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  • SARKO:2-IRLANDE:0

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    SANS LES MAINS ( à l'irlandaise) ....ce beau dessin humoristique est paru dans Sine hebdo pour honorer l'arrivée du beaujolais nouveau !!! Il résume bien la situation imposée pour la seconde fois aux irlandais : on leur a volé leur NON au référendum sur le projet de constitution européenne en les faisant revoter ...et on leur vole leur participation à la coupe du monde de football en marquant un but de la main !
    SARKOZY 2, IRLANDE 0 ...

  • ON NE NOUS DIT PAS TOUT !

    Pendant que l'on pleure sur les accidentés,
    La société gérante des radars pleure sur son manque à gagner.

    Il y a quelques jours, est passée, sur France 2, une petite info qui fait réfléchir. 
    Sur un ton humoristique le reportage montrait un radar automatique, quelque part du côté de Clermont-Ferrand, qui avait été hors service pendant 3 semaines 
    Pourquoi ? 
    Parce qu'EDF avait coupé le courant 
    pour facture impayée ! 
    Drôle, non .
    Mais ce n'est pas tout le vraiment intéressant est ailleurs. 
    En effet, le journaliste nous expliqua que la société qui gère ce radar n'avait pas payé en temps sa facture d'électricité. 
    La société qui gère le radar ??? Quoi ??  
    Une société privée gère le radar ? 
    Je croyais que les radars dépendaient de l'état. Mais alors si on réfléchit, cela veut dire qu'au passage il y a des gens qui se sucrent sur les infractions des automobilistes, et que l'argent des amendes loin d'aller entièrement dans les caisses de l'état (ce qui serait un moindre mal) va en partie dans des poches privées !!  
    Et on peut supposer (car aucune entreprise privée n'est une œuvre philanthropique) que ces entreprises sont intéressées proportionnellement à la rentabilité des radars. 
    La spéculation sur la sécurité routière, voilà la dernière trouvaille... 
    On ne nous avait pas dit ça quand le gouvernement a lancé sa campagne. Il n'y a pas que la sécurité routière dans l'histoire, mais aussi (et surtout ?)... une affaire de profit !! 
    Et, bien sûr, pour couronner le tout, 
    le PDG de cette entreprise 
    n'est autre que 
    le frère du ministre Gilles de Robien ! 

    Si cette petite info vous choque 
    autant que moi,  faites la circuler
    ça mérite d'être connu ! 

  • ISF / SDF:POUR UNE JUSTICE SOCIALE

    J'ai superposé deux articles parus dans Nice-Matin d'hier et aujourd'hui:

    nm-photo-273851.jpeg18926 foyers azuréens payent l'impoit sur la fortune

     

    Le département des Alpes Maritimes est l'un des plus assujettis à une contribution dont la suppression est régulièrement annoncée.

    C'est le prélèvement imposé par l'État le plus symbolique et le plus controversé. Il est particulièrement contesté dans les Alpes-Maritimes, département globalement riche où le nombre d'assujettis à l'impôt sur la fortune figure parmi les plus élevés de France.

    Au nom de la justice fiscale entre les citoyens, l'ISF est fermement défendu par les élus de gauche. À l'inverse, il est activement combattu par une partie de la droite qui le juge archaïque et responsable de la fuite de capitaux à l'étranger. Laurence Parisot, la patronne des patrons, n'hésitant pas à le qualifier de « catastrophe économique ».

    Deux fois plus de contribuables

    Créé en 1982 par le gouvernement de Pierre Mauroy, l'ISF (alors appelé Impôt sur les grandes fortunes) fut supprimé cinq ans plus tard par Jacques Chirac. Rétabli en 1989 à la suite d'un nouveau renversement de majorité, l'ISF se maintient, depuis, contre vents et marées. Abandonné par l'ensemble de nos partenaires européens, il ne subsiste guère qu'en Suisse, sous la forme d'un impôt sur le capital. En France, ses jours sont-ils comptés ?

    Rappelons que sont concernés les foyers fiscaux (célibataires avec éventuellement des enfants, mineurs ou non, couples mariés, pacsés ou vivant en concubinage notoire) disposant d'un patrimoine dépassant 790 000 euros. Avec la flambée de l'immobilier azuréen, le nombre de foyers atteignant ce plancher a quasiment doublé en six ans, passant de 11 500 en 2002 à 18 926 au 31 décembre 2008 (sur un total de 671 000). Pour une recette l'an dernier de 136 millions d'euros. En 2009, une baisse de rendement est attendue, qui liée à la crise mondiale devrait atteindre 6 %.

    Monaco, Cannes et Nice en tête

    En nombre d'assujettis, la grande ville du département, Nice, occupe logiquement la première place (avec 5 119 foyers). En terme d'impôt moyen, Monaco - s'agissant uniquement des Français résidant en Principauté - caracole sans surprise en tête (13 576 euros par foyer), loin devant Cannes (7 775 euros). Et les îlots de richesse, tels Beaulieu et Saint-Jean-Cap-Ferrat ? Impossible d'en savoir davantage, l'administration publiant des statistiques sur les seules communes de plus de 20 000 habitants.

    L'ISF, on s'en doute, est rarement bien accepté. « Les gens, confirme Patrick André, de la Direction départementale des finances publiques, ont tendance à sous-estimer la valeur de leurs biens ». En 2008 dans les A.-M., 3 122 relances ont été effectuées par les services fiscaux. Un tiers a débouché sur des redressements d'un montant de 7,4 millions d'euros.

    En janvier 2007, Nicolas Sarkozy avait affirmé qu'il n'y aurait pas de suppression de l'ISF s'il devenait président de la République. Une fois élu, il a tenu parole. Mais ne sera-t-il pas tenté, sous la pression de sa propre majorité, de changer d'orientation ? Selon un article du quotidien Les Échos paru fin octobre 2009, l'ISF pourrait disparaître lors de la sortie de crise.

    (Hier) Antibes

    Ils dorment dans leurs voitures

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    Ils ne sont pas encore SDF. Pas encore... mais pas loin.

    L'administration, qui adore les sigles, les désigne sous le nom de SDS : « sans domicile stable ».La nuance est subtile.Ces personnes ne sont pas à la rue au sens strict du terme. Elles sont hébergées « temporairement » chez des amis, dans la famille, dans des structures d'urgence ou... dans leurs voitures.

    « Ce sont souvent des travailleurs pauvres », explique Daniel Meffret, directeur du Centre communal d'action sociale (CCAS). « Des gens qui ne gagnent pas assez pour se payer un loyer. »

    Combien sont-ils ? Difficile de le savoir. L'association Chrétiens Antibes Solidarité (CAS), implantée depuis vingt ans, évalue leur nombre à « environ une dizaine » sur le bassin antibois.Des passants les signalent régulièrement : sur le parking Laval, au Ponteil, aux Semboules...

    Hommes et femmes. De tous âges.

    « Sur l'échelle des priorités sociales, on considère que les personnes qui dorment dans leur véhicule sont moins mal loties que celles qui n'ont rien » souligne Christian Chauvel, fondateur de CAS. « Mais on sait aussi que les premières rejoignent souvent les secondes. Très souvent... »

    Des structures d'aides, institutionnelles ou associatives, existent . Encore faut-il que les intéressés saisissent ces mains tendues. « Ce sont souvent des personnes en rupture qui ont renoncé à se battre... ou qui n'en ont plus la force » conclut Christian Chauvel. Ce qui ne veut pas dire qu'ils ne méritent pas d'être aidés.

  • SEMAINE DE LA SOLIDARITE

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    Au stade du Fort Carré à Antibes,la Semaine de la Solidarité Internationale a débuté samedi dernier par le traditionnel match de foot opposant l'équipe des SdF aux bénévoles et salariés des associations.La rencontre s'est déroulée dans une excellente ambiance meme si pour certain le souffle était court mais le coeur gros comme ça.La presse locale s'est fendue d'un article à minima(voir çi-dessus).

    Toute cette semaine le Collectif Solidarité Antibes met la fraternité au coeur du débat.Chorale,théatre,cinéma et conférence animeront cette opération qui sera relatée sur le site.

    Enfin samedi,place des Martyrs de la Résistance,les stands des diverses associations participatives et d'autres manifestations seront proposés aux antibois.(voir photos dans la rubrique Album-Photos)     

  • SEMAINE DE LA SOLIDARITE INTERNATIONAL

     50 ans au secours des autres:hommage à Julien Laupretre 

    À 83 ans, Julien Lauprêtre, qui dirige le Secours populaire depuis plus d'un demi-siècle, reste un gavroche révolté et la dernière grande figure de la solidarité en France depuis la disparition de l'abbé Pierre. 

    Fils unique d'un cheminot communiste et syndicaliste, le président du Secours populaire, Julien Lauprêtre, né le 26janvier 1926 à Paris, raconte que «l'injustice» a été le «moteur» de son engagement. À 10 ans, JulienLauprêtre part pour la première fois en colonie de vacances à l'Ile de Ré (Charente-Maritime) où il fait la connaissance de sa future femme, Jeannette, mais aussi d'enfants ayant fui l'Allemagne hitlérienne ou l'Espagne de Franco. «Plus tard, je me suis souvenu de ces gosses-là, notamment quand j'ai créé les journées des oubliés des vacances», explique-t-il, avant le32econgrès du Secours populaire français.

    En prison avec Manouchian

    À 17 ans, avec un père dans la clandestinité, Julien Lauprêtre s'engage aussi dans la Résistance. Fin1943, à Paris, il est «arrêté par des Français», tient-il à rappeler. En prison, il rencontre un homme qui restera un exemple et dont les paroles le hantent toujours: «Petit, moi, je vais être fusillé, toi, tu vas t'en sortir, il faudra que tu continues à lutter contre l'injustice». À sa sortie de prison, l'adolescent réalisera qu'il a côtoyé le grand résistant Missak Manouchian, exécuté avec son groupe, début 1944. «Je ne suis pas un héros mais j'ai vécu avec des héros et je m'en suis sorti», commente-t-il. En 1947, le jeune homme à la solide carrure épouse sa «fiancée du Front populaire» avec laquelle il a quatre enfants. Et en 1955, alors ouvrier miroitier, il accepte de remplacer «pour quelques semaines» le secrétaire général du Secours populaire français, alors souffrant. «À l'époque, ça ressemblait à une punition», s'amuse celui qui préside toujours, cinq décennies plus tard, un mouvement qu'il a façonné. «Le Secours était une des nombreuses coquilles vides que le Parti communiste créait alors». Très vite, avec sa gouaille et sa ténacité de titi parisien, le militant communiste va donner «consistance et indépendance» au Secours populaire en le mettant «au service des plus déshérités», notamment lors de la catastrophe du barrage de Malpasset, près de Fréjus, en 1959. «J'ai toujours pensé qu'il fallait changer la société mais qu'en attendant le grand soir, il fallait aider les gens», explique-t-il. «J'ai tout changé contre l'avis du Parti communiste. S'il n'y avait pas eu cette ligne d'indépendance, il n'y aurait plus de Secours populaire».

    Une admiration pour l'abbé Pierre

    Au cours d'une vie foisonnante, Julien Lauprêtre a rencontré de nombreux dirigeants français et étrangers mais aussi Jean Cocteau, Louis Aragon ou Melina Mercouri. Président d'une association défendant farouchement la laïcité, il avoue «une admiration particulière» pour l'abbé Pierre. À ceux qui lui parlent âge et succession au SPF, qui compte aujourd'hui un million d'adhérents et deux millions de bénéficiaires réguliers, il répond fermement: «Pour l'instant, c'est encore moi qui a le plus d'idées». L'énergique octogénaire est «révolté par le raz-de-marée de misère» que provoque la crise économique actuelle et fourmille d'initiatives notamment en direction des jeunes et des enfants défavorisés. «Rendre les jeunes, acteurs de leur destin», dit-il, «c'est ma manière à moi de changer la société».

  • LA VIVA EN REPRESENTATION A ANTIBES

    Match de foot semaine de la solidarité 044.jpg

    Samedi soir dans le cadre de"La Semaine de la Solidarité International" le collectif Solidariré Antibes avait invité la chorale La Viva qui s'est produit au temple protestant d'Antibes.

    La Viva pour chanter la paix et la liberté:

    Ce ne sont pas des choristes comme les autres qui chantent au sein de la Viva,c'est un choeur d'une soixantaine de femmes et d'hommes tous bénévoles venu du Var et des Alpes Maritimes.Cette association de chanteurs engagés,militants et humanistes,née en 1993 exclusivement pour Amnesty International a pour double vocation de chanter mais surtout d'apporter son soutien solidaire à des causes justes.Elle a ensuite apporté son appui à d'autres associations , des personnes ou des populations en difficulté à travers la production d'oeuvres artistiques.

    Le répertoire de La Viva lui est totalement propre et s'appuie sur des chants inédits .Ainsi les morceaux:"Petit Prince",Libre de vent","Ballade Nord Irlandaise","Tango","Peuple de la terre","Vivre libre" interprétés avec talent sont autant de création exclusives et originales aux titres significatifs et engagés.En outre les paroles de "Laisser passer les sans papiers" ont été adaptées à la musique des"Petits papiers"de Gainsbourg.

    Une de leur chanson se termine par le couplet suivant:

    On reviendra un beau soir,

    Pour le plaisir de se revoir

    Et pour chanter notre espoir.

    Le public composé de gens convaincus et militants ravi du spectacle présenté leur a dit: " Chiche à bientot". 

    Télécharger le titre "laissez passer les sans-papiers" sur le site de RESF l

    La version La Viva

    Laissez passer les Sans-Papiers

    D’après « Les petits papiers » - S. Gainsbourg


    Notre pays papier noirci
    Est un Etat papier visa
    Qui nous déclare papier criard
    Avec fracas

     

    Qu’un étranger papier r’cyclé
    Ça dévalue papier reçu
    Ça coûte cher papier d’affaire
    A la Sécu

     

    Laissez passer les sans-papiers
    Venus d’ailleurs papier couleur
    De leurs pays papiers jaunis
    Pour vivre ici

     

    Monsieur l’préfet papier glacé
    Les a privés papiers froissés
    De vivre ici papiers chéris
    De vivre en paix

     

    C’est un scandale papier journal
    Quand on prépar’ papiers mouchards
    Des expulsions papier torchon
    A coups de bâton

     

    Laissez passer les sans-papiers
    Venus d’ailleurs papier couleur
    Venus de loin papier dessin
    Sur nos chemins

     

    Et nos frontières papiers très chers
    Sont des barrières papier de verre
    On t’pousse dans le dos papier cadeau
    Vers les Ghettos

     

    Et c’est ainsi papiers vernis
    Qu’on leur prépar’ papier mouchoir
    Un long séjour papier velours
    Près de Roissy

     

    Laissez chanter les sans-papiers
    Venus d’ailleurs papier couleur
    Laissez pleurer les sans-papiers
    Papiers sans cœur

  • RETOUR A REIMS

    Après la mort de son père, Didier Eribon retourne à Reims, sa ville natale, et retrouve son milieu d'origine, avec lequel il avait plus ou moins rompu trente ans auparavant. Il décide alors de se plonger dans son passé et de retracer l'histoire de sa famille.Fresque sociale et familiale,

    D'un côté, l'ascension sociale du fils d'ouvrier devenu journaliste, son amitié avec Bourdieu et Foucault, et le passage à l'écriture, d'abord sous forme d'entretiens avec le philologue Georges Dumézil ou l'anthropologue Claude Lévi-Strauss, puis d'essais où il analyse la subjectivité homosexuelle. De l'autre, le parcours de ses parents : autrefois communistes convaincus, ceux-ci ont peu à peu été gagnés par le vote Front national, que sa mère lui avoue avec réticence ; se sentant abandonnés par la gauche, montre-t-il, ces "gens d'en bas" ont dès lors mené une "guerre de classes" non plus pour défendre une identité de groupe, mais simplement pour adresser un coup de semonce à ceux "d'en haut

    «Retour à Reims» est une autoanalyse poussée à l'extrême, qui décrit  la trajectoire du bon élève d'origine populaire, forcé à une «rééducation quasi complète» de lui-même pour entrer dans un autre monde, fasciné par la découverte de la littérature et du marxisme, qui donc en veut à ses parents à la fois de ne pas être cultivés et de ne pas correspondre au prolétaire idéal. Celle aussi du jeune gay tenu de cacher ses désirs dans un milieu aux valeurs traditionnellement viriles et dans une ville de province où l'insulte à l'égard des homos est la règle : «Je suis un fils de l'injure. Un fils de la honte.»...

     ". Je pensais, constate Didier Eribon, "qu'on pouvait vivre sa vie à l'écart de sa famille et s'inventer soi-même en tournant le dos à son passé et à ceux qui l'avait peuplé" :Ce beau récit mêle la réflexion intellectuelle sur l'identité et l'histoire singulière et intime , où l'auteur liquide un temps révolu tout en rendant un discret hommage à ceux dont il avait voulu se détourner, montre qu'un tel choix n'est jamais tout à fait définitif. Peut-être n'y a-t-il pas de véritable retour possible, mais du moins s'attache-t-on "à se réconcilier avec soi-même et avec le monde que l'on a quitté". On sent, derrière chaque anecdote, le poids de la résistance, le besoin de dire enfin qu'«on éprouve dans sa chair l'appartenance de classe lorsqu'on est enfant d'ouvrier», mais également l'envie d'échapper à son destin pour se griser de liberté

     

    Didier Eribon s'interroge sur la multiplicité des formes de la domination et donc de la résistance,et, à défaut d'aimer le défunt, il va tenter de lui rendre justice, en montrant comment «la violence sociale» aura été à l'oeuvre jusque dans leur relation manquée.

    Un trés bon livre

    Didier Eribon est professeur à la faculté de philosophie, sciences humaines et sociales de l'université d'Amiens. Il a également enseigné à l'université de Berkeley (États-Unis). Auteur de nombreux ouvrages, parmi lesquels Réflexions sur la question gay (Fayard, 1999), Une morale du minoritaire (Fayard, 2001), D'une révolution conservatrice et de ses effets sur la gauche française (Léo Scheer, 2007), il a été le lauréat 2008 du prestigieux Brudner Prize, décerné chaque année par l'université Yale; 

  • MARIE N'DIAYE A RAISON

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    (c)Baltel/Sipa
    Marie NDiaye est née à Pithiviers en 1967. Découverte par Jérôme Lindon, elle est l’auteur d’une douzaine de livres, dont «Rosie Carpe», «la Femme changée en bûche», «la Sorcière» ou «Hilda». Elle vit à Berlin, et vient de recevoir le prix Goncourt 2009 pour «Trois femmes puissantes».

    Monsieur Raoult ! On l'avait oublié mais en appelant la romancière Marie NDiaye « au devoir de réserve dû aux lauréats du prix Goncourt », on retrouve ce personnage vulgaire et  opportuniste de droite .

     Député, deux fois ministres (de Jacques Chirac), fait chevalier de la légion d'honneur en 2001 (par Jacques Chirac) et vice-président de l'Assemblée nationale pendant 5 ans (2002-2007) co-signataire d'un amendement visant à rétablir à la peine de mort en 2004 et maire de la première ville à décréter le couvre-feu en 2005 bref, un homme de droite, un vrai un dur un tatoué ,peut etre.

    De cette bonne vieille droite qui veut que l'on se mette au garde à vous quand résonne la Marseillaise,mais pourquoi s'en prendre seulement à la lauréate du prix Goncourt ? Pourquoi ne pas retirer de la circulation les écrits  d'autres poétes et écrivains, Voltaire,Hugo,Zola subvertifs et dangeureux personnages

    Marie NDiaye a bien raison de dénoncer le climat insupportable et détestable qui est en vigueur en France depuis l'election de Sarkozy.La France "pays des droits de l'homme"semble bien fini notre nation est devenue un pays fascisant avec ses relents de vichysmes, de pétainismes et de "maréchal nous voilà" et il ne faudrait pas beaucoup pour que l'on tombe dans une dictature avec cette politique de main mise sur les médias et la justice,"de chasse à l'homme et au faciés"menée aujourd'hui par des zélés personnages proche des thèses de l'extrême-droite que sont éric le monstrueux Besson et son non moins monstrueux prédécesseur Hortefeux.

    Au moment où on privatise La Poste,on veut nationaliser la pensée et supprimer la liberté d'expression.Qu'a été faire Sarko le 9 ou 16 novembre 1989 à Berlin si ce n'est s'inspirer et importer les méthodes des pays totalitaires qu'il dit combattre mais qu'il applique

    Si Marie Ndiaye doit demander au ministre de la Culture ce qu’elle peut dire sans manquer de respect à Nicolas Sarkozy, quelle sera la prochaine provocation destinée à réveiller le ralliement de l’extrême droite à la majorité présidentielle ? Qu’un député prenne une romancière pour un fonctionnaire, est-ce une énormité qui n’engage que son auteur ou bien le énième message d’une campagne orchestrée depuis des semaines, de dérapage sur les « Auvergnats » en appel à la délation, « devoir républicain » [sic] ? Décidément, la quête d’« identité nationale » officielle est sans limites

     Vivement que l'on chasse ces personnages-là du pouvoir .

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • UN PEU D'ANTICOMMUNISME PRIMAIRE

    Brigitte si tu lis mon site:pardon ça ne vaut pas un plat de lentilles!

    Pourquoi l'URSS a-t-elle décidé de ne pas envoyer d'hommes sur la Lune ? De peur qu'ils n'y demandent l'asile politique.
    - Qu'est-ce qui a 70 dents et quatre jambes  ? Un crocodile. Qu'est-ce qui a quatre dents et 70 jambes ? Le comité central du Parti.
    - En RDA, ces Witze (blagues) étaient surnommées « 3-7 » : trois ans de prison pour celui qui les écoute, sept pour celui qui les raconte.
    - Le Festival soviétique des blagues politiques se tient de nouveau cette année. Premier prix : dix ans de vacances d'hiver en Sibérie.
    - Le capitalisme, c'est l'exploitation de l'Homme par l'Homme. Le communisme c'est exactement l'inverse.
    - Trois Soviétiques expliquent comment ils se sont retrouvés au goulag. « J'ai eu cinq minutes de retard au travail, et j'ai été condamné pour sabotage », dit le premier. « Moi, j'ai eu cinq minutes d'avance et j'ai été condamné pour espionnage », dit le second. « Ben moi, je suis arrivé à l'heure et j'ai été condamné pour contrebande de montres occidentales », dit le troisième.
    - Qu'est-ce qui est mieux, l'enfer des communistes ou des capitalistes ? Celui des communistes bien sûr  ! Il y a toujours une pénurie d'allumettes ou d'essence, ou alors c'est la chaudière qui est en panne, et le reste du temps le diable et ses démons sont aux réunions du parti.