Jérome Duquesnoy l'Ancien en 1619, alimentait le quartier en eau. Ce petit garçon potelé, dont le geste naturel s'accompagne d'une grâce charmante, symbolise la goguernardise et la verdeur de Budapest.
    Pour celles et ceux qui vont bientot visité Paris , il faut savoir que le Sarko Pis sera exposé rue du Faubourg Saint Honoré Palais de L'Elysee à partir du 16 mai prochain pour 5 ans.

    Manneken_Pis

     

     

  • ON A PERDU

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    C’est fini. Les derniers espoirs se sont envolés depuis plusieurs jours. Tous les voyants sont largement au vert et c’est sans surprise que le visage de Nicolas Sarkozy est apparu dimanche soir à 20 heures sur tous les écrans de télévision. Tous les calculs savants qui décomposaient l’électorat en pourcentage ont volé en éclats devant la dure réalité.La réalité est incontestable : la droitisation a imprégné le tissu social via les apparences distillées en permanence par le système médiatique. Prétendre le contraire serait tout simplement jouer aux autruches apeurées. Notre pays est, dans les votes nationaux, ancré à droite alors qu’il se lâche dans la proximité en faisant confiance à la gauche pur gérer son quotidien. L’individualisme et plus encore le repli frileux sur soi pour des raisons souvent très ponctuelles ont construit le libéralisme. L’éducation, la prévention, la modération, la solidarité n’appartiennent plus au vocabulaire audible par les citoyennes et les citoyens. Ils ne veulent qu'entendre réussite personnelle, sécurité, répression, fortune qu’ils attendent de gens réputés aptes à mettre en œuvre une telle politique. La société du chacun pour soi est de moins en moins sensible aux idéaux généralistes : il lui faut du concret et de suite ! Pourtant chaque fois trompé par des promesses intenables dans le temps, il oublie vite sa déception pour croire en d’autres promesses assénées comme des certitudes. Il réfute la valeur de l’alternance et du changement car il ne croit pas dans son efficacité compte tenu de la trop faible différence entre les solutions des camps en présence.
    En glissant leur bulletin Sarkozy dans une enveloppe bleue, les électrices et des électeurs refusent tout simplement la moindre ouverture sur les autres dans tous les domaines. Ils se retranchent chez eux votant pour celui que les gens ouverts jugent inquiétant alors que pour les " recroquevillés " il apparaît comme rassurant. Le vote Sarkozy c’est celui du triple verrou- j'allais écrire voyou- que l’on met à sa porte par peur de tout ce qui vient de l’extérieur, de tout ce qui déstabilise dans des certitudes livrées par la télé en prêt à penser, de ce qui peut vous obliger à vous remettre personnellement en cause. En profondeur les gens ne veulent pas remettre en cause leur credo : " tout ce qui va mal repose sur la faute des autres. Tous les efforts à effectuer sont imputables aux autres " Le vote Sarkozy confirme l’américanisation de la vie politique européenne. On assistera ce soir à la " bushisation " de la France des Droits de l’Homme avec quelques années de décalage sur les Etats Unis. Il n’y a pas l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarette entre la vision sociale proposée par Sarkozy et celle que les Américains viennent de rejeter après le règne de Bush & Co. Mais par trouille d’un affrontement trop frontal, personne à gauche ne s’est hasardé à lancer un slogan du type " Bush- Sarko même idéal, même combat ! ". Bientôt il sera trop tard et l’avenir se nourrira de regrets.
    QUAND LA MOBILISATION AURA FONDU
    Le mur des lamentations va en effet être fréquenté dans les prochains mois. Quand la pluie de décisions antisociales va tomber, on constatera que le mal est encore plus profond que supposé car la mobilisation aura fondu comme neige au soleil. Des syndicats ayant eu peur de leur ombre, des partis de gauche laminés financièrement et humainement, une main mise absolue de l’UMP sur les rouages essentiels de l’Etat réputé " impartial ", des collectivités locales (régions, départements, grandes villes) dépenaillées par l’avalanche des transferts sans finances, des fractures possibles au moindre tremblement au sein même de la Gauche… vont faire entrer la France dans un processus similaire à celui des années 60 et 70. Seul un sursaut avec des législatives unitaires, ancrées à Gauche, bien cadrées et surtout présentées comme le troisième tour des présidentielles peut relancer une dynamique pour des municipales et des cantonales risquant bien d’être avancées dans un contexte aussi favorable à la reconquête par les partis de droite de certaines grandes villes.
    Le vote Sarkozy n’a reposé une fois encore sur la peur. Là où la Gauche pensait que l’individu susciterait méfiance et répulsion il est apparu que son comportement agressif, ses propos outranciers assumés, sa propension à se victimiser lui a donné une image de solidité et de stabilité. Il suffisait de faire souligner médiatiquement les volte-face, la marche à tâtons, le parcours en zigzag de son adversaire pour renforcer à contrario sa constance. Lors du fameux face à face il ne lui fallait absolument pas réagir, parler du programme, accepter les attaques pour accentuer ce positionnement de chaperon rouge menacé par le loup déguisé en femme. En quelques jours le message est enfin passé dans le peuple. Les sondages sont venus le renforcer : la peur du lendemain ne serait conjurée qu’en rejoignant le flot montant. Si 55 % des Françaises et des Français font confiance à Sarkozy, je ne risque rien en entrant dans cette foule consentante… La vague supposée s’est donc nourrie par le mouvement qu’elle a initié devenant ainsi une réalité alors qu’elle n’était au départ que virtuelle
  • FIN DE MATCH

     C'est la sixieme campagne présidentielle que je mene et certainement  la derniere de ma  vie de militant. Si l'on gagne dimanche ce sera comme d'avoir monté un meuble ikéa. Après bien des colères et des incidents de montage le plaisir d'en avoir fini avec succès vous fait presque oublier pourquoi vous vous êtes donné tout ce mal.
    A cette heure, les sondages tombent sur la tête des camarades comme un marteau pilon. Sur la mienne aussi. J'ai besoin de toute mon énergie philosophique pour repousser la rage qui me mange la tête.

    N'empêche, comme d'habitude, les bonnes troupes bien éduquées politiquement et disciplinées tiennent la tranchée tandis que nous parviennent de loin les premiers éclats de voix des importants qui paniquent. Ce matin encore je recollais les panneaux officiels arrachés par les Sarko à Antibes . Des copains appellent .Tous oublient tout de ce qui est en travers de leur gorge pour donner le meilleur de leur combativité quand ils sentent que c'est le moment où chaque courage compte. Pour nous, a l'ancienne, le résultat se lira comme un rapport de force. Chaque voix gagnée est précieuse pour la suite quelle qu'elle soit. Si nous gagnons c'est le différentiel qui fera notre marge d'action au pouvoir. Si nous perdons le différentiel aussi trace la limite des audaces de l'adversaire. Nous sommes des militants et des des citoyens politiquement éduqués. On ne nous la fait pas. J'aurais aimé qu'on explique ça avant a tous ceux qui confondent une éléction avec un match de foot.

    Maudits panzer-sondages!

    Nous recevons un message signé Ségolène qui nous dit qu'ils sont truqués.

    Tant mieux.

    On va gagner......

  • LE FOND DU DEBAT

    Je ne résiste pas à l'envie de vous proposer  un papier paru dans Libération du vendredi 4  qui résume avec talent ce dont je suis persuadé depuis de très longues semaines et même de longs mois. Cette campagne n'aura pas été politique mais très largement influencée par le système médiatico-économique. Dimanche soir on sablera le champagne dans bien des lieux du pouvoir jusque là éloignés de la vie électorale.
    Cette analyse de Schneidermann très différente des autres mérite d'être lue par le maximum de personnes car elle met en évidence la réalité du fonctionnement de notre société réputée démocratique.
    LE FOND DU DEBAT
    Enfin ! Enfin eux deux, seuls face à face, avec deux chronomètres, et deux arbitres potiches. Eux seuls, sans la gangue de sondages, d'éditoriaux, de bandes-annonces, de seconds couteaux, d'invectives, de sarcasmes, de manipulations, de déformations, d'effroi, de rumeurs, qui obscurcissent l'atmosphère depuis le début. Cette fois, c'est fait. Tous les PPDA, tous les Chabot, Boyon, Lagardère, Bouygues, Sylvestre, tous les Sofres-Ipsos-Ifop-BVA-CSA ne pourront plus empêcher que la France entière les voie, ces deux-là, au fond des yeux, pendant plus de deux heures d'horloge.
    Elle joue l'attaque : elle n'a pas le choix. Il se défend : surtout, ne pas s'énerver. Elle attaque bien, mais il défend efficacement. Il est meilleur, plus clair, plus convaincant, dans les longs monologues de fond de court, les développements, les plaidoyers. Elle y apparaît plus filandreuse. Mais à chaque montée au filet ­ et elle les multiplie, face à un adversaire alors paralysé par le risque de la faute ­, elle le hache menu, et marque le point. Offensives, retraites : que retiendra l'électorat, en ses mystérieuses profondeurs, de la musique de ce spectacle-là ? De ce débat, que restera-t-il ? Sa "saine colère" à elle, peut-être, sur le sujet inattendu de l'accueil des enfants handicapés à l'école, qui prend l'adversaire à contre-pied. C'est l'extrait qui nourrit les gloses du lendemain matin, que rediffuse en boucle la télé, que place à sa une l'édition en ligne du Figaro.
    Et un mystère, aussi, sans doute : ces regards, qu'il ne cesse de lancer aux deux arbitres. On dirait presque qu'il souhaite débattre avec eux, et seulement avec eux. N'est-ce pas, " Mdame Chabot " ? N'est-ce pas, " Msieur Poivre d'Arvor " ? Comme s'il était en train de se tromper d'émission. Comme s'il pensait se trouver à un entraînement avec les sparring-partners habituels. Mais Chabot et Poivre ne sont d'aucun secours. Ils n'existent plus dans le débat que par ces regards-là. Dès les premières secondes, ils ont perdu pied. Ils avaient dessiné un beau cadre, pour un beau débat bien ordonné, en plusieurs parties. Elle l'a fait voler en éclats dès le début, en piétinant les plates-bandes, mélangeant tout, convoquant d'emblée la policière violée de Bobigny, pour le mettre hors de lui d'entrée, le pousser à la faute sur le terrain de la sécurité. Tant pis, tant mieux. Le voilà dès lors obligé, en permanence, de galoper d'un coin à l'autre du terrain. Et on dirait qu'il les prend à témoin, les arbitres, les copains, les partenaires habituels. Eh ! Camarades ! Vous ne voyez pas que ça part dans tous les sens ? Vous ne voudriez pas faire quelque chose pour moi ? On aurait presque envie de le recadrer : mais enfin, aujourd'hui, ils n'ont pas le droit Nicolas ! Ils n'ont pas le droit de chuchoter avec toi. Ils n'ont pas le droit de recueillir tes confidences. Aujourd'hui Nicolas, il faut faire semblant de ne plus les connaître. Tu es dans la cour des grands, Nicolas. Tout seul face à elle, la martienne, l'imprévisible. Tu vas sûrement y arriver, depuis le temps que tu t'y prépares.
    Et derrière l'épaule de Chabot et PPDA, c'est toute la grande armée médiatique que semblent aller chercher, en filigrane, les regards du candidat. Ah ! le beau rêve ! Les voyez-vous, les hussards, les dragons, la garde ! Quelle belle armée, qui lui fit une si jolie campagne. Ah ! les croissants avec Elkabbach et Lagardère, entre hommes, entre amis, entre frères d'armes, après l'interview du matin sur Europe 1. Ah ! les consensus réconfortants d'après interview sur la nullitude de la concurrente. Ah ! la bienveillante neutralité du Monde tout au long de la campagne, son indulgente surdité après les dérapages sur le ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale, sur la génétique, ou sur l'Allemagne. Ah ! la tendresse complice de l'ami Giesbert, les belles photos songeuses en couverture du Point, et ces graves questions au dos des kiosques : "Peut-il perdre ?" Ah ! la vigilance sourcilleuse des gardiens du CSA, qui savent toujours si bien comprendre sans qu'il soit besoin de rien leur demander. Ah ! l'immense armée des humbles de la presse, des circonvenus à coups de tutoiement, d'embrassades, de confidences, d'attentions. Ah ! les complicités du matin, au départ de l'avion ou de l'autocar. Ah ! les attentes partagées, les fous rires.
    Bien sûr, aussi, les coups, la dureté du combat. Ce directeur de Match, à qui il fallut bien faire payer l'affront d'avoir publié une photo sacrilège. Les mouches de Plantu, jusqu'alors réservées à Le Pen. La cruauté quotidienne des Guignols de Canal +. Les mesquines investigations immobilières du Canard enchaîné, heureusement promptement étouffées par le reste de la presse. Les portraits chargés de Marianne, heureusement désamorcés par leur excès. Les escarmouches avec Demorand, le matin, sur France Inter, heureusement apaisées après le round d'observation. Les coups de fil à Edouard de Rothschild, qui se retrouvent sur Internet. Et Internet, justement, espace incontrôlable, anonyme, espace de tous les traquenards, heureusement incapable de se hausser (mais pour combien de temps ?) jusqu'à l'audience des "grands médias".
    Voilà, peut-être, à qui s'adressaient les mystérieux regards de Nicolas Sarkozy, pendant que son adversaire, elle, ne le lâchait pas des yeux. Et maintenant que roulent les dés...
    Daniel SCHNEIDERMAN

  • CA COMMENCE!

    LA LIBERTE D'EXPRESSION EN DANGER

     Pas encore élu le nain de met la machine est en marche... après les chaines nationales notemment TF1, sous contrôle du pouvoir, voila qu'internet est touché...

    Une video défavorable a nicolas Sarkozy circulait sur internet... Quelle surprise... elle a disparue !

    Constatez par vous même !

    http://www.dailymotion.com/tonnerre2brest/video/x1llel_sa...

     

    Ce document n'est pas le seul.... Sur d'autres sites, d'autres pages sont introuvables exemple :

    - Ce document était en lien avec le livre "Rupture" de S portelli dont je parle sur la note "Le livre interdit de sortie avant élection" qui parle des vrais chiffres de la délinquance http://www.404brain.info/NEWExpression/ExpressionEnginePB...

     

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  • LA 205 A BERNADETTE

    La 205 de Jacques Chirac

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    Jacques Chirac a fait sa déclaration de patrimoine, comme la loi l’exige du président sortant.

    Il possède une 205 Peugeot année 1984 et quelques bricoles.

    En tout il a déclaré 1,4 millions d’euros. Cinq ans plus tôt, il déclarait 1,7 millions d’euros.

    Comme l’indique un député socialiste de mauvaise foi, Chirac a eu pendant cinq ans un revenu de 20 000 euros par mois, et a été totalement pris en charge par l’Etat. Et pourtant, les faits sont là : il s’est appauvri.

    La preuve, en quittant l’Elysée Jacques Chirac devra loger chez un ami. Les enfants de Rafic Hariri, l’ami assassiné en 2005, vont l’héberger (gracieusement, on s’en doute). Donc, si vous voyez un vieux monsieur qui sort d’une vieille 205 rouge avec une vieille dame au volant, aux alentours du quai Voltaire, ne soyez pas trop dur, donnez-lui quelques pièces jaunes.

  • POLITIS

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  • AFFICHE

    Affichistes

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