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Editori@l - Page 55

  • LA SECTION P.S D'ANTIBES A RECU DANIELLE MITERRAND

    Madame Mitterrand 20101011 017.JPG

     

     

      Samedi la section d'Antibes du parti Socialiste a organisé une grande réunion informelle sur l'eau.Cette réunion s'est déroulée en deux parties ,le matin , un débat sur la remunicipalisation de l'eau et l'aprés-midi je recevais Madame Mitterrand qui nous a parlé de sa lutte pour rendre l'eau accessible à tous dans le monde.

    Cette manifestation se déroulait au Centre International de la Jeunesse au Cap d'Antibes,la municipalité etant incapable de nous fournir une salle demandée en mars dernier.

    Au cours de la première partie les interlocuteurs :Michèle Muratore,conseillière municipale P.S d'Antibes ,Paul Cuturello Conseiller Génénral P.S des Alpes Maritimes,Jean Luc Touly membre de la fondation France-libertés,conseiller régional Ile de Farnce Vert Ecologie et Michel Partage ancien maire de Varages et Conseiller du Var débattaient sur la necessité de rendre l'eau aux citoyens par le non renouvellement des contrats liant les communes aux deux multinationales qui se partagent la gestion de l'eau dans le département du 06.

    P9115715.jpgL'aprés-midi ,Marc Daunis, Sénateur-Maire de Valbonne  informait l'assistance des embuches que dressent ces multinationales pour conserver l'exploitation de l'eau et les revenus financiers qui en découlent.

    Puis je reçu avec émotion et fièreté Danielle Mitterrand.Quand elle fit son entrée dans la salle les applaudissements s'adressaient aussi bien à la veuve de François Mitterrand qu'à la présidente ,encore trés active de la fondation France-Libertés .

    Quand je lui fis remarquer qu'elle était dans la ville qui a vu naitre Henri Proglio,patron de Véolia Environnement elle répondit:

    "Ce ne sont pas les personnes qui sont en cause mais le système.Ce système,c'est une dictature économique à Marrakech à Soweto,l'accés à une fontaine n'est possible qu'avec une carte prépayée."

    A la question :Comment sortir sortir de cette dictature , Madame Mitterrand ne voit qu'un salut qui passe par:

    Une gestion des pouvoirs publics ils sont contraires aux entreprises privées,ont une vision de l'interet général"

    Et d'ajouter:"L'eau est un élément essentiel à la vie.Elle ne doit pas être consédérée comme une marchandise.Or aujourd'hui ,à part quelques pays qui ont inscrit dans leur Constitution l'accés à l'eau potable ont est bien loin du compte.L'eau n'a pas de prix"

    P9115728.jpg L'infatigable ambassadrice de France-Libertés en a profité pour promouvoir la feuille d'eau,une gourde plate d'un design de Philippe Stark vendue 5€ au profit des actions de sa fondation.Comme l'a fait remarquer Jean-Luc Touly ,cette fondation est sevrée de tout financement national.

    Une belle journée qui a vu se cotoyer Madame Miterrand mais aussi un sénateur,deux conseillers régionaux ,deux conseillers généraux et des élus.Du rarement vu à Antibes   

     

     

       

  • RETRAITE:L'ALLEMAGNE N'EST PAS LA FRANCE

    Retraites : comparer la France à l'Allemagne est tout simplement malhonnête.

     

    Dans le bras de fer qui est engagé entre les syndicats, soutenus par la majorité des Français, et le gouvernement, soutenu par le patronat.Au cours du débat d'hier soir un des arguments qui revient le plus souvent chez Fillon, pour justifier l'allongement de l'âge de départ à la retraite, est celui selon lequel la plupart des pays européens auraient déjà procédés à la même réforme. Parmi ces pays, c'est l'exemple de l'Allemagne qui revient le plus souvent, les Allemands ayant décidé de repousser l'âge de départ à la retraite jusqu'à 67 ans.

    Evidemment, présenté ainsi, avec des chiffres bruts, sans explication, les Français passent pour de gros râleurs pas courageux et des privilégiés. Sauf que si on regarde vraiment les choses dans le détail, tout est différent, et l'exemple de l'Allemagne devient un bon exemple pour justifier la colère des Français. Certes, les allemands vont travailler jusqu'à 67 ans, mais si la droite était honnête, elle préciserait quelques petites choses.

    Tout d'abord, la réforme va se mettre en place progressivement jusqu'en 2029, alors qu'en France, elle sera appliquée en 2018. Nous sommes le pays où le changement va se faire le plus brutalement. Ensuite, les syndicats allemands sont eux aussi vent debout contre cette réforme, et rien ne dit que les choses ne vont pas bouger chez eux.

    Enfin, dans notre pays la durée de cotisation est portée à 42 années pour tout le monde, et il n'est pas exclu d'aller encore plus loin. Dans le même temps, nos voisins d'outre-Rhin continueront eux à cotiser 35 années. Cela signifie concrètement qu'il sera quasiment impossible pour la majorité des Français de partir à 62 ans, et même le départ à 67 ans sera compliqué pour beaucoup de nos concitoyens. Par contre, avec 35 années de cotisation, les allemands sont surs de partir à 67 ans, et ce système permet en outre de tenir compte des longues carrières et de la pénibilité, puisque les salariés concernés pourront partir avant avec la totalité de leurs droits. En France, on voit bien qu'on en est loin.

    A tout cela, il convient de rajouter deux petites choses qui sont loin d'être négligeables. La démographie allemande est très différente de la notre, le renouvellement des générations est presque assuré chez nous alors que le vieillissement de la population allemande est beaucoup plus avancé. Ensuite, la France est le pays au monde où la productivité horaire est la plus élevée, ce qui bénéficie surtout aux entreprises. Les Français seraient pourtant en droit de réclamer des compensations pour leurs efforts qui ont fatalement des répercussions sur leur santé.

    Sauf à démontrer que la colère des Français est justifiée, l'exemple Allemand n'est pas bon. Il est pourtant utilisé à chaque sortie médiatique ou presque de l'un des membres de la majorité. Mais il faut dire qu'ils ne sont plus à un mensonge près.

  • ILS PEUVENT LACHER

    divers_016.jpgPour des centaines de milliers de Françaises et de Français il faut choisir ce matin, au lever, entre aller battre le pavé pour sa retraite ou battre en retraite sur le pavé.

    Je ne sais pas si le gouvernement cédera sur le recul de l'âge de la retraite, et je ne doute en aucun cas de la détermination de Nicolas Sarkozy et de ses ministres à aller jusqu'au bout. Pour autant, il est également évident qu'ils ne sont plus aussi sûrs d'eux qu'avant les vacances.

    J'en veux pour preuve qu'ils ont déjà commencé à reculer. Tout d'abord en revenant sur le non cumul entre l'APL et la demi-part fiscale pour les étudiants, ce qui permet de maintenir ces derniers à l'écart de la mobilisation, au moins pour un temps. Ensuite, parce que les grèves n'ont pas encore débutées et l'on nous annonce qu'il y aura peut-être des choses à négocier, sur les marges certes, mais c'est un progrès. Et c'est surtout la preuve que le pouvoir est aux abois, qu'il cherche par tous les moyens à déminer le terrain en essayant de jouer sur la division entre les confédérations syndicales, méthode qui avait si bien réussie en 2003 avec un certain François Fillon à la manoeuvre.

    Il y aussi un autre signe qui ne trompe pas et qui démontre que nous avons à faire à un pouvoir qui est acculé : la droite se divise, non seulement sur la méthode, mais aussi sur le fond. Depuis quelques jours, les petites phrases se multiplient, parfois si virulentes (Mrs Devedjian, Bertrand ou Copé par exemple) qu'elles feraient passer les socialistes pour des enfants de choeur. A tel point que certains qui se préparaient en secret pour la présidentielle de 2017, commence sérieusement à penser à celle de 2012 (n'est-ce pas Mr Copé ?), comme si un échec de Nicolas Sarkozy était devenu de l'ordre du possible.

    La mobilisation du 7 sera un tournant parce qu'elle montrera à quel point le peuple Français est déterminé. Cela ne suffira pas à l'évidence. Tout dépendra de la capacité des syndicats à maintenir le mouvement. Raison de plus pour être nombreux le 7, et dès le 8 septembre faire remonter aux organisations syndicales que la base est prête à en découdre. Cette fois-ci, c'est gagnable !

  • C'EST LA RENTREE

    Manif anti rom 20100904 003.JPGPour les socialistes antibois la rentrée politique  s'est déroulée samedi matin sur le marché, sous un beau soleil et au milieu de la foule. Six militants tractaient pour appeler à la manifestation de l'aprés-midi à Nice ,contre le tournant sécuritaire de l'été et appelaient à la manifestation de mardi contre la réforme des retraites.

    Au départ, je craignais un peu que notre message ne passe pas (quand je lis dans Nice-Matin d'aujourd'hui que 80% sont favorables aux expulsions de Roms !). La retraite sensibilise beaucoup plus les gens. Surprise, il n'y a pas eu d'hostilité ni d'indifférence, les contacts ont été nombreux et positifs, nous avons récolté pas mal de soutiens des antibois.

    Je n'ai eu qu'une seule prise de bec, avec un moustachu vicieux cachant au début son jeu et crachant à la fin son venin contre les "manipulés". Je respecte toutes les opinions, mais je n'aime pas les lâches qui ne disent pas dans les yeux ce qu'ils pensent vraiment mais qui finissent par l'avouer quand on les pousse dans leurs retranchements.

    L'aprés-midi à Nice nous étions plus de deux mille entre la place Garibaldi et le Port pour exorciser l’été de la honte. C’est assurément un beau succès pour une manifestation de rentrée sur le thème de la défense des droits de l’homme.

    Le soir j'étais invité par le P.C local pour un débat sur des propositions nouvelles que la gauche doit présenter.

    Point de propositions nouvelles de la part des intervenants communistes mais une attaque en règle arrogante et haineuse contre le P.S,contre Dominique Straus-Kahn, le FMI ,toute intervention de représentant socialiste était ponctuées de cris genants nos interventions . L'union de la gauche à Antibes est un combat.

  • C'KANKIDEMISSIONNE

    Ce jeudi 2 septembre au matin, Eric Woerth a craqué. Il a reconnu avoir rédigé la lettre publiée par le Canard Enchaîné, datée de mars 2007, par laquelle il demandait une misérable légion d’honneur pour le futur employeur de son épouse (6 mois plus tard), et par ailleurs donateur du parti majoritaire.

    En soi, la nouvelle est quasiment sans importance. Une légion d’honneur n’est pas une valise de billets. Et cette décoration a été tellement dévoyée depuis sa création qu’on a peine à comprendre que certains y attachent encore de l’importance.

    Seulement, l’acharnement avec lequel Eric Woerth (et son avocat) nie systématiquement chaque attaque, même des faits évidents et démontrés, depuis le déclenchement de cette affaire, est fascinant. Le ministre s’est coincé tout seul, signe d’une arrogance ou d’une inconscience incroyables.

  • TELLEMENT SOCIALISTE

    Martine Aubry AFP

    Je viens à l'instant de terminer d'écouter le discours de clôture de Martine Aubry à La Rochelle. Je ne sais pas trop ce que les médias et commentateurs en retiendront, je vous livre mon sentiment immédiat. Je pourrais le résumer en deux mots : classique et socialiste.


    Mais d'abord, il vaut revenir sur ce type d'exercice, dans lequel François Hollande excellait, en un mélange d'humour et de lyrisme qu'on ne retrouve pas chez Martine. Le discours-fleuve (une heure trente), exhaustif (toutes les rubriques de la politique sont passées en revue) et lu est un genre passé de mode. La télévision a imposé ses canons : une intervention doit être courte, précise et spontanée. C'est donc une redoutable épreuve, quasi impossible, que s'impose tout premier secrétaire en clôturant l'université d'été.


    L'objectif est double et ces deux aspects sont difficilement compatibles : d'une part s'adresser aux socialistes présents sur le ton du meeting, d'autre part parler pour les caméras de télévision et les radios qui reprendront dans la journée et demain matin quelques secondes seulement du discours. C'est pourquoi il y a le décor de la tribune en direction des militants et le panneau bleu ciel parsemé d'autocollants PS juste derrière Martine, en fond "télé". C'est un discours qui vise à être repris, cité, commenté, à assurer le buzz, à occuper l'espace médiatique durant les prochaines heures. Pour ma part, ayant suivi la totalité de l'intervention, je ne retiendrais que l'impact qu'elle a pu avoir sur la salle et mes camarades.


    C'était un discours très classique, sans effet oratoire, sans élévation de voix, sans formule choc, sans surprise, sans métaphore riche, sans ironie dévastatrice : un discours d'élu de terrain et de leader charismatique. En ce sens, la salle, composée pour beaucoup d'élus, a pu s'y reconnaître et certainement apprécier. On aime que ce en quoi ou en qui on s'identifie. Et puis, le temps des tribuns est fini, l'éloquence n'est plus de mise, la rhétorique inquiète plus qu'elle n'emballe.


    Il ne reste plus à gauche que deux ou trois discoureurs à l'ancienne, Fabius, Mélenchon et  aussi dans cette catégorie surannée Delanoë. C'est significatif qu'ils n'aient plus des rôles de premier rang. Je le déplore mais c'est ainsi : on ne réussit plus en politique en parlant bien et en soulevant l'enthousiasme d'une foule (les applaudissements, agitations de drapeaux et standing ovation sont souvent sur commande). C'est l'époque et la télévision qui veulent ça, qui ont tué le lyrisme politique d'autrefois. C'est aussi toute une société qui a changé : on ne cherche plus à admirer un responsable politique mais à s'identifier à lui, c'est ce qui fait son succès, c'est ce qui assure désormais les promotions.


    Il y a trente ans, ce qui m'épatait chez Mitterrand, ce qui faisait que je l'admirais surtout , c'était son personnage hors du commun, presque surgi de l'Histoire ses airs distants, son langage très littéraire, ses références culturelles. Avec Ségolène Royal et Martine Aubry, qu'on prendrait volontiers pour de bonnes copines, nous avons basculé dans un autre monde, les mécanismes psychologiques de la représentation ont complètement changé.


    Revenons-en à Martine: son discours a été classique dans la forme et classiquement socialiste dans le contenu. Rien n'y a manqué : critique de Sarkozy et rappel de nos principales propositions. Martine a veillé à ne pas trop paraître perso, à gommer tout ce qui pourrait faire penser à un ego, à jouer collectif, en citant tout au long de son intervention, régulièrement, les noms des principaux responsables socialistes, sans en oublier. Les élus ont été particulièrement mis en avant.


    Ce discours est à l'image des deux ans de mandat de Martine Aubry à la tête du Parti socialiste : elle a réussi le tour de force d'unir une formation divisée et de rénover un appareil largement vieilli dans ses pratiques. Ce n'est bien sûr qu'un début, mais je crois que c'est bien parti. Imposer les primaires, le non cumul des mandats, rassembler des sociaux-démocrates jusqu'à l'aile gauche, il fallait quand même le faire ! Comment a-t-elle réussi jusqu'à présent ? En étant classique et classiquement socialiste, en collant scrupuleusement à l'air du temps afin d'être suivie.

  • J'AVAIS 20 ANS EN AFGHANISTAN

    « J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie »
    Paul Nizan

     

    La mort de 2 soldats français en Afghanistan

    suscite un choc émotionnel légitime.

     

    Elle doit aussi pousser à la réflexion nécessaire sur la politique étrangère de la France.
    Nicolas Sarkozy avait avancé la nécessité de retirer les troupes françaises d'Afghanistan durant la campagne des élections présidentielles. Loin de concrétiser ce choix il s'est au contraire engagé à renforcer la présence militaire française au côté des Etats-Unis et dans le cadre de l'OTAN. Il a décidé dans le même mouvement de réintégrer militairement complètement cette organisation.
    Cette politique de guerre et d'alignement ne règle rien et n'a fait qu'aggraver la situation.L'Afghanistan a besoin de sécurité, de développement, de démocratie : l'inverse de ce que les Talibans et les forces extrémistes imposent à ce pays, aux femmes et à tout le peuple : des pratiques obscurantistes, violentes et totalement anti-démocratiques. En contribuant à la politique de force de l'OTAN, les autorités françaises ne font que participer à l'exacerbation des tensions dans un contexte dont les Talibans se nourrissent.
    La France doit retirer ses troupes d'Afghanistan, renoncer à l'intégration complète dans l'organisation militaire de l'OTAN et provoquer, au sein des Nations Unies, avec ses partenaires européens, une mise à plat urgente des opérations de maintien de la paix, en particulier concernant l'Afghanistan, pour en redéfinir les principes, les moyens et les finalités qui doivent correspondre, avec de vrais projets de reconstruction, aux besoins réels des populations, en favorisant la paix, le développement dans toutes ses dimensions, la démocratie et le respect des droits humains.
    Sarkozy, un danger pour la paix
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  • ESTROSI A UNE IDEE

    Les propositions de Mr Estrosi en matière de sécurité risquent de coûter cher aux niçois.

     

    Mr Estrosi, veut faire payer les villes qui ne se conforment pas à leurs obligations en matière de sécurité. Il devrait essayer de réfléchir un peu plus longtemps avant de parler, parce que si on se réfère aux chiffres de la délinquance de 2008, Nice, la ville dont il est maire, pourrait payer une sacrée amende.

    On trouvera les chiffres ici. Certes, reconnaissons quand même que l'on apprend que la délinquance aurait baisser (de façon relative) en 2009. Qu'à cela ne tienne, la délinquance dans la préfecture des Alpes Maritimes est à un des taux les plus élevé de France.

    En 2008, les Alpes Maritimes étaient le 3ème département français en nombre d'actes par habitant, mais à Nice même, avec un taux de 114 actes pour 1000 habitants, la délinquance est plus forte qu'à Paris, et même qu'en Seine-Saint-Denis.

    Moi, je serais Niçois, je virerai ce maire avant que ça ne me coûte trop cher comme contribuable ! 

  • QUAND ESTROSI A UNE IDEE

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     L’idée de Christian Estrosi, premier magistrat de Nice, de mettre à l’amende les maires trop laxistes en matière de sécurité n’en finit pas d’agiter le monde politique,et les citoyens. Il est clair que l’UMP ne se contente plus d’allumer des contre-feux. Elle pratique désormais la politique de la terre brûlée idéologique : là où les proches de Sarkozy passent, les principes républicains trépassent.
    D’où des polémiques qui permettent au gouvernement d’occuper le devant de l’actualité. D’une part pour précéder de nouvelles révélations sur le dos de ce pauvre Woerth assaisonné à toutes les sauces (déclarer moins que l’on gagne pour obtenir un prêt c’est idiot non ?) et, d’autre part, pour tenter d’enliser les sujets sensibles comme les retraites. Au fait, comment punir des maires pour laxisme alors que l’État n’est pas à jour, lui, sur le paiement des heures sup,et autres détails pas inutiles dans la lutte contre la délinquance ?
    Quant aux maires qui rejettent la vidéosurveillance, ils ont des électeurs bien plus concernés qu’un ministre pour leur dire s’ils ont tort ou raison.

    Vu les dérives ministérielles, après les propositions du ministre de l’Industrie, à quand celles de son homologue Brice Hortefeux ? Le ministre de l’Intérieur pourrait à son tour suggérer des amendes pour les patrons trop laxistes qui ne font pas de bénéfices ou qui licencient.

  • SARKOZY EST UN VOYOU

    Beaucoup de remue ménage dans le landernau politique.

    55930678.jpg 

    Sacrilège ! L'Hebdo MARIANNE assimile  SARKOZY a un voyou ! Qui sème le vent récolte la tempête ! Depuis le début de son quinquennat,  SARKOZY a déshonoré la fonction de Président de la République. Il a utilisé une sémantique insultante et vulgaire, accompagnée d'un comportement décalé...

    Chacun(e) se souvient du célèbre " Casse toi, pauv'con !"

    Les lecteurs de mon Blog savent que je suis un anti-sarko primaire et  je le revendique depuis le début de la campagne des élections présidentielles.

      J'ai toujours considéré que cet homme était le VRP revanchard des nantis...

    Pour en revenir à la liberté de la Presse, elle doit être totale.

    C'est un élément très important de la Démocratie. Il suffit pour s'en convaincre de voir comment les dictatures massacrent les journalistes...

     Je suis de ceux qui ne pardonneront jamais à l'UMP et à  SARKOZY la casse de l'hopital publique au bénéfice des cliniques privées; la casse de l'école laïque;  la casse de la Sécurité Sociale au bénéfice des assurances privées et des mutuelles; la promotion démagogique d'un populisme nuisible, qui dresse les français les uns contre les autres,le démentellement de la presse ,de la justice.....; 

     Bref ! et la liste est non exhaustive !

     

     SARKOZY n'est certes pas un voyou au sens juridique du terme (encore que !), mais il en est proche par sa culture de l'iniquité et de l'oligarchie !N'en déplaise à Lionel Luca et à ses amis