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AZURCOM - Page 44

  • STADE DE REIMS : 1 AN DE PLUS

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    FOOTBALL (L1). Grâce à une 10e victoire obtenue hier face à Lorient, le promu Stade de Reims est parvenu à conserver sa place en Ligue 1. Retour sur les faits du match et analyse.

    Ils l'avaient rêvé, ils l'ont fait ! Les Rémois feront toujours partie des vingt clubs de l'élite en août prochain. A l'issue d'une belle partie d'échecs avec un élégant adversaire lorientais, l'équipe d'Hubert Fournier a finalement bien négocié son dernier virage à domicile. Il n'y a pas eu de dérapage, la trajectoire fixée a été respectée.

    Son succès, le 8e à domicile, le 5e sur la plus petite des marges (1-0) cette saison à Delaune, associé à la défaite de Nancy face à Bastia (1-2), lui permet de conserver son rang dans un championnat qu'elle a traversé de façon certes irrégulière, mais globalement réussie. Un bon point pour un promu au budget insignifiant, qui aurait bien pu se retrouver, avant la dernière journée, dans l'inconfortable position de Brest et même de Troyes.

    Il lui reste maintenant à bien exploiter l'expérience accumulée, pour mieux gérer son deuxième exercice dans l'élite.

    x LE CONTEXTE
    Stressant beaucoup, serein un peu. « On sait ce qu'on a à faire », répétait-on dans le camp rémois. Le Stade, sans victoire depuis quatre matches, souffre d'un manque d'efficacité offensive. Sans objectif précis et décimé par les blessures, Lorient - et son jeu ouvert - semblait être l'adversaire adéquat pour une soirée d'adieu.

    x LA STRATEGIE
    Plutôt que son 4-4-2 habituel, le FCL se présentait dans un 4-4-1-1, avec Jouffre en attaquant de soutien derrière Monnet-Paquet. Chez les Rouge et Blanc, De Préville débutait sur la droite, poussant Ayité, titulaire espéré, sur le banc.

    x LA PHYSIONOMIE
    Le Stade voulait démarrer à fond. Objectif atteint. Sous la pression, Lorient reculait et offrait des espaces dans lesquels s'engouffraient Diego et Courtet.
    C'est seulement grâce au brio de leur portier que les Merlus restaient dans un match parfaitement maîtrisé par leurs hôtes. Le penalty transformé par Krychowiak concrétisait cet élan offensif stadiste. Une dynamique qui allait malheureusement être stoppée par la grave blessure (rupture du tendon rotulien) de Diego.
    En lançant Robert et Giuly dès la reprise, Christian Gourcuff précisait son intention de ne pas lâcher l'affaire. D'ailleurs, la seconde période était lorientaise. Les Merlus appuyaient sans cesse sur l'accélérateur à partir d'un vif trio d'attaque et un Corgnet gérant parfaitement le tempo. Ils s'exposaient aussi aux contres rémois, malheureusement mal assurés tant à cause de mauvais choix que de la fatigue.

    x LE TOURNANT
    La sortie de Diego (45e), forcément. Sur le plan sportif, elle a privé l'équipe d'un accélérateur de jeu et de percussion sur le côté gauche. Sur le plan psychologique, elle a complètement inhibé l'équipe. « Les joueurs étaient traumatisés à la mi-temps d'entendre pleurer leur coéquipier dans la pièce d'à-côté », a admis Fournier.

    x LE CHIFFRE : 6
    Comme le nombre de penalties dont ont bénéficié les Rémois cette saison. Avec 50 % de réussite. Ghilas (Sochaux), Courtet (Toulouse) et Diego (Paris) ayant raté leur tentative.

    x PAROLES DE COACHES
    Hubert FOURNIER (Reims) : « Ce n'était pas évident, mais l'essentiel est fait. Nous avons fait le match que nous souhaitions, notamment en première mi-temps où, sans un grand Audard, nous aurions pu faire la différence. C'est quelque chose de grand que nous venons de réaliser. Se maintenir en L1, avec un seul joueur, Devaux, qui évoluait l'an dernier à ce niveau. Bravo aux joueurs qui ont su élever leur niveau de jeu pendant 37 journées. La saison a été difficile, avec beaucoup de tension, mais l'objectif est atteint et c'est le plus important ».
    Christian GOURCUFF (Lorient) : « On ne méritait pas de gagner après notre première mi-temps insipide. Mon équipe était très diminuée, mais ce n'est pas une excuse. En seconde période, nous avons mis plus de rythme, plus d'intensité. Ce qui est dommage, c'est que l'arbitre intervient dans le scénario en accordant un penalty imaginaire à notre adversaire et en oubliant de siffler un en notre faveur. Ça fait beaucoup. »

     

  • LA CHANSON DU JOUR

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    J'ai touché le fond de la piscine
    Dans le petit pull marine
    Tout déchiré aux coudes
    Que j'ai pas voulu recoudre
    Que tu m'avais donné
    Je me sens tellement abandonnée

    Y'a pas qu'au fond de la piscine
    Que mes yeux sont bleu marine
    Tu les avais repérés
    Sans qu'il y ait un regard
    Et t'avais rappliqué
    Maintenant je paie l'effet retard

    Avant de toucher le fond
    Je descend à reculons
    Sans trop savoir ce qui se passait dans le fond

    C'est plein de chlore au fond de la piscine
    J'ai bu la tasse tchin tchin
    Comme c'est pour toi je m'en fous
    Je suis vraiment prête à tout
    Avaler que m'importe
    Si on me retrouve à moitié morte

    Noyée au fond de la piscine
    Personne ne te voyait
    Sous mon petit pull marine
    M'enlacer je t'embrassais
    Jusqu'au point de non-retour
    Plutôt limite de notre amour

    Avant de toucher le fond
    Je descends à reculons
    Sans trop savoir ce qui se passait dans le fond

    Viens vite au fond de la piscine
    Repêcher ta petite sardine
    L'empêcher de se noyer
    Au fond de toi la garder
    Petite soeur traqueuse
    De l'air de ton air amoureuse

    Si nous deux c'est au fond dans la piscine
    La deux des magazines
    Se chargera de notre cas
    Et je n'aurai plus qu'à
    Mettre des verres fumés
    Pour montrer tout ce que je veux cacher

    Retrouve-moi au fond de la piscine
    Avant que ça m'assassine
    De continuer sans toi
    Tu peux compter sur moi
    Je te referai plus le plan de la star
    Qui a toujours ses coups de cafard

    J'ai touché le fond de la piscine
    Dans ton petit pull marine

  • UN PRESIDENT DE COMBAT

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    Conférence de presse du président de la République : un président de combat, à l'offensive pour sortir la France de la crise et préparer l'avenir

    par Harlem Désir, Premier secrétaire du Parti socialiste

     

    Lors de sa conférence de presse, le président de la République vient d’ouvrir une nouvelle phase, d'offensive, pour sortir la France de la crise : offensive en Europe, pour la croissance, avec la proposition de créer un gouvernement économique de la zone euro, offensive pour l’emploi, offensive pour la formation, offensive pour les investissements d’avenir. François Hollande veut redonner à la France confiance en elle-même : la première année du quinquennat était une année de réparation de la France, elle a posé les fondements du changement, la deuxième année sera celle de l’espérance et de la force retrouvées pour notre pays.

    François Hollande a pris la crise à bras le corps. Les Français ont vu un président totalement mobilisé qui prépare la sortie de la crise et dessine la France de l’après crise. Le président de la République est, à la fois, dans le dialogue avec les Français, et dans une volonté inflexible de poursuivre son projet pour préparer la France de demain.

    François Hollande a fait le choix d’inscrire son action dans la durée. Parce que les réformes s’attaquent au fond des problèmes dans un pays éprouvé par la crise et affaibli par dix ans d’une politique de droite à la fois injuste et inefficace, elles ont besoin de temps pour produire tous leurs effets. Mais les fondements d’un retour de la croissance ont été bâtis pendant cette 1ère année avec quatre piliers majeurs : le rétablissement de notre souveraineté budgétaire, le soutien à l’emploi, à l’investissement et l’innovation, à l’école et la formation.

    Les Français ont vu un président qui applique avec fermeté et sérénité son projet pour la France. Nous, socialistes, serons en première ligne pour défendre le président de la République et son action, car nous savons qu’elle est la meilleure pour redresser notre pays au service des Français.

  • DEANTIBULATIONS 2013

    deantibulationVendredi 07 Juin 2013 
    HeureCompagnieSpectacleLieu
    (Toute la journée) Arpette Mazarine  
    10 h 45 Circ Panic L'homme qui perdait des boutons Place De Gaulle
    14 h 00 Circ Panic L'homme qui perdait des boutons Place De Gaulle
    15 h 55 Dromosofista El Cubo libre  
    19 h 45 Las Polis Las Polis  
    20 h 15 Circ Panic L'homme qui perdait des boutons Place De Gaulle
    21 h 15 Ratatouille Théâtre Marcel poudre Ecole Paul Arène
    22 h 30 Collectif Kytash Mumure Tour sarrasine
    Samedi 08 Juin 2013
    HeureCompagnieSpectacleLieu
    (Toute la journée) Fanfare Wonderbrass Fanfare Wonderbrass Ecole Paul Arène
    (Toute la journée) Arpette Mazarine  
    14 h 30 Collectif Kytash Mumure Tour sarrasine
    15 h 00 Akipaya Danza Le Bal des trois p'tites têtes  
    16 h 50 Collectif Kytash Mumure Tour sarrasine
    17 h 10 Las Polis Las Polis Place Mariéjol
    18 h 15 Akipaya Danza Le Bal des trois p'tites têtes  
    18 h 45 Pangaea Master-Class de Percussions Brésiliennes et danse De la rue de la République vers la place De Gaulle
    19 h 30 Circ Panic L'homme qui perdait des boutons Place De Gaulle
    21 h 00 Eklabul Surprises Ecole Paul Arène
    21 h 15 Bam Willygoodwood Ecole Paul Arène
    22 h 00 Les lendemains Les Pépones Espace saint Jaume
    23 h 00 Bakhus A l'ombre de la coré Bastion St Jaume
    23 h 35 Eklabul Surprises Bastion St Jaume
     Dimanche 09 Juin 2013
    HeureCompagnieSpectacleLieu
    (Toute la journée) Arpette Mazarine  
    (Toute la journée) Le Bloco Le Bloco  
    11 h 15 Monkey Style Babylloon Place des martyrs
    14 h 30 Collectif Kytash Mumure Tour sarrasine
    15 h 45 Collectif Kytash Mumure Tour sarrasine
    16 h 20 Bam Willygoodwood Ecole Paul Arène
    16 h 25 Las Polis Las Polis Porte marine
    17 h 30 Carnage production GIGN Place Amiral Barnaud
    17 h 45 Akipaya Danza Le Bal des trois p'tites têtes  
    18 h 00 Monkey Style Babylloon Ecole Paul Arène
    18 h 45 Circopitanga Rêves d'été Place des martyrs
    19 h 45 Collectif Main d’œuvre King Lear– Fragments Place Mariéjol
     
  • A VOS POSTES

  • GOASGEN ETAIT D'ACCORD

     

     
    Claude Goasguen et la mairie du XVIeme avaient donné leur accord pour la fête du PSG.

    La mairie UMP du XVIème arrondissement de Paris, dont le député-maire Claude Goasguen a demandé la démission de Manuel Valls après les violences de lundi au Trocadéro, avait donné un «avis favorable» à la tenue dans son arrondissement de la fête du PSG, a-t-on appris mardi.

    Selon des documents consultés par l'AFP, la mairie avait été consultée le 7 mai, comme il est d'usage, par les services de la préfecture de police de Paris (PP) qui autorise, ou non, ce genre de rassemblement et le prépare en amont. La mairie avait été avisée par la PP des dispositions techniques prévues pour la remise du Trophée de Champion de France de ligue 1 au PSG place du Trocadéro le lundi suivant


     
     
    Etrange pour un personnage qui a commencé la journée en exigeant la démission du ministre .
     
    Pas trés cohérent le maire UMP du XVI ème arrondissement .
     
     
     
     
     
  • HONTE

    Un tweet du député UMP Jean-Sébastien Vialatte faisant un parallèle entre les descendants d'esclaves et les casseurs responsables des violences survenues lundi soir à Paris autour de la fête du PSG a suscité mardi de vives réactions et les regrets du parlementaire.

    "Les casseurs sont sûrement des descendants d'esclaves, ils ont des excuses #Taubira va leur donner une compensation !" avait écrit ce député du Var lundi soir à 22 h 1 sur son compte Twitter avant d'effacer son message.

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    "UNE HONTE"
    Aprés avoir  traité un ministre de salopard , Mélenchon a ouvert la voie à toutes les dérives verbales possibles envers les socialistes .

    Le Parti socialiste a demandé à l'UMP "qu'une sanction sévère soit prononcée" contre le député, en raison des "propos nauséabonds et racistes".

    "Ces dérapages racistes sont une honte pour un député de la République et pour un parti qui se dit républicain comme l'UMP", écrit encore le PS. Dans un communiqué, le parti de la majorité relève aussi un autre tweet rédigé par le député et disant "Valls le chimique en panne de gaz!" Cela "fait référence au cousin de Saddam Hussein, Ali le chimique condamné à mort pour le massacres des Kurdes irakiens en 1988", déplore le PS.

    "Ces propos sont inadmissibles. Ils révèlent l'extrémisation d'une certaine droite égarée et perdant tout repère, et sa volonté de remettre en cause le vivre-ensemble au sein de notre société", estiment Marc Coatanéa, secrétaire national aux questions de société et Elsa Di Meo, secrétaire nationale aux adhésions.

    "DEGRÉ ZÉRO"

    Le ministre de l'agriculture Stéphane Le Foll a réagi au parlant de "degré zéro" de la politique. "J'ai même vu qu'il y avait un tweet d'un député UMP qui considérait que c'était sûrement les descendants d'esclaves qui avaient été manifester hier soir, on est vraiment sur le degré zéro", s'est-il emporté sur France Info, estimant qu'"il faudrait que l'opposition soit en capacité d'être aussi de temps en temps un peu à la hauteur et des enjeux, et des discussions".

    La Fondation du Mémorial de la traite des Noirs, établie à Bordeaux, a dénoncé "une insulte inacceptable à la mémoire des victimes de la traites des Noirs et de l'esclavage" ainsi qu'"une incitation à la haine". "Le député Vialatte franchit une ligne rouge inacceptable pour un représentant du peuple français et pour l'image de la nation", a-t-elle indiqué dans un communiqué. Elle a décidé de porter plainte contre le député auprès de la justice varoise pour "fausse accusation, diffamation et incitation à la haine raciale".

  • NOTRE EUROPE

     

     


    J'ai reçu, au courrier d'hier , le texte socialiste sur l'Europe (en vignette) qui a provoqué une polémique avec l'Allemagne, il y a quelques jours (avant modification). Il est désormais soumis au débat des adhérents et à leur vote, le 6 juin. La section d' Antibes organisera donc une réunion qui sera, à n'en pas douter, passionnante. Pourtant, ce sont plutôt les conventions (comme on les appelle) sur les questions intérieures, économiques et sociales, qui mobilisent les socialistes. Mais là, c'est différent.

    Il y a d'abord le contexte politique : les socialistes sont au pouvoir, la question européenne est au coeur du débat sur l'austérité. Pas question de rester indifférent. Je n'ai pas aimé les propos germanophobes de certains camarades. Heureusement, Hollande, Ayrault et Fabius ont corrigé le tir (mais c'est fâcheux d'être obligé d'en arriver là). Il n'y a pas à imputer à l'Allemagne des difficultés économiques qui ne sont, pour l'essentiel, que nationales. Et puis, pour les européens que nous sommes, le couple franco-allemand, comme on dit, est précieux, fondamental. Pas question d'introduire une faille.

    En fait, avec ce débat sur l'Europe, nous allons retrouver le clivage entre majorité du parti, pro-européenne, et l'aile gauche, hostile à l'Europe actuelle.
    Au delà du fond (sur lequel je reviendrai dans un prochain billet) , quatre amendements (les n°4, 8, 10 et 13 très précisément) sont intéressants à analyser et notamment celui de Marie-Noël Lienemann, Emmanuel Maurel et Gérard Filoche. 
     En tout cas, j'invite tous les socialistes à lire ce texte (pas très long, huit pages) et à le comparer avec les amendements qui sont proposés : il y a de quoi débattre

  • 60 ENGAGEMENTS

    Un grand débat va se dérouler dans le pays.
    Pour lui donner tout son sens, j'ai voulu formuler des propositions précises, que je vous soumets.
    Ce sont mes engagements. Je les tiendrai.
     

    jeudi 26 janvier 2012

     
     

    Près d'un an plus tard

    Où en est-on des 60 engagements pris par le président de la République ?
     

    60 ENGAGEMENTS

    POUR LA FRANCE

     
     
  • LA DROITE DEFIT LES JUGES

    105 députés UMP ont décidé de provoquer les institutions démocratiques en apportant leur soutien à Monsieur Guaino poursuivi pour offense à magistrat. Il y a, dans leur déclaration, un défi lancé aux juges : oseront-ils étendre à plus d'une centaine de parlementaires les poursuites engagées contre Mr Guaino ?

    La droite sarko-coppeiste tente, une fois de plus, d’impressionner les magistrats. Pendant 5 ans, au pouvoir, elle n'a jamais dissimulé sa détestation des juges ni sa volonté de les soumettre au pouvoir politique. Elle n'a cessé d'intervenir dans les nombreuses affaires la mettant en cause. Elle ne conçoit la justice qu'aux ordres. Aux siens. Elle ne l'imagine qu'aux ordres du pouvoir et refuse d'admettre que depuis 2012, l'exécutif garantit et respecte l'indépendance de la justice et de la liberté de la presse.

    Il y a toujours eu dans la droite française un courant antidémocratique, hostile à la séparation des pouvoirs, à l'indépendance de la justice et au parlementarisme. La contestation des urnes par la rue, l'abus de pouvoir que constitue l'injonction de parlementaires aux juges, les atteintes répétées à la laïcité sont autant de pointillés qui tracent une ligne politique dangereuse pour la République et ses valeurs. Une ligne politique qui favorise la connivence et de la porosité aux thèmes du Front national.