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  • LES COUPABLES SONT CONNUS

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    Aprés les dernières tueries chacun a une pensée pour les familles des soldats et enfants tués. Ils et elles sont victimes d'un acte raciste, d'un acte antisemiste. Face a cette barbarie, il faut mobiliser tous les moyens de la police et de la justice mais aussi denoncer les apprentis sorciers qui depuis des mois alimentent la xenophobie, le racisme, le Front national et la droite qui font une course a l'indignite

    Il faut lire la presse étrangère pour enfin voir dénoncer la dérive xénophobe et la permissivité de plus en plus grande que l'on accorde à des discours raciste en Europe, et , en France en particulier . Les discours haineux et stigmatisant que tiennent Guéant et Sarkozy actuellement sont en partie responsable de ce qui s'est passé à Toulouse . Ces hommes ont oublié qu'ils avaient un devoir de modération à respecter dans leur prise de parole et que leur pouvoir de nuisance est sans limite. Comment des hommes comme eux osent-ils encore se regarder dans une glace après avoir tenu des propos aussi monstrueux pendant des années et en stigmatisant systématiquement les différentes communautés qui composent la population française et qui sont les piliers et la force de notre république. Ils sont responsables de ces tueries, pour des raisons électorales, ils ont exacerbé les haines entre tous les français .

    Guéant et Sarkozy, sont responsables de cette tuerie et aujourd'hui, on les voit, on les entend sur toutes les chaînes et toutes les radios, ils se  présentent comme les défenseur de la république, ils sont indignés qu'un tel acte ait pu être commis en France : ILS SONT COUPABLES

     

  • PAS ENVI DE BLOGUER CE MATIN

     

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    Après plus d'un mois passé sans décrocher la moindre victoire, Reims a profité de son déplacement au Mans (1-0) ce lundi pour retrouver le chemin du succès. Les Champenois sont désormais dauphins de Bastia en Ligue 2. (Photo Presse-Sports)
    Après cinq matches sans succès (trois défaites et deux nuls), le Stade de Reims a enfin mis fin à la malédiction. Tombeur du Mans (1-0) à la MMArena, le candidat à la montée a en effet retrouvé le goût de la victoire après un mois de disette. Au cours d'une rencontre longtemps fermée et très pauvre en occasions, les protégés d'Hubert Fournier ont malgré tout assuré l'essentiel. Une réalisation signée Saadi (84e), d'un puissant coup de tête, a ainsi enfoncé des Sarthois toujours en position de premiers relégables.

    Entré en jeu quelques minutes auparavant, Pereira (19 ans), pour sa première avec le groupe professionnel, a quant à lui fêté dignement l'événement en délivrant la passe décisive. Grâce à cette quatrième victoire décrochée à l'extérieur cette saison, les Rouge et Blanc grimpent sur la deuxième marche du Championnat, et devancent ainsi Clermont d'une longueur. De bon augure à dix journées de la fin de saison.Source F.F

  • ENCORE 47 JOURS A TENIR

    MEME PAS PEUR

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    Ces gens-là ne connaissent pas vraiment la peur.

    Vendredi 16 mars le matin à la radio , j'entendais un journaleux  expliquer à qui voulait l’entendre que la “peur avait changé de camp“, un propos relayé par Xavier Bertrand. ces gens-là ont sans doute convaincu quelques journalistes en mal de scoop et de relance médiatique que le camp Hollande avait la trouille.

    Pour ma part, je n’ai pas peur.

    Personne n’a dit que la campagne était gagnée. Tout est ouvert, tout est possible. Pour avoir peur, il faut craindre. Je n’ai pas peur parce que nous avons un travail à faire jusqu’aux 22 avril et 6 mai. Convaincre que le candidat, François Hollande, est le seul à apte à rassembler et le seul lucide sur ce qui doit être fait pour que le pays ne se disloque pas.

    Le quinquennat d’après sera différent de celui d’avant, très dur. La France est dans un état de pré-coma.

    Nous n’avons pas peur, parce que n’avons rien à perdre.

  • GALOUZEAU DE VILLEPIN NON PARTANT

     
    Jeudi soir était la date-limite pour le dépôt des 500 signatures permettant de participer à l'élection présidentielle. A priori, Dominique de Villepin ne pourra pas concourir mais Jacques Cheminade sera présent, sous réserve de vérification par le conseil constitutionnel. Nous vivons tout de même une drôle d'époque et dans un étrange pays, à moins que la politique ne soit une activité surprenante et mystérieuse.

    Car voilà un homme qui a été le Premier ministre de la France il n'y a pas si longtemps, qui a porté haut et fort la voix de notre pays sur la scène internationale, un homme de panache et de conviction, avec forcément tout un réseau autour de lui : et il ne parvient pas à récolter 500 misérables signatures alors que la France regorge de maires petits et grands, par dizaines de milliers !

    De l'autre côté, il y a Jacques Cheminade, un inconnu, sans parti politique pour le soutenir, un type vaguement extrémiste venu de nulle part et qui probablement y retournera, quelqu'un que personne ne peut politiquement identifier, dont l'existence même n'apporte pas grand-chose à la démocratie française, un homme sans bilan ni expérience, sans passé ni avenir et qui pourtant les a, les fameux et précieux 500 parrainages. Vous y comprenez quoi ? Un mystère, je vous dis ...
     
     
     
     
    MOI NON PLUS

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    Jean-Pierre Cochart et Véronique Lacoste, candidats éphémères du PS sur la 7e avant qu’un accord national ne donne les clés de la circonscription au MRC.(Photo Vincent Rossotti)

     Alors que les militants socialistes avaient validé le choix de Jean-Pierre Cochart, le patron de la fédération locale, pour porter les couleurs du parti les législatives de juin prochain, ce dernier devra finalement jeter l’éponge.

    Après le ralliement de Jean-Pierre Chevènement à François Hollande, la commission nationale d'investiture du parti de la rose a en effet choisi de donner cette circonscription à un candidat MRC.

     
  • MELENCHON PIEGE A C...

    Excellent article de Serge Raffy

     

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    Il faut les voir dans les dîners de la banlieue chic, ceux de Neuilly-sur-Seine ou de Sèvres, se pâmer devant leur nouvelle idole. Jean-Luc Mélenchon, le petit père des peuples version gauloise est devenu le chouchou de Sarkoland. Surprise ? Pas vraiment. La bonne bourgeoisie s'extasie aujourd'hui devant la bête de scène, le tribun, le comédien digne de l'Actors Studio, toujours prêt à ronchonner en "prime time".

    Le chantre de la lutte des classes est au zénith dans les chaumières des familles de l'ISF. On vante son bagout, sa télégénie, sa rhétorique, son art de ne jamais couper les cheveux en quatre ! Celui-là, entend-on dans le Triangle d'or du CAC 40, il occupe l'écran, il tempête, il morigène, il débat à la tronçonneuse. Fini l'ennui, le soporifique débat Hollande-Sarkozy. Avec Mélenchon, c'est baston à O.K. Corral tous les jours.

    Ce Mélenchon, c'est Georges Marchais avec bac+5

    Son programme ? Bien sûr, il n'est pas sérieux, répètent ces convertis de la dernière heure. De toute manière, ajoutent-ils, il ne pourra jamais l'appliquer. Ouf... Mais ce n'est pas ce qu'on lui demande, soulignent-ils. On veut juste un peu de distraction. La politique est devenue tellement lourdingue... Avec le bateleur d'extrême gauche, on en a pour notre argent, si l'on peut dire. Ce Mélenchon, c'est Georges Marchais avec bac+5. Le bonus de la présidentielle.

    Un passage de "Méluche" au JT, c'est mieux que les Guignols

    Le constat est difficile à admettre, mais il faut l'avouer : le candidat du Front de gauche, lentement mais sûrement, est devenu, à son corps défendant, l'idiot utile de l'Elysée. Il est le virus malin qui affaiblit jour après jour François Hollande. Un passage de "Méluche" au JT de 20 heures, c'est mieux que les Guignols de l'info. C'est un demi-point qui s'échappe des terres hollandaises.

    Même les habitués du Fouquet's se mettent à le trouver intéressant. Quant au Président sortant, il ne tarit pas d'éloges sur lui. Nicolas Sarkozy y va de son couplet de nouveau fan de Mélenchon : "Lui, au moins, il dit ce qu'il pense", ose le candidat de l'UMP. Cette petite phrase devrait sonner comme une alerte.

    Une grenade dégoupillée dans le camp du PS

    Toute la stratégie des communicants de l'UMP est de mettre en place un système de dérivation de voix socialistes sur le tonitruant candidat Front de gauche. La tactique est classique, éculée, mais pourrait se révéler désastreuse pour la gauche.

    Mélenchon est donc une grenade dégoupillée dans le camp du PS. Il y a de grandes chances que sa marche civique sur la Bastille, ce dimanche, soit surmédiatisée par les amis du Président. Mélenchon piège à cons ? Il ne faut rien exagérer. Il a déjà clairement annoncé qu'il appellera à voter Hollande au deuxième tour. Mais l'amour immodéré que lui porte soudainement la droite est pour le moins suspect.

    En haut lieu, on a mis au point un plan de bataille, simple comme bonjour : il faut gonfler à l'hélium le Zorro de la lutte des classes, lui permettre de se rapprocher des 15 % et mettre François Hollande en culottes courtes pour le second tour. Le piège est tellement gros qu'on n'ose pas le regarder en face. A tort. En prenant la Bastille, Mélenchon pourrait bien faire perdre l'Elysée à la Gauche. Délicat paradoxe...

     
    Serge Raffy
     
    Par Serge Raffy
     
  • LETTRE A BASHAR EL ASSAD

     VOUS POUVEZ ECRIRE                                                                                            

                                                           

    Monsieur le  Président de la République

     

                                                                                Bashar al-Assad

     

                                                                               Presidential Palace

     

                                                                                  al-Rashid Street

     

                                                                                    Damascus, Syrie

     

     

     

     

     

     

     

     

    Monsieur le Président


    Je me permets d’attirer votre attention sur le cas de Kamal Saloum. Ce syrien d’As Suwayda a disparu depuis le 11 février 2012 après avoir donné une interview à Al Jazira à la suite d’une manifestation ayant eu lieu près de son domicile.

     

    Ce n’est qu’à la suite de demandes répétées de renseignements que ses proches ont été informés qu’il avait été arrêté par des agents du Service des Renseignements de l’armée de l’air le soir du 11 février. Quant à son lieu de  détention, il n’a pas été révélé.

    Je crains que Kamal Saloum soit soumis à des mauvais traitements et victime de tortures alors qu’il exerçait légitimement son droit à la liberté d’expression et de réunion. Si tel était le cas, Amnesty International le considérerait comme un prisonnier d’opinion et demanderait sa libération immédiate et inconditionnelle.

     

    Je voudrais insister sur le fait que Kamal Saloum a besoin de soins médicaux et d’un traitement régulier pour ses problèmes cardiaques, de diabète et d’hypertension.

     

     En conséquence, Monsieur le Président, je vous exhorte à:

     

    o        révéler le lieu où se trouve Kamal Saloum et sa situation au regard de la loi

    o        veiller à ce qu’il bénéficie de tous les soins médicaux nécessaires

    o        lui donner la possibilité de contacter sa famille et un avocat de son choix.

    o        le libérer immédiatement et sans condition s’il a été arrêté pour avoir pacifiquement exercé son droit à la liberté d’expression.

     

     

     En vous remerciant de l’attention que vous voudrez bien porter à ma demande, je vous adresse mes salutations.

  • UN JEAN-PIERRE CHASSE UN AUTRE

    VU DANS NICE MATIN

    Alors que les militants socialistes avaient validé le choix de Jean-Pierre Cochart, le patron de la fédération locale, pour porter les couleurs du parti les législatives de juin prochain, ce dernier devra finalement jeter l’éponge.

    Après le ralliement de Jean-Pierre Chevènement à François Hollande, la commission nationale d'investiture du parti de la rose a en effet choisi de donner cette circonscription à un candidat MRC.

     

    Que d'honneur me fait la presse locale ce jour . C'était J.P Chevénement ou moi . Pas sympa le Ché pour quelqu'un qui était à ses cotés au tout début du CERES .

  • L'ARGENT QUI POURRIT JUSQU'A.........

     

    Le Canard enchaîné de ce mercredi nous prête des propos de l’acteur Gérard Depardieu, le nouveau soutien people du candidat sortant :

    «A chaque fois que j’ai demandé quelque chose à Sarko, il a répondu présent. Quand j’ai eu récemment des problèmes avec l’une de mes affaires à l’étranger, il s’est mis en quatre et m’a réglé le problème tout de suite. Son conseiller diplomatique m’a même appelé, il a été très gentil avec moi. […] Lorsque je l’appelle, il me rappelle dans le quart d’heure. Lui, c’est le président de la République; moi je ne suis qu’un acteur, et il me rappelle tout de suite. C’est extraordinaire. […] J’aurais perdu beaucoup d’argent s’il ne m’avait pas aidé pour ce problème. Tout ce qu’il me demandera, je le ferai

    Ces propos s’ils sont vrais entrent profondément en résonance avec la force du verbe de François Mitterrand dans son discours du Congrés d'Epinay le 13 juin 1971 çi-dessous

    "Le véritable ennemi, j'allai dire le seul, parce que tout passe par chez lui, le véritable ennemi si l'on est bien sur le terrain de la rupture initiale, des structures économiques, c'est celui qui tient les clefs... c'est celui qui est installé sur ce terrain là, c'est celui qu'il faut déloger... c'est le Monopole ! terme extensif... pour signifier toutes les puissances de l'argent, l'argent qui corrompt, l'argent qui achète, l'argent qui écrase, l'argent qui tue, l'argent qui ruine, et l'argent qui pourrit jusqu'à la conscience des hommes !"

    Les propos que l’on prête à celui qui a incarné Jean Valjean, qui est descendu dans les tréfonds de la misère de Germinal, mettent en évidence la fracture entre la France de Nicolas Sarkozy et celle de François Hollande : « mon adversaire n’a pas de visage (…) mon adversaire, c’est le monde de la finance« a-t-il prononcè au Bourget.

    Gérard Depardieu, c’est aujourd’hui cette France arrogante, qui étale sa richesse, éponge ses erreurs financières par des coups de fil, revendique le pouvoir pour mieux continuer son business et au nom de l’argent se sent obligée de passer les plats, de courber la tête et de lécher les pieds!

    Cette France-là, elle pue le déclin! Elle pue l’avilissement par l’argent! Elle pue la corruption de l’esprit révolutionnaire porté par les Lumières! Elle pue le retour des privilèges pour une caste qui se considère comme propriétaire des institutions, du produit de nos impôts et de nos libertés!

    Au nom de l’argent (préservé), on nous vend comme un soutien culturel ce qui n’est que la pauvre reconnaissance d’un valet obligé par son maître. Trois romans de choix chez Zola pour incarner cette conversion : Son Excellence Eugène Rougon, La Curée et La débâcle.

    C’est de cette France qui protège ses petits intérêts, qui s’arrange, qui biaise, qui se gave, qui spécule qui pourrit mais ne veut jamais perdre, c’est de cette France-là dont nous ne voulons plus. Finalement, il fallait un acteur pour incarner les propos de François Hollande sur cet « adversaire sans visage », le rôle est parfaitement joué!

  • VU DANS NICE MATIN

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  • EN CE TEMPS LA J'AVAIS 20 ANS

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    Conjuguer réforme et révolution.

    La vieille SFIO et les différents clubs de la gauche non communiste sont défaits. Ils sont passés à côté de la grève générale de 68 sans offrir une once de perspective au mouvement ouvrier. La débacle de Deferre aux présidentielles semble sonner le glas de la social démocratie.

    Celle-ci pourtant va défier les pronostics les plus noirs.

    Peu à peu, les socialistes vont se regrouper et construire un nouveau Parti Socialiste qui va se fixer une orientation politique au Congrès d’Epinay.

    Ce livre qui s’appuie sur de larges extraits de documents écrits et publiés par les militants du CERES qui constitue au sein du parti un courant bien situé à gauche montre comment peu à peu, ceux et celles qui défendaient une orientation de front de classe ont pu diriger le Mouvement des Jeunesse Socialiste jusqu’en 1975 puis mener un combat difficile à l’Université.

    La jeunesse scolarisée, lycéenne et étudiante est influencée par deux courants antagonistes : le courant « communiste » animé par l’UEC et le PCF et le courant révolutionnaire.

    Avec beaucoup d’opiniâtreté les jeunes chevénementistes vont se construire une place, en participant à tous les combats, anti impérialistes pour le soutien à la lutte des révolutionnaires vietnamiens, anti capitalistes et anti militaristes.

    Ils vont prouver peu à peu qu’il est possible d’incarner une orientation marxiste, débarrassée de la phraséologie gauchiste et du piège stalinien.

    Pour les socialistes qui mènent un combat politique anti capitaliste et qui s’appuient sur le programme commun de la gauche, il s’agit de bâtir un MJS ( Mouvement des Jeunes Socialistes) de masse, largement autonome par rapport à la direction du parti.

    Comme d’autres générations de jeunes socialistes avant eux, ils connaîtront le poids de l’appareil qui n’hésitera pas à dissoudre la direction contestataire du MJS.

    La jeune flamme ne s’éteint pas. Elle va investir les facs pour fonder un courant qui va compter.

    La question de la conquête du pouvoir est posée d’une façon claire, au moment même où une victoire électorale est à la portée de la gauche. Le socialisme se construit et ne se décrète pas :« ...le socialisme ne se décrète(pas), qu’il est le fruit d’une lutte, qu’un gouvernement de gauche qui ne rencontrerait pas d’écho au sein de la masse des travailleurs ne déclencherait pas d’élan d’enthousiasme populaire, n’exprimerait et ne réaliserait en rien les puissances aspirations au changement qui se font sentir partout dans notre pays. »

    Ces générations successives qui ont participé activement à la construction du PS tout en développant une orientation anti capitaliste claire ont échoué dans leur tentative de peser dans les choix politiques de la direction du PS, certes, mais une bonne partie de leurs analyses n’a pas pris une ride 30 ans après.

    Ce livre a le mérite de lever le voile sur une partie de l’histoire du mouvement ouvrier, ignoré ou oublié.

    Il montre comment une partie de la gauche socialiste a pu, nourrie par les leçons de 68 jouer un rôle non négligeable dans le combat social et politique de la classe ouvrière et de ses organisations.

    Jean-François Chalot