Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • GRIPPE A:LES SOLDES

    Vendredi 8 janvier 2010 5 08 /01 /2010 11:44

    RB_GB2


    Selon Gérard BAPT médecin, député PS et RUE89,  il n'y a pas de clauses de rupture de contrat avec les laboratoires concernant l'annulation par Roselyne BACHELOT de l'achat de 50 millions de doses de vaccins H1N1 !


    Comme le signale déjà mon ami RIMBUS, il existe un scandale sur le TAMIFLU ...
    en rajoutant les milliards de masques en souffrance dans les entrepôts , nous obtenons la recette d'une catastrophe financière à l'échelle d'un pays !


    Pourquoi c'est une catastrophe financière ?


    Pour le moment, l'ensemble des opérations devraient couter plus de deux milliards d'euros !


    C'est plus que le montant cumulé des pseudo déficits des hôpitaux publics Français
    !

    En tant que citoyen responsable on ne peut qu'être très en colère contre les priorités financières de nicolas sarkozy et de Roselyne BACHELOT !

    Nous pouvons donc affirmer que la santé en France ne manque pas d'argent , ni de budget et que cette politique n'est qu'une question de priorité et d'intérêts particuliers à choyés au détriment de l'intérêt général ... Combien de temps allons-nous supporter ça ?


    ""Le principe de précaution a été poussé à l'extrême stupidité" affirme le député UMP Bernard Debré, qui estime à près de 2 milliards les dépenses pour la grippe A : la France a acheté 1/3 des réserves mondiales de Tamiflu dont la date de péremption est fixée en avril 2010."

    La source ici




  • GREVE A LA POSTE THIERS A NICE

    nm-photo-280516.jpg

    Après dix-sept jours de grève d'une partie des facteurs, le conflit de la poste Nice-Thiers - qui dessert le secteur 06 000 - a donc fait hier matin une entrée fracassante dans l'enceinte du Palais de Justice : ce dernier était placé sous haute protection policière afin de parer à d'éventuels débordements de la part de la soixantaine de préposés ayant assisté à l'examen des deux référés déposés par les syndicats et la direction. Pour autant, tout s'est déroulé dans le calme.

    Le premier référé, déposé par la CFDT, la CGT et SUD, devrait logiquement permettre à la juge Bernadette Rivière-Caston, vice-présidente du TGI, de dire qui, de La Poste ou des grévistes, a raison. Sachant que le conflit, déclenché le 22 décembre, porte sur la réorganisation des tournées, connue sous le nom de « facteurs d'avenir ».

    Pour le conseil de l'intersyndicale, Me Charles Ciccolini, « La Poste a dénoncé le précédent accord, du 16 août 2006, sans convoquer les syndicats à une négociation dans les trois mois qui ont suivi cette dénonciation, le 11 septembre 2008 ». L'avocat s'étonne même : « L'invitation de La Poste à la discussion est du 4 septembre 2009 », soit deux mois et demi avant l'entrée en vigueur de « facteurs d'avenir », ce fameux 22 décembre. Et de conclure : « L'employeur n'a jamais voulu mettre en place de négociations ! »

    Accrochage entre la juge et l'avocat de La Poste

    La situation ainsi dénoncée étonne la juge : « Pourtant, la situation est bloquée aujourd'hui. La solution, quelle est-elle ? » demande-t-elle aux deux parties. Seul, Christian Artins, de la CFDT, s'avance : « Nous, la négociation, on l'attend depuis trois semaines... » Et Mme Rivière-Caston de rétorquer, tout sourire : « Tout peut changer, on est en 2010... »

    Pour la direction de La Poste, Me Alexis Mancilla bouillonne : « Nous n'avons pas ici à discuter du fond du dossier, vous n'aurez rien de moi ! » On frise l'incident : « Modérez vos propos, Maître, c'est moi qui ai posé des questions ! » tranche le magistrat. Le conseil de La Poste répond alors à son adversaire : « La convocation des syndicats à une nouvelle négociation se fait à la demande de l'une des parties. Or, les syndicats ne l'ont jamais demandée officiellement. De même, ils auraient pu saisir le juge des référés... Mais depuis le début, ils font la politique de la chaise vide ! »

    Jugement mardi 12 janvier
    . En attendant, la grève et les négociations se poursuivent.
    Francis Lumineau

  • MALADES,COUPABLES

    2010, comme 2009 avec les franchises médicales, est encore une bien mauvaise année pour celles et ceux qui sont gravement malades. En effet, cette année, le forfait hospitalier augmente de 2 euros à 18€ par jour.

    Quant au taux de remboursement des médicaments, il passera de 35 à 15% pour 110 médicaments en 2010 !

    Pour mémoire, les malades doivent déjà payer 1€ par acte médical, 50 centimes par boite de médicament et pour les actes para médicaux, 18€ de franchises sur les actes médicaux de plus de 91€ et enfin 2€ pour les transports sanitaires. Tout cela s’est fait ces dernières années…

    10 millions de Français vivent avec des pathologies de longue durée qui les obligent souvent à arrêter toute activité professionnelle. Et pourtant, malgré leur baisse de revenus, ils ne sont pas exonérés de toutes ces franchises ou déremboursements.

    Demain, cela peut être l’un d’entre vous.

    Notre système de solidarité ne joue plus son rôle : soutenir par la solidarité ceux qui sont les plus malades et les plus démunis. A quand une réaction des Français ? Les malades ne sont pas coupables. Battons-nous enfin contre les maladies !

  • MANU SOLO EST PARTI AILLEURS

    Travail famille Sarkosy
    C'est la compassion pour les nantis
    Mais si t'as rien à offrir
    Prépare toi à souffrir
    Au rendez-vous du MEDEF au fond d'un trou
    Il a des planches et même des clous
    T'as intérêt à tenir debout
    Car si demain tu sers à rien
    On va te j'ter comme un chien
    Pour qu' tu puisses une fois dans la rue
    Épouvantail aux mains tendues
    Effrayer le salarié
    Fermer ta gueule et pas bouger

  • NICE:LE LUXE LA DOUCEUR DE VIVRE

     

    2007_06_29_012c.jpg 

    Depuis des mois, malgré nos multiples démarches, des demandeurs d’asile dorment dans la rue et dans des parkings – Il fait froid, il pleut, ils sont sous-alimentés. L’ouverture (tardive et difficile d’accès) de quelques lits de camp ne résout rien.

     

    Ceci est un  cri de citoyen-nes

    ne supportant plus que des êtres humains

    soient traités avec autant de mépris :

     

    Cela fait des mois et des mois que nous ne cessons d'alerter, dans un silence assourdissant, les pouvoirs publics sur le sort réservé aux 150 demandeurs d'asile sans hébergement à Nice. (Il faut savoir que la loi prévoit que tout demandeur d’asile politique soit hébergé le temps de l’instruction de son dossier. Loi que la France respecte bien peu).

    Nous ne reviendrons pas ici sur les promesses non tenues depuis des mois et sur les espoirs déçus.
    Mais nous ne resterons pas inertes devant cette non-assistance à personne en danger.

    Nous avons décidé de nous inviter ce jeudi soir 7 janvier, à 20h30 à une rencontre dans le froid glacial du parking du Paillon entre les dizaines de personnes qui y dorment et Monsieur le Sous-Préfet FASILLE.
    Celui-ci était accompagné de Madame la directrice de la DDASS et des dirigeants du Secours Catholique qui ont reçu, il y a un mois déjà, une subvention de 30000€ destinée à la mise à l'abri de ces réfugiés épuisés.

     

    Savez-vous que ces jeunes gens  frigorifiés, désespérés, se sont excusés auprès du sous-préfet de le recevoir sans pouvoir lui offrir à boire !!!

    (Lui, n’avait sans doute pas eu le temps de penser à apporter un thermos de thé…manque d’habitude…)

    Pendant ce temps, la police jetait les matelas du haut de l’esplanade du Paillon…


    Le représentant de l'Etat a annoncé en anglais qu'il allait tenter de leur fournir "a room to sleep" et leur a demandé de patienter encore. L'échange fut franc mais courtois et on s'est quitté avec le sentiment que les choses allaient peut-être avancer. Mais, pour l'heure, le Sous-Préfet leur a simplement souhaité bonne année et bonne nuit, les laissant dormir dans ce parking froid et hostile.

    Nos amis Erythréens, Soudanais, Somaliens qui ont fui la mort et la guerre allaient retourner à leurs duvets humides.

    Un monsieur soudanais malade, arrivé du Darfour, très dignement nous a exprimé sa détresse : «Dans mon pays il y a plein d’organisations humanitaires françaises pour nous aider et quand nous arrivons ici il n’y a plus personne pour nous aider. Je ne comprends pas…».

    Teresa, Radija, Bernard, Michel, et Guy présents à cette rencontre

    Et celles et ceux qui les ont rejoints en apportant un peu de réconfort mais surtout leur détermination à les soutenir dans leurs demandes dignes et justes.

     

    Si vous souhaiter aider, appelez nous au 06 68 59 81 59 ou 06 03 51 28 32

     

    AGIR ! VITE !

     

    Nous vous demandons, d’envoyer à la Préfecture, des séries de mails, plusieurs fois, tout au long de ce WE

    Et, dès lundi, séries de fax  et coups de fil toute la journée (demander M. le Préfet ou chef de cabinet  ou sous-préfet Fasille

    et argumentez le plus longtemps possible avec les secrétaires, de façon courtoise mais ferme). Occupez les lignes !

    Demandez à vos organisations d’en faire autant.

    ci-dessous : adresses et modèle de lettre dont vous pouvez vous inspirer. 

    Préfecture des Alpes-Maritimes :
    tel :
    04 93 72 20 00 / 04 93 72 22 01    / 04 93 72 22 02  / 04 93 72 24 01

    fax : 04 93 72 22 99   /   04 93 72 24 53  / 04 93 71 89 20  / 

     

    - Quand on n’a pas de fax : http://www.alliancemca.net/faxgratuit.html

    Un code vous sera envoyé par retour et vous pourrez faxer gratuitement par Internet. Ci-dessous : adresses à copier-coller directement dans la bande-adresses

    (attention ! n’envoyez pas toute cette page !! seulement votre lettre perso en effaçant les traces de ceux qui vous l’ont transmise). courrier@alpes-maritimes.pref.gouv.fr pftcabinet@alpes-maritimes.pref.gouv.fr  ; webmaster@alpes-maritimes.pref.gouv.fr  ; francis.lamy@alpes-maritimes.pref.gouv.fr  ; christophe.fasille@alpes-maritimes.pref.gouv.fr  ;

    Monsieur le Préfet,

    Je tiens à exercer mes droits et devoirs de citoyen-ne en vous faisant part de mon indignation devant la situation inhumaine dans laquelle les pouvoirs publics maintiennent, au mépris de la loi française et de la Déclaration des Droits de l’Homme, de nombreux demandeurs d’asile qui ont fui la guerre, les représailles, la famine (au moins 150, venant d’Erythrée, du Soudan, de Somalie, …).

    Les associations vous alertent depuis des mois. Les réponses des services de l’Etat sont très tardives, insuffisantes, inadaptées, peu instruites.

    Vous ne pouvez vous décharger de vos responsabilités sur des associations en leur octroyant des moyens dérisoires et en laissant assumer à des bénévoles de bonne volonté un quotidien d’une lourdeur que vous ne paraissez pas évaluer à sa juste mesure.

    Ces personnes sont épuisées, frigorifiées, désespérées, sous alimentées et gardent cependant une grande dignité, un immense espoir et une confiance dans les valeurs proclamées par la France. Attendrons-nous qu’il y ait un mort pour verser des larmes de crocodile ?

    Je vous demande de réagir de toute urgence en hébergeant immédiatement toutes ces personnes, 24h/24,  dans des locaux convenables et en leur donnant les moyens d’organiser leurs démarches dans des conditions correctes et paisibles. Des locaux appartenant à l’Etat, à des collectivités locales, à des institutions sont inoccupés depuis des années ; vous avez le pouvoir de les réquisitionner sans délais.

    Je vous prie de croire, Monsieur le Préfet, à ma détermination citoyenne.

     

    Signature :

     

    « L’ inhumanité infligée à l’autre

    détruit l’humanité en moi »

    KANT

     

  • TOUS MES VOEUX

    Voeux section PS 7022010 019.jpgVendredi j’ai participé à trois cérémonies de vœux,professionnels ou militants .Longtemps j’ai pratiqué la résistance passive à propos des vœux, fêtes et réjouissances à mesure que leur caractère obligatoire et convenu s’imposait à mon esprit. J’avais accompli des avancées considérables dans cette voie jusqu’à ce que  mes responsabilités politiques locales se soient affirmées .

     Comme militant je m’en tenais au strict minimum.

     J’étais encouragé dans ma prise de distance par le révulsif radical que représente au sortir des fêtes l’ingestion d’une dose aussi obscène de coupes et verres de l’amitié où mousseux approximatifs et pétillants divers mitraillent ce qu’il nous reste de tapis gastrique pendant que les petits fours de circonstance, auxquels on ne résiste jamais aussi bien qu’on le croyait, dévastent la vésicule biliaire.

    Encore ne dis-je rien des cacahouètes et chips encore plus accablantes pour la surcharge pondérale. Surtout que je connaissais bien la suite du programme !

    En effet, après ces guet-apens vient aussitôt la coutume du gavage, non moins imposé, connue sous le nom de galette des rois. Il s’agit d’un usage anti républicain où la pâte d’amande livre l’offensive finale contre le foie des plus aguerris. Devenu, cumulard associatif, l’horreur de ma condition contrainte en période de voeux et galettes, me conduisit à l’établissement de parcours modestes, strictement sélectionnés et âprement limités

    . Autour de moi, pendant ce temps là, des collègues plus résistants ou mieux entrainés battent des records. Deux ou trois séances de vœux par soirée, autant de coupes et petits fours, chaque soir de la semaine, pendant quinze jours. La plupart d’entre eux tiennent à ces occasions des discours plein de compassion pour les plus malheureux de nos compatriotes. J’atteste qu’ils sont sincères. Par conséquent, depuis plusieurs années déjà, ils vivent de plus en plus mal ces scènes quand croupissent parfois jusque devant la porte : mendiants, sdf et affamés.

    Je n’aime pas les vœux. Surtout depuis que j’avance en âge. Car je déteste qu’on me dise sans trêve et qu’on m’écrive sans relâche toutes ces choses à propos de l’état de ma santé l’année prochaine. C’est vrai quoi à la fin ! Qu’est ce que ça veut dire ? J’ai une drôle de tête, ou quoi ? Ce genre de vœux peut porter la schcoumoune, comme on dit de l’autre côté de la méditerranée ! Bien sûr, je comprends que c’est fait sans malice et le plus souvent du fond du cœur quand il s'agit de personnes privées qui m'écrivent. Je le sais bien. D’ailleurs je leur souhaite mes meilleurs vœux dans le même état d’esprit. Et surtout la santé! Pas vrai ? Car pour tout le reste, et surtout pour vous dire ce que je souhaite pour la grandeur de notre pays comme pour le bonheur de ceux qui font tout ce qu’ils peuvent  pour y vivre dignement, j’y consacre toute mon année. Et ça ne va pas s’arrêter en 2010. Si j’ai la santé

  • C'ETAIT FRANCOIS MITTERRAND

    MERCI POUR CE QUE VOUS NOUS AVEZ APPORTE ET LAISSE COMME HERITAGE

     

    François Mitterrand est né à Jarnac le 26 octobre 1916.

    Portrait Elysée

    Il achevait ses études à Paris lorsqu’il fut mobilisé en septembre 1939 ; trois fois cité, blessé, fait prisonnier, il parvint à s’évader en décembre 1941 lors de son transfert dans un camp de représailles. De retour en France, il ne tarda pas à rejoindre les rangs de la Résistance et passa dans la clandestinité en 1943 : sa carrière politique procède directement de cet engagement.

    Fédérateur et chef de l’ensemble des mouvements de résistance des prisonniers de guerre, il fut appelé, en août 1944, à participer à l’éphémère « gouvernement des secrétaires généraux » à qui le général de Gaulle avait confié la responsabilité du territoire national jusqu’à l’installation du gouvernement provisoire à Paris.

    Elu député de la Nièvre en novembre 1946, il assuma des responsabilités ministérielles tout au long des dix premières années de la IVème République. Ministre de la France d’outre-mer et partisan résolu de la décolonisation, il mit fin aux tensions qui menaçaient la cohésion de plusieurs territoires et noua, avec les leaders africains, des relations personnelles et durables. Démissionnaire en 1953, à la suite de la déposition du sultan du Maroc, il réintégra le gouvernement l’année suivante et fut ministre de l’intérieur dans le cabinet Mendès-France (1954-1955), puis garde des sceaux dans le cabinet Guy Mollet (1956) : ce furent ses dernières fonctions ministérielles ; il refusa celles qu’on lui offrait dans les derniers cabinets de la IVème République, dont il désapprouvait la politique algérienne.

    En 1958, François Mitterrand dénonça le ’coup d’Etat’ qui avait porté le général de Gaulle au pouvoir et prit position contre les institutions de la Vème République. Il y perdit son siège de député, qu’il retrouva dès 1962 après un bref passage au Sénat. Elu maire de Château-Chinon en 1959 et président du conseil général de la Nièvre en 1964, il attendit, dans sa retraite du Morvan, l’occasion de revenir sur la scène nationale. La révision de 1962, qui institue l’élection du Président de la République au suffrage universel, le trouva prêt à relever le défi. Candidat unique de la gauche à l’élection présidentielle de 1965, il mit le général de Gaulle en ballottage et recueillit près de 45% des suffrages au second tour.

    Après le désastre subi par les formations de gauche lors de l’élection présidentielle de 1969, qu’elles avaient cru pouvoir aborder en ordre dispersé, et la rénovation du parti socialiste au congrès d’Epinay (1971), François Mitterrand s’imposa définitivement comme le candidat de la gauche unie. Il manqua de peu l’élection de 1974, mais fut élu Président de la République en 1981 et facilement réélu en 1988.

    Ses deux septennats furent marqués par un ensemble de mesures sociales qu’attendait le monde du travail et que François Mitterrand défendit pied à pied lors des périodes de cohabitation (1986-1988 et 1993-1995), par l’extension et le renforcement des libertés locales et de la liberté d’expression, par la modernisation du code pénal, l’abolition de la peine de mort, etc.

    Il assura le bon fonctionnement des institutions par un respect scrupuleux de la séparation des pouvoirs et par une pratique exemplaire de l’alternance et de la cohabitation. Il a veillé à la présence de la France dans le règlement des grands problèmes internationaux. Sans jamais transiger avec le droit des peuples à disposer d’eux mêmes, il n’a pas ménagé ses efforts pour préserver la paix en Europe et dans le monde ; il a fait ce qui dépendait de lui pour promouvoir la solution négociée des conflits. Partisan résolu de la construction européenne, il s’y est employé sans répit et l’a poursuivie dans la clarté (loi constitutionnelle du 25 juin 1992).

    François Mitterrand fut aussi l’un des meilleurs écrivains politiques de ce temps. Enfin, les ’grands projets’ dont il a eu l’initiative et qu’il a menés à leur terme ont laissé à la France des monuments que nul ne songe plus à contester : l’Arche de la Défense, le Grand Louvre, la Bibliothèque nationale qui porte son nom, et bien d’autres encore.

    Il est mort à Paris le 8 janvier 1996.

     

    Source institut François Mitterrand

     

  • ANTIBES TRANSCAFE

    ANTIBES  – TRANSARTCAFE

     

    Du 15 janvier au 20 février 2010, le TransArtcafé reçoit 9 artistes, peintres, plasticiens, graveurs, pour une "Remise en question" originale. Savitch, Champollion, Viennois, Joyard, Lavigne, Claverie, Voilley, Draussin et Hymen vous attendent pour le vernissage qui aura lieu le vendredi 15 janvier à partir de 19h.

    carton d-invitation.jpg

    Exposition ouverte du mercredi au samedi, de 10h à 12h30 et de 15h à 19h.

    Transartcafé 6 rue du docteur Rostan 06600 Antibes (vieille ville) 04 93 34 29 76