Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

AZURCOM - Page 14

  • DIMANCHE QU'EST CE QU'ON MANGE

    SAINT JACQUES AU COULIS DE CRESSON

     

    Antibes20141130 010.JPG

     

    Ingrédients pour 4 personnes : 

    12 coquilles Saint-Jacques

    1 botte de cresson
    1 échalotes   
    15 cl de crème liquide  
    1
    80 g de beurre 

    Quelque brins de cerfeuil
    Sel et poivre du moulin




    Préparation


    1) Ouvrir et nettoyer les coquilles
     
    2)
    Peler et ciseler finement  l' échalote  .Couper les tiges de la botte de cresson au ras des feuilles  ,laver et eégoutter .     
     
    3) Faire suer, dans un poêlon, l'échalote 
    ciselées avec 20 g de beurre et le cresson . Remuer sur feu doux environ 5 min , sans laisser colorer . Ensuite mixer avec la crème liquide pour obtenir un coulis d'un joli coloris vert . Saler , poivrer et réserver au chaud  .

     
    4) Faire fondre le reste de beurre dans une poêle. Quand il mousse mettre les Saint-Jacques à dorer environ 1 min sur chaque face à feu vif . Saler , poivrer

    5) Tapisser les assiettes de coulis , , repartir les  Saints-Jacques , décorer de cerfeuilles et server.

     

  • LA VRAIE GAUCHE

    La "vraie" gauche ? quelle idiotie cette expression . iI n'y a pas de "vraie" gauche sinon laquelle ?

    Qui a fait ses preuves ? Qui a fait mieux en pratique ? Qui juge ? Qui est autorisé a donner des leçons ? il y a un "dieu" de la gauche qui trie ? des censeurs ? des tribunaux ? qu'est ce qu'elle a la gueule de la "vraie" gauche ?  4 % , 6,6 % ? 8,8 % ? 13, 9 % ? 3,1 ? et... 25 % d'abstentionnistes ! la gauche est plurielle, c'est ainsi, et pour peser il faut l'unifier, additionner, transformer de façon dynamique ses particularismes, l'unifier en son coeur pas a ses marges, sinon jamais nous ne gagnerons, ce sera tous ensemble ou rien

    LA RAGE.

    Je suis socialiste.  Je n'ai pas à avoir honte de l'être. J'ai honte des  trahisons et  nous qui devons redonner des couleurs à nos valeurs et son honneur à notre parti.
    C'est devenu depuis trop longtemps insupportable.

    On ne répond pas à un Front National à 25%, à la misère qui s'empare de nos territoires, au chômage qui fracasse la dignité des homme, par de la prétendue réforme qui finit de jeter dans les bras de l'obscurantisme les plus fragiles au seul bénéfice des puissants qu'on a prétendu combattre.

    Nous sommes responsables de la désespérance du peuple.
    Et aucun parti de gauche ne récolte quoique ce soit de cet échec. Par nos positions, les petites lâchetés, les calculs à dix bandes des chapeaux à plumes, nous sommes en train de détruire notre démocratie, notre pays, notre projet européen.

    Et que l'on vienne me dire qu'en publiant cela je fais le jeu de la droite ou de quiconque...
    Un seul mot : la vraie responsabilité c'est d'affronter le regard de ceux que l'on désespère.

    Cette disparition qui accable et émeut me conduit à livrer quelques pensées sur la fragilité de l'homme politique. C'est un monde où il faut être inoxydable, le plus cruel des mondes, parce que tout ou presque est permis et que tout ou presque est public . C' est la grande différence avec le monde privé ou professionnel, qui ne sont pourtant, eux aussi, pas toujours très tendres, les êtres humains étant ce qu'ils sont)  Celui qui s'engage dans le combat politique sait normalement que ce sera très difficile, que rien ne lui sera épargné

    A mon petit niveau, je vois bien à quel point il est difficile, sinon impossible, de maintenir le débat politique à une confrontation d'idées, sans glisser dans les attaques personnelles, plus ou moins féroces.

    Mais l'homme politique aura beau être politique jusqu'au bout des ongles, il ne cessera pas d'être un homme, avec ses fragilités, ses faiblesses, parfois son désespoir.

     

  • TRIBUNE DE MARTINE AUBRY

    Le Monde : Tribune de Martine Aubry

    1786366_3_043f_martine-aubry-maire-de-lille-ps_ca652da9b5d9bbcedd7d8849ad58ca98.jpg

    « Ne réduisons pas l’existence à la consommation » C’est le titre de la tribune de Martine Aubry publiée par Le Monde suite à la présentation du projet de loi présenté par Emmanuel Macron, ministre de l’Economie.

    Le projet de loi pour l’ouverture des commerces le dimanche va entrer en discussion au Parlement. Ce n’est pas une réforme subalterne, c’est un moment de vérité autour de la seule question qui vaille : dans quelle société voulons-nous vivre ?

    Veut-on faire de la consommation –  encore plus qu’aujourd’hui – l’alpha et l’oméga de notre société ? La gauche n’a-t-elle désormais à proposer comme organisation de la vie que la promenade du dimanche au centre commercial et l’accumulation de biens de grande consommation ?

    Le dimanche doit être un temps réservé pour soi et pour les autres. C’est un moment précieux qui doit être consacré à la famille et aux amis, à la vie associative, à la culture et au sport… Valorisons l’être, plutôt que le tout avoir. Gardons du temps pour penser, respirer et vivre.

    D’ores et déjà, 5 millions de Français travaillent habituellement le dimanche, et 3 millions occasionnellement. Leur fonction est nécessaire à la vie collective : la sécurité, les transports, la santé…, sans oublier les magasins alimentaires…

    Les arguments économiques de ceux qui sont favorables à une plus grande libéralisation du travail le dimanche ne résistent pas à l’analyse. Le commerce est affaire de revenu disponible. Celui-ci étant limité, l’élargissement des jours d’ouverture procédera à une simple réaffectation des achats dans la semaine. Les zones de tourisme international font seules exception, et méritent une approche particulière, car elles peuvent apporter du pouvoir d’achat supplémentaire, et donc créer des emplois. Encore faut-il que l’approche soit limitée et partagée par les maires concernés.

    Dégradation

    Par ailleurs, les petits commerçants, si importants pour le dynamisme de nos centres-villes comme de nos quartiers, déjà en butte à la concurrence des zones commerciales et de l’e-commerce, qui souffrent aujourd’hui de la crise économique, seront nombreux à ne pas résister face à l’ouverture le dimanche. Des dizaines de milliers d’emplois seront détruits, sans compter la dégradation des conditions de vie pour ceux qui survivront.

    Le volontariat est mis en avant, pour récuser toute régression sociale. Croire que les salariés vont de gaieté de cœur travailler le dimanche, en décalage avec la vie de la société, sous prétexte qu’ils n’ont pas d’emploi ou un salaire majoré, montre une profonde méconnaissance de la réalité. En période de chômage de masse, on ne refuse pas de travailler aux horaires que demande l’employeur. L’ensemble des syndicats sont aujourd’hui à l’unisson opposés à ce projet. Il faut les entendre. Inutile autrement de parler de démocratie sociale.

    Enfin, sur un sujet qui touche à l’organisation du temps dans la société, à la façon dont nous voulons vivre ensemble, ce ne sont pas les sondages qui doivent servir de boussole. Les Français dans leur majorité veulent sans doute pouvoir commercer, y compris le dimanche, mais une majorité encore plus grande d’entre eux ne veulent pas être contraints de travailler le dimanche. La politique, c’est bien de dire, au regard de nos valeurs et du sens que nous leur donnons, dans quelle société l’on veut vivre et non de se laisser guider par les études d’opinions.

    Je me suis toujours engagée pour un dimanche réservé à la vie : vie personnelle, vie collective. Aujourd’hui, je suis fermement opposée au passage de 5 à 12 dimanches ouverts par an.

    Je combattrai cette régression pour notre société au niveau national, comme dans ma ville.

  • LOI 1905

     

    sans-titre.png

    En ce jour anniversaire de la loi de 1905 portant séparation de l’église et de l’Etat, rappelons combien cette loi historique adoptée il y a 109 ans conforte chaque jour les valeurs de notre République par son message de tolérance et combien le principe de laïcité participe au vivre ensemble et à la lutte contre les discriminations.

    Conscient de l’importance majeure de la transmission des valeurs républicaines, .Il y a an  le ministre de l'éducation avait voulu que la Charte de la Laïcité accompagnée de la devise Républicaine  soit apposée dans chaque école collège collège public  .

    Cet effort de pédagogie doit sans cesse être renouvelé pour que la tolérance et le respect mutuel restent au fondement de notre société.

     

    Consultez la Charte de la laïcité.

  • OUI AUX CRECHES

    Les laïques et les croyants  s'inquiètent de la présence de crèches dans des lieux publiques.

    Les laïques s'inquiètent : ils estiment que la laïcité est "menacée" par le petit Jésus dans le hall d'un supermarché ou d'une administration ?

    La riposte des catholiques n'en est pas moins stupide .

    Dans cette querelle je me prononce  en faveur de la présence nombreuse de  crèches dans l'espace public, non pour des raisons laïques  mais pour des raisons théologiques 

    La crèche doit trouver sa place , nombre de jeunes parents  se désespèrent de trouver  une place  financièrement abordable pour leur nouveau né , dès le congé parental  terminé et qu'il faudra que la maman  reprenne  le travail .

    La naissance , n'a pas à être mêlée au matérialisme de la consommation de masse et à ses gaspillages .

    A quand à une crèche  parentale dans le batiment  d'un Conseil général, ou dans  une  gare. Les chrétiens et les laïques, dans leurs positions respectives, feraient bien de redonner du sens aux choses et d'éviter ce grand n'importe quoi qu'est devenu trop souvent notre débat public .

     

     

     

  • QUE FAIT LA PELISSE ?

    6690424.jpgsarkozy_dakar200.jpg

     

    Deux sujets ont fait le tour des réseaux sociaux ce week-end  : le montant de la retraite potentielle de François Hollande et la photo avec le président du Kazakhstan. Les deux sujets n’en sont pas : tous les présidents se sont fait prendre en photo dans des costumes locaux, c’est une tradition, et le montant de la retraite est faux.
     
    Ce dernier mériterait une étude plus précise. Je crois que c'est l'express qui fait une incroyabble démonstration en se référant à Google . La rémunération de Valéry Giscard d’Estaing en fait l’ancien chef d’Etat le plus payé au monde et celle de Jacques Chirac dépasse 30 000 euros. Quant aux revenus de Nicolas Sarkozy, ils alimentent fréquemment les chroniques.
     
    Quant à la photo de François Hollande, il convient évidemment d’en rire, comme l’on riait de ses prédécesseurs dans les mêmes situations. Je dois reconnaitre d’ailleurs que c’est son air coincé qui m’a fait le plus rigoler mais même quand il sourit, il n’est pas photogénique…
     
     Les réseaux sociaux ont encore permis d’atteindre des sommets de bêtise et la personne de François Hollande en est devenue, presque physiquement, une cible privilégiée, comme l’était son prédécesseur, à une époque  , et pour d’autres raisons, plus faciles à décrire : le personnage était irritant  . François Hollande ne l’est pas, je crois. On peut détester sa politique et ce que peut incarner une certaine gauche, mais le haïr est difficile. .
     
    La photo n’a aucun intérêt. François Hollande y affiche la tronche du type qui sait qu’il va être tourné en ridicule mais il pouvait difficilement dire au président Kazakh : ton costume de merde, tu te le gardes. .
     
    Chapkastophique image.
     
     
  • LA HONTE

    Samedi j'étais devant mon téléviseur pour regarder  le match de foot PGS Quatar contre le FC Nantes . J'ai tenu 1/4 d'heure . J'ai apprécié le but de Nantes à la 11ème minute mais aprés quelle honte . Un tacle assassin d'un Quataris  qui métité 1 carton rouge puis au moins 3 mois de suspension ( l'action Brandao est moins  agressive  ) par la commission de discipline puis un deuxième  but nantais refusé  par l'arbitre pour je ne sais quoi .

     J'accuse ! Oui j'accuse le PSG de corruption passive  pour obtenir grâce à un arbitrage conditionné le titre de champion de ligue 1 qu'il ne mérite en aucune façon dans le jeu .

     Jusqu'à quand l'arbitrage va t-il favoriser le PSG? Comment l'arbitre, dans son rapport, va -t-il pouvoir justifier de ne pas avoir accordé le 2ème but nantais. Comment va-t-il justifier le simple carton jaune pour l'agression délibérée du boucher Quatari  qui n'a rien à faire sur un tarrain de foot . 

    Toutes les décisions du corps arbitral sont en faveur de l'équipe "parisienne" que ce soit  penalty , expulsion but refusé .

    Paris club de la capitale qui arrive à faire jouer sur le terrain jusqu'à  onze joueurs étrangers .

    Jusqu'à quand va-t-on accepter que les joueurs du PSG et en particulier Abramachin  contestent systématiquement les décisions de l'arbitre .

    Le mieux serait de donner le titre au PSG et de laisser les autres équipes jouer entre elles la deuxième place suivant les règlés établies .

    La honte

     
     
  • MISS FRANCE : LE PODIUM

    775306998.jpg

  • CA SENT LE SAPIN

    A VOS CALCULETTES

    Deux étudiants de l’Université de Sheffield en Grande-Bretagne, Nicole Wrightham et Alex Craig ont mis au point trois formules mathématiques permettant de trouver le juste équilibre entre la quantité de décorations nécessaires et la taille de l’arbre.

    sciences,mathématiques,noel


    Pour déterminer le nombre de boules nécessaires, il suffit de diviser par 20 la racine carrée de 17, puis de multiplier le résultat par la taille du sapin en centimètres.

    Pour connaître la longueur idéale des guirlandes électriques, il faut multiplier π par la taille du sapin. Concernant les guirlandes ordinaires, il faut multiplier π par 13, diviser le résultat par 8 et ensuite multiplier par la hauteur de l’arbre.

    Pour savoir quelle taille d’étoile convient le mieux pour le haut de votre sapin, il suffit de diviser la taille de l’arbre par 10.

    Nombre de boules = ( √17 x Hauteur de l'arbre ) / 20

    Longueur de guirlandes = ( 13 x Pi x Hauteur de l'arbre ) / 8

    Longueur de guirlandes électriques = Pi x Hauteur de l'arbre

    Hauteur de l'étoile ou fée ( en cm ) = Hauteur de l'arbre / 10

    Un arbre de 180 cm nécessitera 37 boules, 919 cm de guirlandes, 565 cm de guirlandes lumineuse et une étoile de 18 cm.