Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Editori@l - Page 62

  • A DROITE TOUTE

    Le virage à l'extrême-droite de Nicolas Sarkozy !

    51216258.jpg

     

    Dégoûté, Je suis franchement dégoûté ! La droite se prend la plus grosse claque électorale de son histoire, et que se passe-t-il ? Un remaniement minable et le président premier ministre chef de l'UMP (1) qui vient nous dire en dix minutes,"je vous ai compris", mais qui ne change rien.

    Enfin, rien ne change ou presque. Parce que comme la politique actuelle ne marche pas, on va donc l'amplifier. Logique, non ? Le social, une aide et une écoute pour les plus démunis, les victimes de la crise et du libéralisme voulu par Sarkozy, on le sait, ce n'est pas sa tasse de thé. Donc, on le remplace par du sécuritaire. C'est le retour du discours autoritaire, du haussement de menton censé faire peur aux délinquants. Ben tiens, depuis 2002 ils ont tellement peur qu'ils sont plus nombreux et que dans certains quartiers la situation devient catastrophique.

    Ce qui est sûr, c'est que Mr Sarkozy n'a rien, mais alors rien compris aux raisons socio-économiques de la débandade électorale de son parti. Par contre, il a bien saisi les conséquences politiques, et la fuite de son électorat au FN ou dans l'abstention.

    Alors, on donne des gages, l'insécurité ici, la peur de l'islam là. Il croit quoi ? récupérer encore une fois les électeurs du Front National. Il rêve, cette fois-ci, ils sont barrés et bien barrés, parce que leur vrai problème, à eux comme à tous les Français, ce n'est plus l'insécurité ou l'immigration, mais Sarkozy lui-même. Sarkozy et sa façon de gouverner, sa mise en scène permanente,son copinage, son comportement de petit Napoléon. Voilà le vrai problème !

    Des gages à l'extrême-droite, mais à droite aussi bien sûr. Aux électeurs traditionnels qui dimanche dernier aprés la messe ont préféré la pêche ou la belote entre amis : les agriculteurs et les médecins. Ces derniers, pas de problème, eux, ils vont l'avoir leur petite augmentation. Pour les ouvriers ou les smicards,"c'est peau de balle et balais de crin"-comme disait ma grand mère, mais le petit toubib qui vote comme il faut lui, on peut bien l'augmenter, et tant pis si le trou de la sécu s'agrandit encore un peu plus.

    Quant aux agriculteurs ! Ah les agriculteurs ! Maintenant, on est prêt à aller jusqu'à la crise européenne pour les sauver du libéralisme qui fait baisser outrancièrement les prix. Mais c'est génial comme idée. Je demande aussi, que l'on aille jusqu'à la crise pour sauver l'industrie française, jusqu'à la crise pour contrer les banques qui ne réinvestissent pas dans l'économie l'argent qu'on leur a prété, jusqu'à la crise pour obliger l'Europe à créer un bouclier social pour ses ressortissants. C'est bizarre, mais là, on entend rien. Peut-être est parce que ces catégories de personnes se trompent de bulletin à chaque élection.

    Nous avons à faire à un pouvoir clientèliste, autiste et sourd aux souffrances des Français. Les cadres de l'UMP peuvent nous ressortir leur discours sur les fondamentaux de la droite. Le peuple, quand il n'est plus écouté dans les urnes ni dans la rue, risque bien un jour de revenir à d'autres fondamentaux.

    (1) et encore, j'aurai pu rajouter ministre de l'éducation, de l'intérieur, de la santé, des sports, etc.

  • NE DITES PAS A SARKO QU'IL A PERDU LES ELECTIONS.......

    IL CROIT QUE DIMANCHE C'ETAIT UN CONCERT DE BENJAMIN BIOLAY

    51100848_p.jpg

    Chuut ! Ne dites pas au président de la République qu'il y a eu des élections dimanche dernier : il fait beaucoup d'efforts pour les ignorer. Expédié en quelques heures, le remaniement a mis en pratique le mot d'ordre élyséen : laisser ces régionales aux régions et envoyer leur calamiteux résultat aux oubliettes de l'Élysée.  

     Xavier Darcos apparaît ainsi comme le bouc émissaire de la déroute électorale. Cet homme de dialogue, en bons termes avec les partenaires sociaux mais en délicatesse avec le conseiller présidentiel aux affaires sociales (Raymond Soubie), va devoir laisser la réforme des retraites... entre les mains d'Éric Woerth, un techno dont les qualités de négociateur restent à démontrer. Le chiraquien Baroin, le villepiniste Tron et le centriste Daubresse, eux, ne sont que les cautions d'un rééquilibrage politique qui ne compensera pas le départ de l'emblématique Martin Hirsch.
     Au total, trop de calculs... Et trop petits pour être capables d'activer une dynamique à la hauteur d'une crise politique et économique sans précédent.

     

  • LA GAUCHE A GAGNE ET APRES

    Sarko-deuxieme-couche.jpg

    On ne boudera pas notre plaisir. Les résultats des élections régionales sont d’abord une bonne grosse claque dans la figure politique de Nicolas Sarkozy, Monarque tout puissant, monarque infaillible, monarque cloitré. Le sentir à se point impopulaire est une expérience réjouissante pour qui s’est promis de suivre sa chute, pas à pas, marche après marche, depuis ce funeste 6 mai 2007.

    Nicolas Sarkozy ne pouvait pas réussir.Il n’a pas fallu trois ans pour que la preuve soit faite que l’homme est incapable de tenir ses promesses sauf une, celle de rester coûte que coûte au pouvoir. Pour l’opposition, rien n’est fait, rien n’est réglé. Tout au plus peut on souligner quelques signes d’espoirs, comme la maîtrise des négociations de fusion pour le second tour. Le centre de gravité de cette élection s’est de nouveau déplacé vers les socialistes et  tuant la voie Modem. Cela a facilité évidemment les fusions de second tour. D’ici 2012, il faudra se souvenir des trois clés du succès ,en particulier à Antibes où avec moins de 4% au premier tour le représentant du Front de Gauche retrouve les "ors du palais régional" :

    (1) on se distingue mais ne s’insulte pas,

    (2) on change l’argumentaire:gauche et droite ce n'est pas pareil,

    (3) on prépare l’alliance sans attendre le second tour. « Les Français nous aiment unis » a rappelé Martine Aubry ce dimanche soir. Elle a raison.

    Au sein de l’opposition, il faudra se rappeler au soir du 21 mars : la défaite de Sarkozy est un objectif commun.

    Encore faudrait il que certains dirigeants de l’opposition s’en soucient

  • FILLON=DOMENECH

    50978240.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Il y a quelque chose de Domenech chez François Fillon. Depuis lundi, il court les réunions publiques, affichant avec un aplomb inaltérable la certitude de l'entraîneur dont l'équipe aurait perdu 5-0 au match aller et qui continuerait de croire à la qualification au match retour. Comme Raymond, François a « vu de bonnes choses » sur le terrain. Ce sont les journalistes qui font du mauvais esprit.
     Pôvre garçon. Ne riez pas, c'est écrit sans condescendance, ni moquerie. Le Premier ministre fait preuve d'un courage respectable dans sa façon d'affronter une bataille perdue d'avance. Il n'hésite pas à mettre en péril une popularité toute neuve, pour rien ou presque, sinon pour défendre son honneur de chef, fût-il celui d'une armée en déroute.
     Dépenser autant d'énergie - ses cernes en témoignent - pour venir prêter une main secourable à vingt de ses ministres en plein naufrage électoral, c'est estimable. C'est épuisant, aussi, manifestement. Au point de faire, dans la précipitation, des erreurs contestables en se raccrochant à de vieilles et grosses ficelles qui ne résistent guère à l'usage tellement elles sont usées par de précédentes utilisations. L'immigration, avec la promesse d'une loi sur le voile intégral, avant le premier tour. La sécurité en danger, avec des larmes sur la police, avant le second. Des thèmes qui, croient les communicants de son camp, marchent à tous les coups.
     Ces artifices démagogiques prêtes à l'emploi ont déjà fait leurs preuves , mais elles nécessitent un minimum de doigté dans le maniement. Sinon, ils explosent à la figure. En voulant en faire un peu trop, le chef du gouvernement a déclaré mort le policier d'Epernay qui, heureusement, ne l'était pas. Pour s'excuser, il a élégamment invoqué une « erreur de communication » de son équipe. Ça fait désordre. On n'est pas mieux informé que ça à Matignon sur le sort d'un gardien de la paix  caillassé ? Cette information là, et le suivi de l'état de la victime, méritaient plus d'attention qu'une simple « communication ».
     Quand, le même jour, le président de la République utilise un meurtre commis par l'ETA pour réclamer une « vraie » perpétuité pour les assassinats de policiers tout en sachant pertinemment que ces crimes sont déjà les plus lourdement punis par les cours d'assises - il s'expose aux soupçons de « récupération » énoncés par les syndicats de policiers.
     

  • REECOUTONS FERRAT PLUTOT QUE BISCARRA*

     

    Jean-Ferrat.jpgCurieux et troublant spectacle de voir en ce moment les médias couvrant génereusement la disparition de Jean FERRAT,ces memes médias qui l’on si longtemps censuré,qui l’ont si longtemps ignoré,mais la presse servile ne pouvait manquer une nouvelle occasion de faire communier la France sur ces faits d’actualité  qu’elle affectionne tant , pour ce qu’ils charient de ferveur et de consensus bidon et tellement plus vendeur que la révolte sociale.

    Spectacle pitoyable des ces journalistes  incapables de ne citer qu’un poignée de chansons et victoire de l’information spectacle qui réussit à célebrer un militant communiste et anticolonialiste en le transformant pour les besoins de la grand messe en sympathique reveur buccolique grognon à ses heures.

    Reste le tour de force majeur:les obseques du chanteur ont été retransmises à la TV.Qu’en aurait pensé l’auteur "d’INTOX" ?

    Ce soir je pense à tous ce anonymes  pour qui FERRAT représente autre chose qu’une chansonnette sur ceux qui quittent un à un leurs pays,autre chose qu’un apres midi chez Drucker.

    Je pense à ceux pour qui FERRAT est cette présence qui a accompagné leurs luttes , imbriquées au désir de culture et de liberté,cette ombre portée du parcours de chacun, ce relais d’espoir qui a habité tant de gens dans les années 60 et 70.

    Je pense aussi à ceux comme moi qui sont trop jeunes pour le considerer comme un compagnon de route mais pour qui il aura pour toujours le parfum de l’enfance , de ces Dimanches matins ensoleillés où sur la platine familiale resonnait ces hymnes au bohneur quotidien et à la révolte de "Ma France" au "point du jour" en passant par "la liberté est en voyage"ou " A moi l’Afrique".

    Et puis FERRAT c’etait surtout des disques !Des disques dont chaque sortie etait un évenement : le nouveau FERRAT ! avec son cortège de discussions serrées comme apres la chanson "camarade" ou dans la maison familialle on s’etripait avec mon Père sur la nécéssité des chars russes à Prague. FERRAT c’est bien sur aussi  un haut parleur dans une manif qui crachotte "La Commune"

    Toutes ces histoires ,toute cette Histoire , la Presse qui, Ment n’en à cure et n’en soupsonne meme pas l’existence car cela releve de la Mémoire collective et seule l’Opinion publique l’intéresse.

    Laisson donc passer le minable petit tortillard de la commémoration?

    Laissons donc retomber le soufflet et plus tard ,un peu plus tard réecoutons FERRAT ,le Ferrat moins connu du début des années 60,le Ferrat qui ne chante pas forcement Aragon mais ouki ,Coulonges , Appolinaire ...

    Réecoutons Ferrat parce que c’est aussi notre histoire

    A écouter et réécouter "Camarade"

    * rue Biscarra:siège de la fédération P.S des Alpes Maritimes

  • A L'EAU

    Pétition : "Je signe pour le retour en gestion publique du service de l’eau"

    Pétition initiée par les membres de l’Association E.A.U (Elus, Association, Usagers).

    RequestDigitalElement.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le service de l’eau est une compétence publique et communale, mais depuis des années, des municipalités ont accepté de déléguer ce service à des entreprises privées qui la transforment en marchandise.
    Nous, consommateurs, ne supportons plus que le prix des factures d’eau s’envole année après année. Nous, citoyens, n’acceptons plus le gaspillage ruineux d’une ressource fragile et vitale. Nous, élus, n’admettons plus l’opacité de la gestion déléguée au privé.

    L’eau est un bien commun de l’Humanité, sa gestion doit être publique et il faut payer le coût du service de l’eau potable (captage, épuration, canalisations...) au juste prix, dans le cadre d’une gestion durable et dans une totale transparence.

    Ces dernières années, un nombre important de municipalités ont pris la décision de revenir en gestion publique provoquant la baisse des prix, une gestion plus transparente et plus respectueuse de l’environnement.

    Dans les années qui viennent, la majorité des contrats signés entre les communes et les trois géants de l’eau Véolia, Suez et Bouygues arrivent à terme. En région Parisienne, par exemple, le contrat qui lie le SEDIF (qui regroupe 144 communes pour 4 millions de consommateurs) à Véolia est arrivé arrive à terme en 2010. La Ville de Paris, elle, a déjà engagé un processus de retour en gestion publique.

    Chez nous aussi, c’est possible !

  • DEUX MOIS DE CAMPAGNE

    Régionales : deux mois de campagne

     

    Conformément à la législation, ce blog sera gelé à partir de vendredi minuit 12 mars, jusqu’à dimanche 14 mars 20 h.

  • METTRE LA DROITE K.O

    Dès le 1er tour, mettre la droite KO

    50639240.jpg

    A quelques heures du premier tour des régionales, un dernier coup d’accélérateur est à donner. Il faut voter et faire voter le plus largement possible.

    L’emploi, les transports, l’énergie, la santé, l’éducation, la formation professionnelle, le logement, l’environnement … sur toutes ces questions il faut des politiques de gauche. Qu’il s’agisse de compétences des régions ou non, là n’est pas la question. Il faut que la gauche fasse des régions de véritables boucliers sociaux contre la droite et sa politique anti-sociale !

    Mais à quelques dizaines d’heures du scrutin, il faut aussi insister sur quatre enjeux politiques de ce scrutin pour mobiliser celles et ceux qui doutent encore.

    Premier enjeu : le vote sanction. Celui-ci est indéniablement une des données de ce scrutin. De manière déformée les sondages l’ont exprimé tout au long de ces derniers mois : une droite divisée, un Parti socialiste qui apparaît comme l’outil de la sanction et lamine le vote Modem .

    Plus forte sera la sanction, plus difficile sera la conduite des contre-réformes que Sarkozy et le Medef préparent encore.

    Second enjeu : l’unité de la gauche. Et l’unité de la gauche seule. Car n’en déplaise à ceux qui confondent dynamique politique et arithmétique, l’une des caractéristiques de ce scrutin qui arrive, c’est de faire la démonstration que la gauche peut être majoritaire, sans Modem, sans alliance à droite. Il faudra en tirer le bilan pour que celles et ceux qui s’aventurent dans cette voie ne nous conduisent pas dans de nouvelles ornières.

    Plus fort sera le vote à gauche, plus difficile seront les alliances au centre pour diriger des régions ou préparer demain 2012. Plus fort sera le vote à gauche, plus évidente sera la constitution de listes de la gauche unie partout.

    Troisième enjeu : la bataille sociale. La droite et le Medef n’ont de cesse de préparer le 3ème tour « anti social » en commençant par le dossier retraite. Les luttes sur l’emploi, sur les salaires se sont développées ces derniers mois. De défensives en 2009, elles deviennent plus offensives en 2010 en même temps que monte le rejet de Sarkozy et de sa politique. Cette situation nouvelle peut alimenter un mouvement social puissant dans les prochains mois. Une défaite de la droite aux régionales nourrira la confiance des salariés dans leur force.

    Plus fort sera le vote à gauche, plus disponibles seront les salariés pour s’engager dans l’action collective .

    Quatrième enjeu : celui de 2012. Si le vote sanction monte, si l’unité de la gauche paraît solide pour les régions, si la bataille sociale se profile, alors tous les éléments se rassembleront pour chasser la droite en 2012 sur cette même base qui s’imposera peu à peu : l’unité de la gauche sur la base d’un projet de satisfaction des besoins sociaux. Tout de suite des boucliers sociaux dans les régions et quatre enjeux politiques qui appellent à redoubler d’efforts dans les dernières heures pour voter et faire voter socialiste dès le 14 mars ! Le dernier scrutin à portée nationale avant 2012.

     


  • LES VERDATRES

    Après les élections européennes, Europe Ecologie, plus communément appelée les Verts, en réalité une Nébuleuse indéfinissable, nous a fait tout un pataquès sur son résultat aux dites élections.

    Les-agrocarburants-2-573b6.jpgEn apparence, le pourcentage pouvait sembler significatif, mais si l’on gratte un peu on s’aperçoit que c’était celui des votants qui n’étaient pas très nombreux car en réalité, cela représentait beaucoup moins du dixième des citoyens inscrits sur les listes électorales, et à plus forte raison encore moins si l’on prend l’ensemble de la population. Donc, il n’y avait pas de quoi s’en battre les flancs. Pourtant, on entendait partout des chants de victoire et d’allégresse.

    Bon, après tout laissons aux naïfs leurs illusions malgré que nous fussions un certain nombre à dire que ces élections ne servaient pas à grand chose vu le peu de pouvoir des députés européens. Ca c’était le discours des avertis, tandis que la Nébuleuse portée par une sorte de grâce messianique haranguait les foules en criant, vous allez voir ce que vous allez voir !

    Effectivement, on a vu…ou plutot on n'a rien vu.Et Cohn Bendit de dire sur France-Inter mardi qu'il était incapable de citer une action d'un président de région de gauche.

    Les écolos ont toujours été comme ça. En 1974, quand on grattait le vernis gauchisant de Dumont, ont trouvait dessous "Triplez le prix de l’énergie, de toute façons, je pourrai me la payer" ; et cela n’a jamais changé. Les écolos politiques récupèrent les vrais soucis des uns et les peurs irrationnelles des autres pour faire des voix et les détourner du seul combat vraiment écolo : le combat contre le capitalisme.

    Je rigole toujours en repensant à ces zintellectuelsdegauch en visite en RDA dans les années 70, qui trouvaient "stalinien" de falloir rapporter les cannettes de limonade et de bière car la consigne était plus chère que la boisson. Comme si le stalinisme n’était pas un peu plus grave !!! Sûr que tous ces couillons sont "verts" de nos jours !

    De même, ils écrivaient leurs lettres sur du papier semblable, rebaptisé "recycling paper". Snobisme quand tu nous tiens !

    Je suis contre le peine de mort, mais je regrette quand même que le ridicule ne tue pas.

    Dimanche, il faudra voter pour la liste conduite par le Parti Socialiste, se souvenir des fausses promesses écologiques des uns

     

     

  • PEINE DE MORT DANS L'OHIO

    4e_congres_mondial_pdm_300_423.gif

     

     ET PERVERSION AU PAYS CHAMPION DE LA "DEMOCRATIE"

    Un condamné à mort dans l’Ohio qui devait être mis à mort mardi a avalé des médicaments jusqu’à être retrouvé inconscient  dans sa cellule, et ne sera exécuté que dans une semaine, le temps qu’il se remette, a-t-on appris lundi auprès des autorités pénitentiaires.Bref il faut éxécuter un condamné en bonne santé.


    Lawrence Reynolds, 43 ans, condamné à mort en 1994 pour meurtre, "a été retrouvé inconscient dans sa cellule à 23H30", dans la nuit de dimanche à lundi, quelques heures avant son transfèrement prévu vers la prison où il devait passer sa dernière journée, a expliqué à l’AFP Julie Walburn, porte-parole des autorités pénitentiaires.


    Elle n’a pas voulu préciser quel type ni quelle quantité de médicaments il avait ingurgité, refusant également de parler de tentative de suicide. "Nous soupçonnons un comportement d’auto-destruction, peut-être une tentative d’overdose", a-t-elle déclaré. "Il est dans un état stable et montre des signes de conscience", a ajouté Mme Walburn, précisant que le gouverneur de l’Ohio (nord), Ted Strickland, avait prononcé un sursis de sept jours.

    "Ca donnera au détenu le temps de sortir de l’hôpital et à nos équipes le temps nécessaire pour préparer une exécution", a-t-elle expliqué.

    La manière dont M. Reynolds a procédé pour prendre les médicaments reste sujette à investigation, le condamné à mort ayant été placé trois jours avant sa mort sous surveillance constante comme c’est le cas de tous les condamnés à mort dans l’Ohio. C’est la deuxième fois que Lawrence Reynolds obtient un sursis signé de la main du gouverneur. Une première injection mortelle, prévue le 8 octobre, avait été repoussée après que l’équipe d’exécution de l’Ohio n’eut pas réussi à exécuter un condamné le 15 septembre 2009.

    source France info

    Comment qualifier cela ? C'est digne d'un certain régime qu'il est aujourd'hui interdit de nommer . L'horreur à l'état pur.